2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
|
|
- Corinne Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose sur le document «A General Framework for Food Safety Risk Assessment» (cadre général d évaluation des risques relatifs à la salubrité des aliments), que l on peut examiner à l adresse : Caractérisation et estimation des risques Les évaluateurs des risques sont tenus de caractériser ceux-ci. Il s agit d estimer un risque particulier sur le plan qualitatif ou quantitatif, la probabilité qu il se concrétise et l ampleur de l impact (ou des conséquences) de tout effet nuisible de la maladie. L évaluateur doit également caractériser le risque en précisant le degré d incertitude que présentent les estimations, compte tenu des données disponibles. Lorsqu ils disposent de données quantitatives fiables, les évaluateurs utilisent des modèles mathématiques multiplicatifs et quantitatifs pour évaluer le risque. Souvent, les données quantitatives souhaitées ne sont pas disponibles et on applique une approche davantage qualitative. Dans les deux cas, les évaluations quantitatives et qualitatives sont résumées au moyen d un système de cotation qui aide à catégoriser les risques. Pour attribuer une cote finale à un danger donné et au statut du produit concerné, on se fonde sur les cotes attribuées à six sous-catégories. Les cotes attribuées ainsi sont «négligeable», «faible», «moyen» ou «élevé». Les trois premières sous-catégories ont trait à la probabilité d un impact sur la santé humaine, qui est influencée par différents facteurs, y compris par les caractéristiques des risques d exposition dans la situation en question. Les autres trois sous-catégories ont trait à l impact de la maladie, qui est influencé par plusieurs facteurs, dont les caractéristiques dose-effet. Ce système de cotation est utilisé pour aider à classer les risques du point de vue de leur priorité générale. On ne s en sert pas pour classer les risques individuels par ordre numérique, mais on essaie plutôt de les classer dans quatre grandes catégories : risque négligeable, faible risque, risque moyen ou risque élevé. 2.1 Probabilité de l exposition (caractérisation de l exposition) La probabilité de l exposition est examinée sous trois angles : 2.1 Interprétation des cotes
2 a) La probabilité de contamination d aliments dans la chaîne alimentaire par des vecteurs de maladies. Il peut être nécessaire d examiner les modes de contamination des animaux ou des cultures à l origine des aliments et du produit durant son traitement, son entreposage, sa distribution et sa préparation. b) La probabilité d une exposition significative d êtres humains susceptibles à une dose suffisamment forte pour déclencher une maladie. c) Le d une vaste dissémination ou d une propagation secondaire de la maladie. Ces différentes catégories sont décrites de façon plus détaillée ci-dessous. a) Probabilité d une contamination : La probabilité d une contamination dans la chaîne alimentaire par un vecteur de maladie est évaluée d après le vecteur dont il s agit, le produit, la source, le moyen de transmission et la destination. Les évaluateurs examinent : l animal ou le végétal à l origine du produit la prévalence et la répartition des vecteurs les activités de récolte, de traitement, d entreposage, de distribution et de préparation les codes d usage utilisés dans l industrie alimentaire les programmes de prévention dans la chaîne alimentaire Cotes attribuées au moment de l évaluation de la probabilité d une contamination : Cote = N = Négligeable : La probabilité d une contamination est extrêmement faible ou négligeable compte tenu de la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. Cote = F = Faible : La probabilité d une contamination est faible mais manifestement possible, étant donné la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. Cote = M = Moyen : Une contamination est probable compte tenu de la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. Cote = É = Élevé : Une contamination est fort probable ou certaine compte tenu de la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. b) Probabilité d une exposition significative : Il peut être indiqué d estimer le seuil critique d exposition ou d inoculation qui doit être atteint pour causer une maladie. Souvent, ces estimations ne sont pas disponibles, et il peut être approprié de simplement préciser le seuil auquel on suppose qu un impact négatif se fera ressentir. Ou bien, parce qu on ne dispose pas de données solides décrivant le degré d exposition critique, il se peut que les évaluateurs des risques soient 2.2 Interprétation des cotes
3 uniquement en mesure de décrire les facteurs liés aux processus qui, d après eux, ont une incidence sur l exposition. Pour évaluer la probabilité d une exposition significative de vulnérables à un danger, on examine les facteurs suivants : capacité de survie des vecteurs, de croissance, déclin ou dilution dans les aliments, traitement, entreposage, facteurs de distribution et de préparation influant sur la température, le temps, les valeurs du ph, l activité de l eau, la concurrence et l interaction microbiennes et la dégradation chimique efficacité et moment des contrôles effectués durant les processus pour éliminer ou atténuer les risques utilisation prévue des aliments et tendances liées à leur consommation variabilité et répartition des vulnérables Cotes attribuées au moment de l évaluation de la probabilité d une exposition significative : Cote = N = Négligeable : La probabilité d une exposition de vulnérables est extrêmement faible ou négligeable compte tenu de la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. Cote = F = Faible : La probabilité d une exposition de vulnérables est faible mais clairement possible, étant donné la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. Cote = M = Moyen: L exposition de vulnérables est probable compte tenu de la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. Cote = É = Élevé : L exposition de vulnérables est très probable compte tenu de la combinaison des facteurs décrits ci-dessus. c) Risque de dissémination et de propagation secondaire : Les facteurs influant sur la dissémination des vecteurs de maladies et la propagation secondaire sont importants parce qu ils permettent de savoir quel est l impact de la maladie et de l endiguer. On évalue le risque d une importante dissémination de niveaux d exposition significatifs et d une propagation secondaire après l éclosion initiale. Cela dépend du scénario de distribution des aliments et des caractéristiques biologiques de la maladie. On peut résumer ce risque en décrivant le nombre des cas d intoxication alimentaire observés dans des études épidémiologiques de scénarios similaires. Cet aspect de l évaluation peut inclure un grand nombre des éléments examinés au moment de l évaluation de la probabilité d une exposition significative. On peut se servir de systèmes d information géographique (SIG) pour créer des modèles et des cartes de la dissémination le de la maladie. 2.3 Interprétation des cotes
4 Cotes attribuées au moment de l évaluation du risque de distribution et de propagation : Cote = N = Négligeable : La probabilité d une importante dissémination ou propagation à la suite de l éclosion initiale est négligeable. Cote = F = Faible : La probabilité d une importante dissémination ou propagation est faible, et la maladie tend à être très localisée. Cote = M = Moyen : La probabilité d une importante dissémination ou propagation est moyenne. Cote = É = Élevé : La probabilité d une importante dissémination ou propagation est élevée et la maladie risque de faire son apparition à différents endroits en Ontario à partir d un point initial. 2.2 Impact de la maladie (caractérisation des mesures prises en réponse à la maladie) L impact (ou la conséquence) d un danger représente le deuxième élément du risque. Actuellement, il est seulement nécessaire de décrire les impacts négatifs sur la santé d êtres humains dans une évaluation des risques relatifs à la salubrité des aliments dans le contexte du commerce. Par conséquent, dans l évaluation des impacts des risques du MAAO, on met l accent sur les effets sur la santé d êtres humains. L impact d une maladie est décrit du point de vue de la gravité et de la fréquence de ses effets débilitants et de son impact sur la qualité de vie. Le cadre du MAAO décrit également brièvement les impacts économiques et environnementaux des dangers relatifs à la salubrité des aliments. Le MAAO examine trois aspects de l impact : a) L étendue des hôtes et l impact sur la qualité de vie, y compris la fréquence de la maladie. b) L impact économique fondamental de la maladie. c) Les impacts environnementaux généraux. Ces catégories sont décrites de façon plus détaillée ci-dessous : a) Étendue des hôtes et impact sur la santé : On décrit l impact biologique du danger (y compris les caractéristiques dose-effet) en notant le nombre des qui risquent d être affectées et l impact de la maladie sur leur santé et qualité de vie, y compris la nature aiguë et chronique de la maladie. La gravité de l impact peut varier entre les groupes d âge (c.-à-d. parmi les enfants, les adultes et les âgées) et selon l état de santé antérieur des individus infectés (p. ex., chez les hôtes immunocompromis). Si l étendue des infectées est 2.4 Interprétation des cotes
5 élevée, l importance biologique du vecteur augmente. Il n est pas nécessaire de fournir une description extrêmement détaillée de la pathophysiologie de la maladie. On fournit une description générale des mécanismes qui entrent en jeu, en notant la gravité prévue de la maladie, sa morbidité et les taux de mortalité parmi les différents hôtes et dans les différentes tranches d âge. Cotes attribuées au moment de l évaluation du nombre des hôtes et de l impact sur la santé : Cote = N = Négligeable : La maladie se manifeste dans un groupe d importance limité ou a un impact négligeable sur la santé et la qualité de vie. Cote = F = Faible : L étendue des qui tombent malades est limitée et la maladie a un léger effet sur la santé. Cote = M = Moyen : L étendue des qui tombent malades est d importance moyenne, et la maladie a un impact moyen sur la santé. Cote = É = Élevé : L étendue des qui tombent malades est importante et la maladie a un grave impact sur la santé et la qualité de vie. b) Impact économique : Cotes attribuées au moment de l évaluation de l impact économique : Cote = N = Négligeable : Impact nul ou très faible pour ce qui est des coûts de traitement ou de nettoyage, des heures de travail ou des occasions commerciales perdues. Cote = F = Faible : Faible impact en ce qui concerne les facteurs susmentionnés. Cote = M = Moyen : Impact moyen en ce qui concerne les facteurs susmentionnés. Cote = É = Élevé : Grave impact en ce qui concerne les facteurs susmentionnés. c) Impact environnemental : On évalue l impact environnemental prévu du vecteur, s il s échappe de la chaîne alimentaire et contamine d autres écosystèmes. On peut procéder notamment à un examen subjectif des effets biotiques sur d autres espèces. Il peut être indiqué aussi d étudier les impacts environnementaux négatifs éventuels des options de gestion des risques (p. ex., utilisation de désinfectants ou liquides s écoulant à la suite d activités de nettoyage). 2.5 Interprétation des cotes
6 Cotes attribuées au moment de l évaluation des impacts environnementaux : Cote = N = Négligeable : Aucun risque d une dégradation de l environnement ou d autres modifications d écosystèmes. Cote = F = Faible : Faible risque d impact sur l environnement. Cote = M = Moyen : Risque d un impact moyen sur l environnement, causant un changement dans l équilibre écologique et ayant un effet sur plusieurs caractéristiques de l écosystème. Cote = É = Élevé : Risque d importants dommages environnementaux causant de graves pertes dans les écosystèmes. Il convient de prendre note de l information qui suit et qui décrit la manière dont la interprète le cadre d évaluation des risques dans le contexte des impacts environnementaux : En se servant du cadre d évaluation des risques, on évalue l impact environnemental prévu du vecteur ou du danger si le contaminant s échappait de la chaîne alimentaire et se répandait dans d autres systèmes écologiques. Les impacts environnementaux peuvent être considérables lorsque de nouveaux vecteurs sont introduits en Ontario. Dans les évaluations des risques décrites ici, la plupart des dangers ou vecteurs examinés font déjà partie de l environnement naturel en Ontario. Nous tenons à préciser que lorsqu il s agit d attribuer une cote à l impact environnemental, on examine l impact environnemental du danger en examinant l impact des niveaux auxquels on le retrouve dans les aliments, plutôt que d évaluer l impact direct du danger sur l environnement. 2.3 Attribution d une cote globale et évaluation du degré d incertitude La caractérisation et l estimation du risque sont résumées dans un énoncé qui précise également la probabilité de maladies et leur impact. Les raisons et le degré d incertitude entourant l estimation du risque sont résumés dans une description de la nature et de la qualité des données, qui renferme aussi une description des arguments confirmant l évaluation et des arguments contraires. Finalement, on attribue une cote globale au risque : négligeable, faible, moyen ou élevé. 2.6 Interprétation des cotes
7 2.4 Tableau de consultation rapide aux fins d interprétation des cotes Cote Caractérisation du risque Résumé du risque Probabilité (d une situation néfaste) Impact (conséquences d une situation néfaste) Incertitude des données Résumé du risque et incertitude Négl. Faible Moyen Élevé d une contamination probable peu probable mais possible d une exposition de consommateurs probable peu probable mais possible d une propagation secondaire parmi les êtres humains probable peu probable mais possible propagation locale probable probable probable propagation moyenne très probable très probable très probable vaste propagation sur la santé humaine élevé peu de infectées faible étendue limitée de contaminées moyen étendue moyenne de infectées grave grande étendue de infectées économique (traitement et/ou commerce) aucun à très faible faible moyen grave environnement aucun limité moyen majeur certain preuves considérables certitude moyenne certaines preuves certitude limitée peu de preuves aucune certitude aucune preuve exposition improbables, impact limité, aucune préoccupation antérieure exposition peu probables mais possibles, impact limité, quelques indications de éventuellement justifiées il faut s attendre à une certaine exposition et à un certain impact. Solides preuves que les pourraient être justifiées ou antérieures exposition probables ou certaines, grave impact, connues 2.7 Interprétation des cotes
HACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailIncertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles
Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre
Plus en détailContenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH
Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailTRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS?
TRACABILITE DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE, J-4 mois : ÊTES-VOUS PRÊTS? INTRODUCTION Aujourd hui, dans un contexte de crises sanitaires et de concurrence internationale croissante au niveau du secteur
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailAnalyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP)
59 Chapitre 11 Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 11.1 PRINCIPES DE BASE DE L HACCP... 59 11.2 APPLICATION DES PRINCIPES HACCP À LA PURIFICATION DES MOLLUSQUES BIVALVES...
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailPlan de Maîtrise Sanitaire ALPA CONSULT NORD REPRODUCTION INTERDITE
Plan de Maîtrise Sanitaire SOMMAIRE A) Généralités 1- Historique du Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS) 2- Réglementation alimentaire B) Les Bonnes Pratiques d Hygiène 1- Le personnel 2- La maintenance 3-
Plus en détailPROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES
PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions
Plus en détailAnnexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22
Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des
Plus en détailFORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)
FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD
Plus en détailCOMMENT EVALUER UN RISQUE
COMMENT EVALUER UN RISQUE Rappel : danger et risque Le danger est la propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, d un environnement à causer un dommage
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailNote Conflagration. Janvier 2010
Janvier 2010 Note Conflagration De nombreux sinistres de caractère événementiel dans le monde mettent en jeu plusieurs risques en Dommages, sans qu il s agisse d évènements naturels. On parle en général
Plus en détailNote de mise en œuvre
Note de mise en œuvre Objet : appliquant l approche standard ou une AMA Catégorie : Fonds propres N o : A & A-1 Date : Mai 2006 I. Introduction L objectif de cette note de mise en œuvre est de présenter
Plus en détailQu est-ce qu un système d Information? 1
Qu est-ce qu un système d Information? 1 Une définition du système d information «Tout moyen dont le fonctionnement fait appel à l électricité et qui est destiné à élaborer, traiter, stocker, acheminer,
Plus en détailagissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs
Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailConvention de Minamata sur le mercure
Convention de Minamata sur le mercure Les Parties à la présente Convention, Reconnaissant que le mercure est une substance chimique préoccupante à l échelle mondiale vu sa propagation atmosphérique à longue
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailEntente administrative sur la certification de produits conclue entre. la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC)
Entente administrative sur la certification de produits conclue entre la Direction générale de Transports Canada, Aviation civile (TCAC) et l Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) (ci-après
Plus en détailACCUEIL ET CONVIVIALITE DANS LA RESTAURATION Réf : R 01
ACCUEIL ET CONVIVIALITE DANS LA RESTAURATION Réf : R 01 Durée : 14 heures 990 HT / jour Dates : à définir en 2012 Savoir gérer les conflits dans un service de restauration Savoir organiser et animer une
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détails é c u r i t é Conférence animée par Christophe Blanchot
s é c u r i t é i n f o r m a t i q u e La sécurité des systèmes d information Conférence animée par Christophe Blanchot Tour de table Présentation Nom, prénom, promotion Entreprise et fonction Expérience(s)
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailUtilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses
INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailQuestionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise
Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois SOMMAIRE
RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois LE CONTEXTE SOMMAIRE Le 19 août 2008, le ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailCadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014
Diffusion : Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014 Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailGestion intégrée des risques technologiques émergents
Gestion intégrée des risques technologiques émergents Bruno Debray Délégué scientifique Direction des risques accidentels GIS 3SGS 2011 DCO 17/10/2011 1 / 1 Contexte Les risques émergents : une préoccupation
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailSEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES
SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES ASSURANCE ET REASSURANCE EL AURASSI le 10 juin 2007 Alger LA REASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES EN ALGÉRIE Expérience de la CCR Présentation de la CCR Historique de la
Plus en détailAnnexe A : Tableau des exigences
E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailStratégie nationale en matière de cyber sécurité
Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée.
/01 TABLE DES MATIÈRES 1.0 Introduction 1.1 But 1.2 Portée 1.3 Généralité 1.4 Matériel 2.0 Méthodes/Processus 2.1 Général 2.2 Systèmes de détection 2.3 Principes généraux du contrôle de la vermine 2.4
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailL humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels
L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques
Plus en détailFONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE. Mathématiques financières
FONDEMENTS MATHÉMATIQUES 12 E ANNÉE Mathématiques financières A1. Résoudre des problèmes comportant des intérêts composés dans la prise de décisions financières. [C, L, RP, T, V] Résultat d apprentissage
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailC11 : Principes et pratique de l assurance
Spécimen de questionnaire d examen C11 : Principes et pratique de l assurance IMPORTANT : Vous disposez de 3 heures pour passer cet examen. Total : 200 points Lorsque vous quittez la salle d examen, vous
Plus en détailProposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture
Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture juillet 2012 SOMMAIRE 3 I. CONTEXTE ET PRÉSENTATION 6
Plus en détailQu est-ce que l adaptation au changement climatique?
Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailAtelier sur l Analyse des Réseaux Madagascar
Atelier sur l Analyse des Réseaux Madagascar Patrick Imam Fonds Monétaire International 21 Juillet 2015 Les vues exprimées dans cette présentation sont celles du Représentant Résident du FMI et ne reflètent
Plus en détailRapport sur la situation financière des institutions de prévoyance et des assureurs vie
Rapport sur la situation financière des institutions de prévoyance et des assureurs vie Annexe 4 Enquête auprès des sociétés suisses d assurance sur la vie concernant l assurance collective dans la prévoyance
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailCompte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision
Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision relativement à Demandeur Ontario Power Generation Inc. Objet Lignes directrices pour l évaluation environnementale (portée du projet et
Plus en détailConversion des devises
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent
Plus en détailLES INGRÉDIENTS SELON LEUR FONCTION
LES INGRÉDIENTS SELON LEUR FONCTION Tide Nature en poudre Free Dispersant Liquide ajouté au détergent pour aider à améliorer la séparation des particules et pour prévenir les dépôts et les amas. Sel tétrasodique
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailNOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité
Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus
Plus en détailSECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.
FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailFORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
1. Objectif : Comprendre les enjeux de la maîtrise de l hygiène dans votre entreprise «Agroalimentaire» (Fabrication, conditionnement, logistique, ) Savoir identifier les risques spécifiques à votre activité
Plus en détailJ U I L L E T 2 0 1 2
Code SQF Une assurance fournisseur basée sur les principes HACCP Code pour l industrie alimentaire 7 e édition J U I L L E T 2 0 1 2 Safe Quality Food Institute 2345 Crystal Drive, Suite 800 Arlington,
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détailGUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION
GUIDE D APPLICATION DE LA RÉGLEMENTATION G-121 LA RADIOPROTECTION DANS LES ÉTABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT, DE SANTÉ ET DE RECHERCHE Publie par la Commission de controle de l'energie atomique Mai 2000 Commission
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailIntroduction au Data-Mining
Introduction au Data-Mining Alain Rakotomamonjy - Gilles Gasso. INSA Rouen -Département ASI Laboratoire PSI Introduction au Data-Mining p. 1/25 Data-Mining : Kèkecé? Traduction : Fouille de données. Terme
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailJournée mondiale de la Santé 2015
Journée mondiale de la Santé 2015 la sécurité sanitaire des aliments VOS ALIMENTS SONT-ILS VRAIMENT SÛRS? De la ferme à l assiette, vous avez tous un rôle à jouer JOURNÉE MONDIALE DE LA SANTÉ 2015 #safefood
Plus en détailACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES
ACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES ÉVOLUTIONS DU BRC VERSION 7 cedric.travaille@adria.tm.fr Mars 2015 1 ADRIA NOS MÉTIERS Recherche et Innovation : Qualité et sécurité des aliments, Innovation
Plus en détailSûreté de fonctionnement. Cyber-sécurité et sécurité informatique Similitudes d approche avec la sécurité fonctionnelle
Sûreté de fonctionnement Cyber-sécurité et sécurité informatique Similitudes d approche avec la sécurité fonctionnelle Sommaire Evolution des réseaux industriels et conséquences Modèle de prévention selon
Plus en détailPolitique de gestion des risques
Objectif de la politique La gestion efficace des risques vise à assurer la continuité des opérations, le maintien de la qualité des services et la protection des actifs des organisations. Plus formellement,
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détail1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.
TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailL évaluation environnementale stratégique régionale au Canada. Principes et orientations PN 1429 ISBN 978-1-896997-85-8 PDF
L évaluation environnementale stratégique régionale au Canada Principes et orientations PN 1429 ISBN 978-1-896997-85-8 PDF Conseil canadien des ministres de l environnement, 2009 Le Conseil canadien des
Plus en détailManuel Qualité. Réf. : MAQ Page : 1 / 15 Version : 2 Date de révision : 04/04/2012
Page : 1 / 15 Rue Mabîme 77 4432 ALLEUR Belgique Tél. : +32 (0) 4 247 32 24 Fax : +32 (0) 4 427 18 82 e-mail : info@ansolive.com Site internet : www.ansolive.com Ce document est la propriété exclusive
Plus en détail