Le développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget
|
|
- Jean-Jacques Dupuis
- il y a 9 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant l'enfance et l'adolescence. Pour Piaget, le développement cognitif ne consiste pas en une simple accumulation progressive de connaissances au gré des expériences successives qu'il nous est donné de faire mais en une suite de réorganisations de ces connaissances dans ce qu'il a appelé des structures cognitives ou structures mentales de plus en plus élaborées. Ces structures cognitives successives déterminent la façon dont les informations que nous recevons, les données que nous recueillons et les situations auxquelles nous sommes confrontés, sont interprétées et mentalement assimilées. Mais les difficultés que nous rencontrons parfois à assimiler ces connaissances forcent petit à petit ces structures cognitives à se modifier, à s'accommoder, comme dit Piaget, voire à se transformer en de nouvelles structures mieux adaptées au traitement des réalités rencontrées. Au cours de la vie, Piaget voit ainsi se succéder quatre de ces transformations majeures, transformations qui vont déterminer ce qu'il appelle quatre stades dans le développemement cognitif Les stades du développement cognitif selon Piaget jusqu'à 2 ans entre 2 et 7 ans entre 7 et 11 ans à partir de 12 ans Stade sensori-moteur Stade préopératoire Stade des opérations concrètes Stade des opérations formelle Au premier de ces stades, le stade sensori-moteur, le jeune enfant perçoit le monde et y réagit au travers de la seule structure "intellectuelle" dont il dispose, la logique de l'action. Ce qu'il perçoit, que cela vienne de l'extérieur, comme la chaleur, la pression, un objet ou une présence ou de son intérieur, comme la faim ou la douleur, appelle de sa part une réaction immédiate. Au second de ces stades, le stade préopératoire, l'enfant devient capable d'effectuer mentalement certaines actions, de se représenter des actions non effectuées mais effectuables, d'évoquer des événements qui ont eu lieu par le passé et donc de se libérer en quelque sorte du réel pour agir. Mais ces actions ne sont pas encore totalement détachées du temps; le jeune enfant ne peut, par exemple, pas encore imaginer en même temps une action et son inverse, pousser et tirer, avancer et reculer, allonger et raccourcir, par exemple. C'est pourquoi Piaget dira qu'il continue à penser en termes d'actions, avec leur déroulement, même lorsqu'il n'est qu'imaginé mentalement, et pas en termes
2 d'opérations mentales qui, elles, sont mentalement et directement réversibles, c'est-à-dire annulables par une opération inverse, dont on sait par avance qu'elle permettra le retour à l'état initial. Ce n'est que dans un troisième stade que l'enfant devient capable d'envisager l'exécution sur les objets de véritables opérations mentales, mais ces opérations, comme c'était déjà le cas des actions au cours du stade sensorimoteur, ne peuvent encore être faites que sur des objets visibles, présents dans la réalité qui l'entoure ou, à tout le moins, qui existent dans son champ de conscience immédiat. Il n'est pas encore capable de les appliquer à des objets virtuels, dont l'existence réclamerait elle aussi une opération mentale. A ce niveau également, l'enfant peut également raisonner sur des propriétés d'objets ou sur des relations entre ces objets, et non plus seulement sur les objets pris comme entités. Il se montre ainsi capable de réaliser des classifications d'objets selon un puis même plusieurs critères, de sérier des objets le long d'une dimension, d'effectuer des raisonnements transitifssur des objets qu'on lui présente ou qu'il rencontre. C'est pour marquer à la fois les progrès importants de ce stade mais également ses limites que Piaget a proposé d'appeler celui-ci le stade des opérations concrètes. Ainsi, s'il est parfaitement capable de ranger du plus petit au plus grand une série de bâtonnets ou du plus léger au plus lourd une série de petites boîtes, identiques par la forme mais différentes par le poids, l'enfant de ce stade n'arrive pas encore à maîtriser la même opération lorsqu'elle porte, par exemple, sur des inégalités énoncées seulement verbalement, comme dans le célèbre problème suivant: Lili est plus blonde que Suzanne Lili est plus brune que Edith Laquelle est la plus blonde des trois? Durant les quatre à cinq ans que durera ce stade, l'enfant devient de plus en plus habile dans le maniement de ces opérations mentales. Il pourra les appliquer à des domaines de plus en plus variés et les combiner entre elles de plus en plus souplement, mais, comme le font remarquer Piaget et Inhelder (1973), "la forme logique des jugements et raisonnements ne s'organise alors qu'en liaison plus ou moins indissociable avec leurs contenus, c'est-à-dire que les opérations fonctionnent seulement à propos de constatations ou de représentations jugées vraies, et non pas à l'occasion de simples hypothèses." (p ).
3 De la pensée opératoire concrète à la logique formelle Progressivement cependant, l'enfant parviendra à abstraire son raisonnement de la nature des objets sur lesquels il porte, à isoler la forme des contenus. Vers ans alors, cette différenciation est suffisamment établie pour lui permettre de raisonner sur de simples propositions et même sur des propositions auxquelles "il ne croit pas ou pas encore, c'est-à-dire qu'il considère à titre de pures hypothèses: il devient donc capable de tirer les conséquences nécessaires de vérités simplement possibles, ce qui constitue le début de la pensée hypothético-déductive ou formelle." (Piaget & Inhelder, (1973), p. 105). Diverses "structures" de raisonnement qui jusqu'ici étaient encore inaccessibles faute d'un détachement suffisant du réel vont alors devenir possibles au cours de ce quatrième stade du développement cognitif, le stade des opérations formelles. Ce détachement ne sera cependant pas d'emblée immédiat et général. Dans la logique de l'adolescent, on assistera alors pendant un certain temps à un mélange des logiques, de raisonnements concrets et formels, au même titre que dans le développement physique s'observent pendant plusieurs années côte à côte des caractéristiques et des comportements matures et immatures. Cette phase est appelée phase de préparation du stade formel. N.B. Si ces nouvelles structures commencent à apparaître dans son raisonnement à peu près au même moment qu'il devient pubère, on n'a cependant jamais pu mettre en évidence de lien de cause à effet entre les deux phénomènes. Piaget estime cependant que "l'essor affectif et social de l'adolescence" (avait pour) "condition préalable et nécessaire (..) une transformation de la pensée, rendant possibles le maniement des hypothèses et le raisonnement sur des propositions détachées de la constatation concrète et actuelle. (Piaget & Inhelder, (1973)), p En résumé, on admet généralement que trois caractéristiques majeures distinguent la pensée formelle de celle du niveau précédent. Ce sont : le détachement du réel la possibilité de raisonner sur des hypothèses la possibilité de situer le réel dans un ensemble de possibilité Principaux acquis de la pensée formelle
4 Grâce à cette nouvelle décentration qui permet au besoin de se dégager par la pensée des contraintes de la réalité, des avancées significatives deviennent alors possibles sur différents plans et dans différents domaines. Nous examinerons tour à tour la combinatoire et les permutations, le groupe des deux réversibilités ou groupe INRC (EXT), les schèmes opératoires formels et l'induction des lois. La controverse à propos du stade formel A la différence des stades qui le précèdent, le stade formel est parfois remis en question en tant que stade, parce qu'il n'apparaît ni général ni global. Tout le monde ne semble pas capable de raisonnement formel et, même ceux qui y parviennent, font preuve, dans de nombreux domaines, de raisonnements de niveaux inférieurs. L'une des raisons de ce phénomène pourrait bien tenir à la spécificité des situations utilisées par Piaget et ses collaborateurs pour diagnostiquer la pensée formelle. Celles-ci sont en effet presque toutes tirées du domaine des sciences physiques ou mathématiques, domaines à l'égard desquels le degré de préparation et l'intérêt des individus varie considérablement (voir L'évolution des intérêts à l'adolescence). Ainsi, les adolescents ayant suivi une scolarité davantage orientée vers l'étude des disciplines scientifiques ou ceux qui ont opté pour des formations professionnelles les mettant davantage en contact avec les connaissances physiques et mathématiques seront plus à même de raisonner formellement dans les épreuves piagétiennes que ceux qui auront abrégé leur scolarité ou choisi des carrières faisant de moins larges emprunts aux sciences physiques. Piaget lui-même l'a reconnu. "En un mot, on peut bien conserver l'idée que les opérations formelles se libèrent des attaches avec leur contenu concret mais à condition d'ajouter "à aptitudes égales" ou "à intérêts vitaux comparables". " (Piaget, (1970), p ) (EXT) Une autre raison pourrait être que le stade formel connaît certainement une phase de préparation plus longue que les autres stades, phase durant laquelle l'adolescent sera capable de raisonnements formels si la situation l'exige absolument mais où il préfèrera utiliser des raisonnements qu'il maîtrise mieux, la logique concrète notamment, lorsque cela demeure possible (Stone & Day, 1978). Une étude intéressante, menée par Webb (1974) sur des enfants spécialement intelligents (QI supérieur à 160), montre une réduction de la durée de cette phase de préparation chez les individus à niveau intellectuel élevé, mais pas une accélération du passage du stade des opérations concrètes au stade opératoire formel. L'intelligence favoriserait ainsi la généralisation de la structure formelle à différents domaines mais pas sa construction initiale.
5 Enfin, si la généralisation de la pensée opératoire concrète procède dans le même ordre chez tous les individus (le schème de la conservation, par exemple, étant d'abord maîtrisé pour le nombre, puis pour la substance, puis pour le poids et enfin seulement pour le volume), l'ordre dans lequel le raisonnement formel se propagera dans les différents domaines dépendra largement de la familiarité que chaque individu entretient avec le domaine en question. Conséquence comportementale de la logique formelle Les nouvelles possibilités que lui ouvre le développement de la pensée formelle, la capacité de raisonner sur le possible et l'impossible aussi bien que sur le réel, peuvent inciter l'adolescent à exercer sa réflexion sur de multiples sujets, avec d'autant plus de plaisir qu'ils sont plus complexes et plus abstraits. Des sujets nouveaux pour lui, comme la politique, la philosophie, la psychologie ou la morale en particulier vont alors recueillir ses faveurs et susciter son intérêt parce qu'ils se prêtent à l'exercice du raisonnement abstrait. L'adolescent prendra même souvent un malin plaisir à soutenir les points de vue les plus invraisemblables, pour le plaisir de tester les limites de ses capacités argumentatives, et les réactions que son esprit peut susciter chez son entourage. Il procèdera volontiers de même sur des thèmes comme la sexualité, s'il ne parvient pas à répondre de manière satisfaisante à l'émergence de ses nouveaux désirs. Anna Freud (1982) (BIO) y voit la construction d'un mécanisme de défense particulier à l'adolescence, qu'elle nomme intellectualisation.
Le développement cognitif
Le développement cognitif Les transformations que l on observe à l adolescence sur la dimension physique ne s opèrent pas en un jour; elles prennent un certain temps, de sorte que l adolescent vit pendant
Plus en détail3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)
3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la
Plus en détailLe Développement Social de l'intelligence.
Le Développement Social de l'intelligence. DOISE Willem et MUGNY Gabriel : (1981) Le Développement Social de l'intelligence, InterEditions, Paris. Notes de Lecture. Gérard PIROTTON Merci de citer la signature
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailSérie TD 3. Exercice 4.1. Exercice 4.2 Cet algorithme est destiné à prédire l'avenir, et il doit être infaillible! Exercice 4.3. Exercice 4.
Série TD 3 Exercice 4.1 Formulez un algorithme équivalent à l algorithme suivant : Si Tutu > Toto + 4 OU Tata = OK Alors Tutu Tutu + 1 Tutu Tutu 1 ; Exercice 4.2 Cet algorithme est destiné à prédire l'avenir,
Plus en détailAider les élèves qui en ont le plus besoin. Animation pédagogique 17 septembre 2008
Aider les élèves qui en ont le plus besoin Animation pédagogique 17 septembre 2008 Un facteur de réussite scolaire : les capacités métacognitives de l élève Wang M.-C. (1990) Qu est-ce que la métacognition?
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détail2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE. la dialectique enseigner / apprendre
2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE NOMBRE, OUI MAIS COMMENT? la dialectique enseigner / apprendre 1 un modèle d'apprentissage : Piaget psychologie du développement sujet milieu (d'apprentissage) équilibre élément
Plus en détailLa responsabilité civile et l'entreprise
La responsabilité civile et l'entreprise Dans la présente rubrique, nous poursuivons notre étude de la responsabilité civile, cette fois-ci du point de vue d'un commerce ou d'une entreprise. Les questions
Plus en détailLA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE
LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailContrôle interne et organisation comptable de l'entreprise
Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants
Plus en détailQuels outils pour prévoir?
modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques
Plus en détailBABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS
Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,
Plus en détailIntérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.
Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu
Plus en détaill'essence de chaque chose se trouve dans la chose même. matière forme
que des ombres projetées contre la paroi. C'est le monde de l'existence, sensible, et comme les hommes ne peuvent pas voir autre chose, ils sont dans l'ignorance et pensent que c'est le monde réel. L'un
Plus en détailLe graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle
Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs
Plus en détailLes 6 sous-stades. La période sensori-motrice. Le stade réflexe. Coordination main/bouche. Du réflexe au schème: exemple du réflexe de succion
Les 6 sous-stades La période sensori-motrice La construction de l intelligence à partir des sens, de l action et des déplacements I. Stade réflexe du premier mois II. Stade des réactions circulaires primaires
Plus en détailLE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)
LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailD'UN THÉORÈME NOUVEAU
DÉMONSTRATION D'UN THÉORÈME NOUVEAU CONCERNANT LES NOMBRES PREMIERS 1. (Nouveaux Mémoires de l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, année 1771.) 1. Je viens de trouver, dans un excellent
Plus en détailTRAITÉ SUR L'UNION EUROPÉENNE (VERSION CONSOLIDÉE)
TRAITÉ SUR L'UNION EUROPÉENNE (VERSION CONSOLIDÉE) Article 2 L'Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d'égalité, de l'état de droit, ainsi que de
Plus en détailLE POINT DE VUE DE PIAGET
Fondation Jean Piaget Internationa1 Journal of psychology Journal International de Psychologie 1968, Vol. 3, No 4, 281-299 LE POINT DE VUE DE PIAGET Version électronique réalisée par les soins de la Fondation
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailWINDOWS NT 2000: Travaux Pratiques. -Boîtier partage d'imprimante- Michel Cabaré Janvier 2002 ver 1.0
WINDOWS NT 2000: Travaux Pratiques -Boîtier partage d'imprimante- Michel Cabaré Janvier 2002 TABLE DES MATIÈRES Installer un boitier Serveur...3 Fonctions du boitier :...3 Installation du boitier Hp Jetdirect
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailChapitre 1 : Introduction aux bases de données
Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données
Plus en détailRéduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2)
Réduire l effet de levier des banques, un impact néfaste sur notre économie? (2/2) Une précédente analyse 1 a introduit le concept d'effet de levier, procédé visant à s'endetter pour chercher à accroître
Plus en détailConseiller relation client à distance - Titre Professionnel Agrément JS n 1393-011. Sommaire
Conseiller relation client à distance - Titre Professionnel Agrément JS n 1393-011 Sommaire Cadre de la formation... 2 1. L entretien d'achat vente... 3 2. Préparation de l'entretien de vente... 3 3. Les
Plus en détailSTATUTS. DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse)
STATUTS DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse) Chapitre premier: Nature et buts Article 1: Dénomination et siège Les associations cantonales de gérants, courtiers et experts
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailS T A T U T S (Association loi 1901)
CERCLE DAMIEN KONDOLO (La Fraternelle de la République Démocratique du Congo en Europe) S T A T U T S (Association loi 1901) Nous, membres de diverses institutions philanthropiques, réunis en Assemblée
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailLe dispositif de la maladie imputable au service
LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailEntretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique
Faut-il reculer l âge de la retraite? Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Entretien avec
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailAnalyse hiérarchique de tâches (AHT)
(AHT) Définition Cette méthode consiste à décomposer la tâche principale (ou le but) de l'opérateur en sous-tâches (ou sous-buts), puis chacune de ces sous-tâches en plusieurs sous-sous-tâches, et ainsi
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailFiche de l'awt La newsletter ou lettre d'information
Fiche de l'awt La newsletter ou lettre d'information La newsletter (ou lettre d'information) est sans conteste l'un des outils de promotion de sites web les plus en vue. Encore faut-il en faire le meilleur
Plus en détailJouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants
Présentation du livre Jouer, c'est vivre! Repères sur le jeu en Action Catholique des Enfants 17 X 23 cm, 100 pages, 2014, 12 Pourquoi un livre sur le jeu? Parce que jouer est un droit fondamental de l'enfant,
Plus en détailGUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME
GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que
Plus en détailDocuments comptables : bilan, compte de résultat et annexe
Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte
Plus en détailDéclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle
Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Préambule La quatrième conférence internationale sur la promotion de la santé : "A ère nouvelle, acteurs nouveaux : adapter la promotion
Plus en détailLES REPRESENTATIONS DES NOMBRES
LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailExtrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables
Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste
Plus en détailComment apprend-on? 1 Le modèle transmissif
Comment apprend-on? Toute pratique enseignante repose sur des présupposés psychologiques. En particulier, elle concrétise, pour une part, les conceptions de l apprentissage implicites ou explicites de
Plus en détailL'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes
L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices
Plus en détailM. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen et Thiriez, SCP Masse-Dessen, Thouvenin et Coudray, avocat(s)
Références Cour de cassation chambre sociale Audience publique du mercredi 9 juillet 2014 N de pourvoi: 13-17470 Publié au bulletin Cassation partielle M. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen
Plus en détailGuide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne
Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale Dispositions législatives relatives au chapitre : La protection des droits de la personne Code de la santé publique Dispositions introduites
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailLa genèse des opérations concrètes (de l intelligence symbolique ou préopératoire à l intelligence opératoire concrète).
Master 2 «Enseignement, Education et Formation» UF 1 - Connaissance des différents publics Eléments psychologiques du Développement (Cours de Bruno DE CARA) Lecture obligatoire numéro 1 Extrait de : Dolle,
Plus en détailINTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG
Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailLa succession d Etats en matière de biens et de dettes
JUSTITIA ET PACE INSTITUT DE DROIT INTERNATIONAL Session de Vancouver - 2001 La succession d Etats en matière de biens et de dettes (Septième Commission, Rapporteur : M. Georg Ress) (Le texte français
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailOrganisation des enseignements au semestre 7
Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références
Plus en détailSTOCK OPTIONS VUE D ENSEMBLE ET PRINCIPALE DIFFICULTE A EVITER. François Xavier Testu Agrégé des Facultés de droit
STOCK OPTIONS VUE D ENSEMBLE ET PRINCIPALE DIFFICULTE A EVITER François Xavier Testu Agrégé des Facultés de droit & Sidonie Hill Testu et Associés Avocats à la Cour Avertissement : Ce texte est paru à
Plus en détailConcours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»
Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale
Plus en détailChapitre 2. Classes et objets
Chapitre 2: Classes et Objets 1/10 Chapitre 2 Classes et objets Chapitre 2: Classes et Objets 2/10 Approche Orientée Objet Idée de base de A.O.O. repose sur l'observation de la façon dont nous procédons
Plus en détailETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR
ETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR Évolution du comportement de l acheteur Ces dix dernières années, la pression concurrentielle et (surtout) l omniscience de Google, a changé radicalement le
Plus en détailLES ASSURANCES SOCIALES CONDITIONS QUE DOIT REMPLIR UNE RÉGLEMENTATION COMMUNE A TOUTE LA FRANCE PAR M. LE COLONEL DE VILLE, MEMBRE TITULAIRE.
LES ASSURANCES SOCIALES CONDITIONS QUE DOIT REMPLIR UNE RÉGLEMENTATION COMMUNE A TOUTE LA FRANCE PAR M. LE COLONEL DE VILLE, MEMBRE TITULAIRE. Parmi les nombreuses questions que soulève la réintégration
Plus en détailUne stratégie d enseignement de la pensée critique
Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailO b s e r v a t o i r e E V A P M. Taxonomie R. Gras - développée
O b s e r v a t o i r e E V A P M É q u i p e d e R e c h e r c h e a s s o c i é e à l ' I N R P Taxonomie R. Gras - développée Grille d'analyse des objectifs du domaine mathématique et de leurs relations
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailMastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»
Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé
Plus en détail360 feedback «Benchmarks»
360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités
Plus en détailAssociation déclarée régie par la Loi de 1901. Siège Social : 48, Boulevard Jourdan -75014 PARIS S T A T U T S TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES
C.E.P.R.E.M.A.P. Décembre 2004 CENTRE POUR LA RECHERCHE ECONOMIQUE ET SES APPLICATIONS C.E.P.R.E.M.A.P. Association déclarée régie par la Loi de 1901 Siège Social : 48, Boulevard Jourdan -75014 PARIS S
Plus en détailEDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CYCLE 4 HYPER TEXTE
EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CYCLE 4 HYPER TEXTE LE VOLET 1 DU CYCLE 4 est un texte général qui oriente toutes les disciplines et qui permet de cibler la singularité des axes de formation. LE VOLET 2
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailLES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING
Table des matières Master Recherche Management, Logistique et Stratégie Jean-Louis Moulins I. LA DEMARCHE MARKETING : CONTENU ET EVOLUTION 1. Le Protomarketing 2. Le Marketing Vente ou Marketing Commercial
Plus en détailEquité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés
Equity and Quality in Education. Supporting Disadvantaged Students and Schools Summary in French Accédez au texte intégral: 10.1787/9789264130852-en Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir
Plus en détailB.O.I. N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 [BOI 7I-1-11]
B.O.I. N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 [BOI 7I-1-11] Références du document 7I-1-11 Date du document 06/10/11 BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS 7 I-1-11 N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 INSTRUCTION DU 27 SEPTEMBRE 2011 COUR DE
Plus en détailP our appeler : Décrochez le combiné et composez le numéro OU Composez le numéro et décrochez le combiné
Appareil analogique Meridian Fonctions du système téléphonique Numéro d'appel Haut parleur Touche de libération Touche de garde Touche de commande de volume Indicateur ICL Voyant de message en attente
Plus en détailAccès Gratuit - Conditions Générales d'utilisation
Accès Gratuit - Conditions Générales d'utilisation Dernière mise à jour: [23/07/2003] Préambule Le service FREE est un service offert par la société FREE, société anonyme inscrite au RCS sous le numéro
Plus en détailIl s'agit d'un accident survenu dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice des fonctions (art. 57 2 de la loi n 84-53 du 26 janvier 1984).
Agents CNRACL : Accident de service Maladie professionnelle 85 Bd de la République 17076 La Rochelle cedex 9 Tel. 05.46.27.47.00 Fax. 05.46.27.47.08 Courriel. cdg17@cdg17.fr Note d information du 19 juillet
Plus en détailpsychologique Quels enfants entrent dans le système scolaire européen?
L'environnement social et psychologique THIERRY QUERE Quels enfants entrent dans le système scolaire européen? Un enfant à l'école européenne est souvent un enfant qui vit à l'étranger, dans un autre pays
Plus en détailAperçu et raison d être du programme d études
Section I Section I - Aperçu et raison d être du programme Aperçu et raison d être du programme d études Contexte Le cours Carrière et vie 2231 s inspire, du point de vue conceptuel, philosophique et pratique,
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailÉvaluation et implémentation des langages
Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIERES NUMEROS SVA
CONDITIONS PARTICULIERES NUMEROS SVA Version en date du 31/08/2012 DEFINITIONS : - Compte OVH : Compte de facturation regroupant l ensemble des fonctionnalités et informations relatives à la facturation
Plus en détailLes obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres
Justitia et Pace Institut de Droit international Session de Lisbonne - 1995 Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres (Quinzième Commission, Rapporteur : M. Andreas Lowenfeld)
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailNORME PRIVEE Produits de peinture/private STANDARD Coating materials. Contrats d assurance souscrits auprès de sociétés de courtage
NORME PRIVEE Produits de peinture/private STANDARD Coating materials Edition française Contrats d assurance souscrits auprès de sociétés de courtage Contracts taken out with insurance brokers companies
Plus en détailPhilippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)
20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus
Plus en détailComment atteindre ses objectifs de façon certaine
Ressources & Actualisation Le partenaire de votre bien-être et de votre accomplissement Comment atteindre ses objectifs de façon certaine À l attention du lecteur, Ce présent document est protégé par la
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailREMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON
REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de
Plus en détailCENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE
CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE 1 CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE Sommaire Loi du 7 août 2002 portant création du Centre Virtuel de la Connaissance sur l'europe.....................
Plus en détail2.1.4. L'équilibre général des échanges
2.1.4. L'équilibre général des échanges La prise en compte des offres et des demandes de l'ensemble des pays participants au commerce mondial permet la détermination des prix mondiaux. L'existence d'un
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détailDès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité
NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 19770-1 Deuxième édition 2012-06-15 Technologies de l information Gestion des actifs logiciels Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité Information technology
Plus en détail