BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX
|
|
- Ghislain Beaudry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 - Une inégale répartition des services et des commerces
2 Les indicateurs suivants ont été réunis à partir de l inventaire communal 1998 réalisé par l INSEE et différents services de l État. Il s agit d une enquête auprès des communes pour identifier les différents équipements présents sur le territoire de celles-ci. La précédente enquête identique avait été réalisée en DES COMMUNES INÉGALEMENT DESSERVIES EN TERME D ÉQUIPEMENTS Un faible éloignement des équipements essentiels pour la population du département Le Val d Oise est l un des départements de la grande couronne dont l éloignement par rapport aux équipements est le plus faible, avec un éloignement moyen de 0,5 km. En effet, 94,6 % de la population du Val d Oise résident à moins de 2 km d une gamme de référence d équipements, et seulement 0,15 % de la population (soit 7 communes) réside à plus de 7 km de tels équipements : NIVEAU D ÉQUIPEMENT DU VAL D OISE ET DE LA GRANDE COURONNE PARISIENNE Population en % Distance à la commune fréquentée Niveau d équipement moyen Éloignement des équipements Part des communes ayant les équipements essentiels VAL D'OISE 23,3 2,9 30,5 0,5 31 % ESSONNE 24 5,35 30,5 0,55 35 % SEINE ET MARNE 23,8 5,85 25,5 1,35 17 % YVELINES 28,9 3, ,6 31 % GRANDE COURONNE 100 4, ,75 25,5 % Source : INSEE, inventaire communal 1998 Éloignement des équipements obtenu en faisant la moyenne des distances d accès à la gamme de 36 équipements ; cette distance étant pondérée pour chaque équipement par sa rareté au niveau national. Niveau d équipements essentiels : on considère ici la catégorie de communes disposant simultanément : - soit d un supermarché ou d un hypermarché, soit à la fois d une boulangerie, d une boucherie ou d une charcuterie, d un magasin d alimentation générale ou d une supérette et d un magasin de droguerie, de quincaillerie ou outillage ou d une grande surface non alimentaire - et d un café ou restaurant, d un point de vente de quotidiens, d un bureau de tabac et d un bureau de poste ou d une agence postale. On dénombre 25 communes, sur les 185 qui composent le département, disposant d un niveau d équipement élevé, c est-à-dire bénéficiant de 33 à 36 des équipements «de référence» (définis par l INSEE). D une part, elles sont 6, parmi les plus densément peuplées à regrouper la totalité de la gamme de référence : Argenteuil, Bezons, Sarcelles, Gonesse, Ermont et même Beaumont-sur-Oise (avec seulement habitants). A contrario, seules 7 communes du département ont une distance aux équipements supérieures à 7 km, mais aucune de ces communes ne regroupent plus de 600 habitants (il s agit de Berville, Chaussy, Chérence, Montreuil-sur-Epte, Theuville, Menouville et Wy-dit-Joli-Village) :
3 NIVEAU D'EQUIPEMENT ET ELOIGNEMENT AUX EQUIPEMENT DANS LE VAL D'OISE NIVEAU D ÉQUIPEMENT ET ÉLOIGNEMENT AUX ÉQUIPEMENTS DANS LE VAL D OISE Niveau d'équipements (sur un total de 36) Eloignement aux équipements (distance en kilomètres) et plus Pour mesurer le «niveau d équipement du département», l INSEE prend en compte une gamme de 36 équipements de référence de nature diverse, allant du commerce de base alimentaire, aux services généraux, aux fonctions (et établissements) médicales et paramédicales et aux équipements sportifs et culturels. Cet indicateur se présente, de façon détaillée, de la façon suivante dans le Val d Oise : NIVEAU D ÉQUIPEMENT DES COMMUNES DU VAL D OISE Niveau d équipement Communes Part des communes équipées du département place (en %) Part de la population desservie sur équipées du département Département France Département France de 0 à ,5 10 de 6 à de 16 à ,5 16 de 26 à , de 33 à ,5 4 62,5 47 Total de 0 à ,5 22 de 26 à ,5 62 Source : INSEE, inventaire communal 1998 Niveau d équipement : le niveau d équipement d une commune est le nombre d équipements dont elle dispose sur son territoire parmi une série de 36 Ainsi, 82,5 % des habitants du Val d Oise (contre seulement 62 % pour la France) résident dans une commune proposant un ensemble de 26 à 36 équipements de référence (définis préalablement par l INSEE). Une concentration des équipements dans moins d un quart des communes Les équipements sont plutôt concentrés dans le département, puisque cette population réside dans moins du quart des communes val d oisiennes (sur 9 % des communes nationales). Néanmoins, le Val d Oise est bien desservi en matière d équipements par rapport à sa population, car seuls 7,5 % de ses habitants, résidant dans 61 % des communes, ne disposent que d un faible niveau d équipement : les 74 communes peu ou pas équipées ne représentent, en effet, que 2,5 % de la population du Val d Oise. Parallèlement, plus de 62 % des habitants du Val d Oise
4 disposent de la quasi-totalité des équipements de référence (47 % pour l ensemble de la France), et se regroupent en général dans les villes à proximité de l agglomération parisienne : CONTRASTE DU NIVEAU D ÉQUIPEMENT DES COMMUNES DANS LE VAL D OISE Secteur Géographique Population en 1998 (en %) Niveau d équipement moyen 1998 Distance moyenne à la commune fréquentée en 1998 Vexin 3,7 % 12,5 12,5 Vallée de l'oise 7,5 % 24 9,6 Secteur Est 24,4 % 32 2,7 Rives de Seine 15,1 % 35 0,5 Vallée de Montmorency 28,3 % 31,5 0,9 Ville Nouvelle 17 % 31 3,6 Plaine de France 4 % 22,5 5,7 VAL D'OISE 100 % 30,5 2,9 Source : INSEE, inventaire communal 1998 Le niveau d équipement moyen le plus favorable parmi les départements de la grande couronne Le niveau d équipement moyen du Val d Oise, tel qu il a été arrêté par l INSEE, est de 30,5 ce qui constitue le meilleur résultat parmi les départements de la grande couronne. Ce résultat positif dissimule cependant un contraste important au sein même du département : les secteurs géographiques les plus peuplés sont généralement les mieux équipés. En effet, le Sud-Est du département, qui inclut la zone Sud-Est la plus proche de Paris (secteur Est, Rives de Seine, Vallée de Montmorency) et la Ville Nouvelle de Cergy-Pontoise, regroupent près de 85 % de la population du Val d Oise et bénéficient d un niveau d équipement majeur élevé de 32,5, alors que les autres secteurs géographiques du département, moins bien desservis, regroupent seulement 15 % de la population et ne disposent que d un niveau moyen d équipement de 20,8. Une évolution différenciée de l éloignement des cantons aux équipements L évolution de l éloignement aux équipements dans le Val d Oise, entre 1988 et 1998, est caractérisée par un net contraste entre l ouest et l est du département. En effet, le Vexin, qui recouvre l essentiel de la zone ouest du Val d Oise, a connu un accroissement de l éloignement par rapport aux équipements de 0,2 km en moyenne en l espace de dix ans, malgré le rapprochement des équipements dans les communes situées plus à l est du secteur (avec une situation stable dans toute la zone sud-est du Vexin) :
5 ÉVOLUTION DE L ÉLOIGNEMENT ELOIGNEMENT AUX ÉQUIPEMENTS EQUIPEMENTS POUR LES DIFFÉRENTS CANTONS DU VAL D OISE Evolution entre 1988 à 1998 diminition sans changement augmentation Bien que le tiers de ses communes (au sud) ait enregistré entre 1988 et 1998 une réduction de la distance par rapport aux équipements, la Vallée de Montmorency a subi globalement un éloignement supplémentaire par rapport aux équipements identifiés par l INSEE, certes modeste (0,17 km en moyenne sur ses autres communes). A l Est du département, la Plaine de France, les Rives de Seine et la partie ouest de l Agglomération Nouvelle ont enregistré, en l espace de dix ans, un rapprochement par rapport aux équipements (entre 0,1 km pour la Vallée de l Oise, et 0,4 km pour le secteur Est). En outre, la «distance moyenne à la commune fréquentée par la population» de la zone Sud- Est du département ne s élève qu à 1,85 km en 1998, alors que la moyenne enregistrée sur la base du même indicateur sur l ensemble du département approche 3 km (entre 4 et 6 km pour les autres départements de la grande couronne). Quant à la population des secteurs du Vexin et de la Vallée de l Oise, elle doit parcourir respectivement 12,5 km et 9,6 km en moyenne pour accéder à la commune proposant les équipements considérés. Ceci représente un temps d accès aux équipements variant entre 30 mn et 1 heure pour le Nord-Ouest du Vexin, et entre 15 et 30 mn pour le centre du Vexin et de la Plaine de France. 2 - DES PÔLES MAJEURS D ATTRACTION EN TERME D ÉQUIPEMENTS L INSEE n identifie dans le département du Val d Oise qu un seul véritable «pôle d attraction», qui est l Agglomération Nouvelle de Cergy-Pontoise. Cette agglomération rayonne aussi bien à l ouest qu au nord du département, et même jusqu au nord-est du Val d Oise. Le secteur Est du Val d Oise est, par contre, relativement dépourvu de pôle d attraction de taille importante. Magny-en-Vexin et Marines représentent les deux seules villes équipées correctement dans le Vexin, et bénéficient d un «rayon d attraction aux équipements» respectivement de 7,7 km et 6,6 km. Outre le collège et l hypermarché, qui diffusent un pouvoir attractif très important dans quasiment tous les bourgs principaux des secteurs du Val d Oise (pouvant attirer jusqu à 6 fois la population de la ville équipée), certains services de santé attirent une population extérieure dans un rayon de 7 km :
6 LES COMMUNES ATTRACTIVES DU VAL D'OISE DU VAL D OISE magny-en-vexin marines beaumont-sur-oise nesle-la-vallée isle-adam viarmes luzarches cergy pontoise taverny domont villiers-le-bel louvres goussainville enghien-les-bains Une répartition des communes du Val d Oise en fonction de leur population variant selon leur localisation géographique La répartition des communes du Val d Oise selon leur population varie fortement en fonction de leur localisation géographique : Nombre de communes % Population totale % Moins de 199 habitants ,2 200 à 999 habitants , à habitants 42 23, , à habitants 18 9, , à habitants ,8 Plus de habitants ,8 Ensemble Source : INSEE Près de 60 % des communes du Val d Oise accueillent une population comprise entre 200 et habitants (dont 36 % entre 200 et habitants), mais plus du quart d entre elles disposent d une population supérieure à habitants. Pourtant, une large majorité de la population du département se concentre dans les communes de plus de habitants. Argenteuil ( habitants) et Sarcelles ( habitants) sont les deux seules villes du Val d Oise accueillent plus de habitants, et regroupent près de 19 % de la population totale du département.! Le Vexin Le Vexin constitue le secteur géographique le plus atypique du Val d Oise. Il est caractérisé par un ensemble de petites communes ne regroupant pas même 4 % de la population val d oisienne. Ainsi, 63 communes sur les 70 qui composent le Vexin comptent moins de habitants (soit 64 % de la population du Vexin), et plus du quart d entre elles ne compte pas plus de 200 habitants.
7 ! La Plaine de France La Plaine de France, hormis Domont qui regroupe près de 35 % de la population totale du secteur, compte 42 % de sa population résidant dans les communes de 200 à habitants.! La Vallée de l Oise et la Vallée de Montmorency La Vallée de l Oise regroupe 82 % de la population de son secteur dans les communes comptant entre et habitants ; de même, 86 % de la population de la Vallée de Montmorency sont regroupés dans les communes comptant de à habitants.! Les Rives de Seine et le secteur Est du département Les Rives de Seine et le secteur Est voient leur population essentiellement concentrée dans les communes de plus de habitants. On constate même que 57 % de la population des Rives de Seine se concentre dans la commune d Argenteuil, et 22 % de la population du secteur Est dans la commune de Sarcelles. Une nette corrélation entre population et indice d équipement Le niveau d équipement des communes du Val d Oise se présente de la façon suivante en fonction de leur population : NIVEAU D'ÉQUIPEMENT DES COMMUNES DU VAL D'OISE 50 Beaumont Isle-Adam 40 Marines Magny Enghien niveau d'équipement Viarmes Luzarches Cergy Sarcelles Argenteuil 10 y = 6,5827Ln(x) - 33,582 R 2 = 0, population Sur ce graphique, l indice d équipement calculé sur la base de 36 équipements de référence est mis en rapport avec la population de chacune des communes du département.
8 On constate une relation régulière très nette entre la population et le niveau d équipement des communes du Val d Oise : en effet, plus une commune accueille d habitants, et plus elle bénéficie d équipements. Ainsi, les villes les plus importantes du département en terme de population, comme Argenteuil ou Sarcelles, tendent vers le seuil d équipement maximum, qui a été défini par l INSEE à 36. La répartition des communes selon leur population correspond étroitement à celle liée à l indice d équipement. Ainsi, on peut constater que, d une part, la majorité des communes du Val d Oise dispose d un niveau d équipement variant entre 0 et 20 et, d autre part, que 83 % des communes du département accueillent moins de habitants. Cependant, à partir d un certain seuil de population, établi autour de habitants, le nombre d habitants ne semble quasiment plus influencer la présence d équipement sur une commune. A noter qu est considérée ici la seule présence d un équipement, et non le nombre d équipement au sein d une commune. Certaines communes disposant d un haut niveau d équipement (entre 30 et 36), mais regroupant une population plus ou moins restreinte (un maximum de habitants seulement), se distinguent nettement. C est le cas, par exemple, de Magny-en-Vexin, Marines ou Viarmes. Ces communes constituent un ensemble de pôles d attraction pour les commerces et les services de la gamme de référence dans des zones faiblement équipées. En particulier, Marines attire deux à trois fois sa population dans un rayon dépassant 6,5 km pour les services publics (gendarmerie, commissariat, trésorerie), les services généraux (notaire et vétérinaire) et les services automobiles (garage et distribution de carburant). Pontoise et Cergy constituent aussi de réels pôles d attraction pour les populations habitant dans un rayon de plus de 7,5 km. En effet, 15 % (20 % pour Cergy) des équipements de référence de ces deux communes ont un rayon moyen d attraction de plus de 10 km. On remarque notamment un fort pouvoir d attraction de ces deux villes pour les hypermarchés (dans un rayon pouvant atteindre 19 km) et divers commerces spécialisés non alimentaires. Cergy se distingue en particulier par l attraction considérable de la base de loisirs «Les Étangs de Cergy-Neuville» (sur plus de 20 km), et par l attraction de ses équipements sportifs et socioculturels. Beaumont-sur-Oise bénéficie également d équipements de loisirs attractifs (cinéma, piscine et installation sportive couverte). Les services généraux, et plus particulièrement les services de notariat et de trésorerie, représentent un fort pouvoir d attraction dans les villes de Beaumont-sur-Oise et de Luzarches (attirant respectivement jusqu à trois à cinq fois la population de la ville). De plus, certains services publics et certains magasins spécialisés non alimentaires constituent une part (certes plus modeste, mais non négligeable) de l attraction de ces deux villes, ainsi que de l attraction de Viarmes. Les établissements de santé, par exemple, drainent à Beaumont-sur-Oise une population importante (six fois la population de la commune) dans un rayon de 6 km. Enghien-les-Bains, en dehors de l attraction considérable de ses salles de cinéma, détient une gamme complète de magasins spécialisés non alimentaires (allant de l équipement de la personne à celui de la maison), dont l attraction couvre un rayon de 7 km.
9 3 - UNE INÉGALE RÉPARTITION DES SERVICES ET DES COMMERCES Une évolution très contrastée de l équipement des communes L ensemble des services de la gamme de base en terme d équipements (telle que définie par l INSEE) voit son implantation dans les communes val d oisiennes diminuer entre 1988 et Le nombre des communes du département desservies par les équipements de santé a augmenté cependant au cours de cette période, l évolution la plus marquée touchant les établissements de santé et les ambulances. Les services publics et certains services généraux sont nettement plus présents en 1998 dans les communes du département, par rapport à la situation constatée en 1988, ce qui n est pas le cas des magasins non alimentaires, puisque le nombre de la quasi-totalité des magasins spécialisés dans l équipement de la personne et de la maison a diminué ces dernières années. De même, les équipements de loisirs sont désormais présents dans un nombre plus réduit de communes. Enfin, il est possible de constater l impact en terme d équipements des communes du département des nombreux supermarchés et hypermarchés qui se sont établis dans le Val d Oise entre 1988 et 1998 : ÉVOLUTION DES GAMMES D ÉQUIPEMENTS ( ) Équipement Communes équipées (en %) 1988 Communes équipées (en %) 1998 Taux d'évolution Gamme de base Garage 60,0 55,1-8,1 Maçon 70,3 62,2-11,5 Menuisier, charpentier ou plombier 74,6 71,4-4,3 Alimentation générale ou supérette 56,8 51,9-8,6 Bureau de tabac 67,0 61,1-8,9 École primaire publique ou privée 87,6 77,3-11,7 Gamme élargie Établissement de santé 7,6 12,4 64,3 Laboratoire d'analyses médicales 34,6 26,5-23,4 Salle de cinéma 11,4 9,7-14,3 Gamme de proximité Distribution de carburant 45,9 39,5-14,1 Plâtrier, peintre 65,4 56,8-13,2 Électricien 55,1 58,4 5,9 Boulangerie, pâtisserie 55,1 54,6-1,0 Boucherie, charcuterie 52,4 44,3-15,5 Bureau de poste 47,0 47,0 0,0 Salon de coiffure 47,6 51,4 8,0 Infirmier ou infirmière 44,9 50,8 13,3 Médecin généraliste 49,7 51,4 3,3 Pharmacie 44,9 45,9 2,4
10 Équipement Communes équipées (en %) 1988 Communes équipées (en %) 1998 Taux d'évolution Gamme intermédiaire Pompiers 16,8 26,5 58,1 Gendarmerie ou commissariat 15,7 21,6 37,9 Trésorerie 15,1 16,2 7,1 Notaire 16,2 18,9 16,7 Vétérinaire 21,1 27,0 28,2 Supermarché ou hypermarché 27,6 38,9 41,2 Banque ou Caisse d Épargne 30,3 28,6-5,4 Magasin de vêtements 30,8 28,6-7,0 Magasin de chaussures 24,3 22,2-8,9 Librairie, papeterie 37,8 35,7-5,7 Magasin d'électroménager 21,6 23,2 7,5 Magasin de meubles 22,2 18,9-14,6 Droguerie, quincaillerie 29,2 23,2-20,4 Collège public ou privé 27,0 29,7 10,0 Ambulance 17,3 23,2 34,4 Dentiste 42,7 43,2 1,3 Masseur-kinésithérapeute 42,7 45,9 7,6 Équipements spécifiques café 82,2 70,8-13,8 restaurant 73,5 67,6-8 installation sportive couverte 35,1 42,2 20 tennis couvert ou non 91,9 77,8-15 piscine couverte ou non 23,2 19,5-16 crèche familiale 18,9 29,2 54 Source : Inventaire communal 1998, INSEE SCEES Une tendance à la diminution du petit commerce alimentaire et des cafés-restaurants dans les communes rurales Sous le terme de petit commerce alimentaire, l INSEE regroupe les boulangeries, les boucheries et les magasins d alimentation générale ou les supérettes. De plus, l INSEE considère qu une commune est dite «rurale» quand sa population est inférieure à habitants. L essentiel des communes rurales du Val d Oise, soit près de 60 % des communes du département (se situant principalement dans le Vexin) ont subi entre 1988 et 1998 une diminution moyenne du quart du nombre des petits commerces alimentaires : LE PETIT COMMERCE ALIMENTAIRE LE PETIT COMMERCE ALIMENTAIRE Evolution entre 1988 et 1998 communes de plus de 2000 habitants sans changement augmentation diminution Les communes en blanc ont plus de habitants
11 Un phénomène identique a été constaté entre 1988 et 1998 pour les cafés et les restaurants : LES CAFES ET RESTAURANTS LES CAFÉS ET RESTAURANTS Evolution entre 1988 et 1998 communes de plus de 2000 habitants sans changement augmentation diminution! Le Vexin Le Vexin a connu, entre 1988 et 1998, une perte de plus du tiers de ses commerces alimentaires de proximité, comme de ses cafés et restaurants. Ainsi, le nombre moyen d habitants des communes rurales du Vexin pour un équipement a augmenté de 70 % entre 1988 et 1998, passant de 230 à 395 habitants par équipement pour les petits commerces alimentaires, et de 510 à 870 habitants par équipement pour les cafés et restaurants.! La Plaine de France La Plaine de France a connu une évolution moins sensible entre 1988 et 1998, avec une perte limitée du quart de ses cafés-restaurants et seulement de 12 % de ses petits commerces alimentaires, accompagnée d une croissance de sa population de 13,5 %, d où une augmentation variant entre 30 et 50 % du nombre d habitants par équipement.! La Vallée de l Oise La Vallée de l Oise subit pendant la même période une forte diminution du nombre des petits commerces alimentaires (la moitié) et des cafés et restaurants (plus du tiers). Bien que sa population ait diminué de 6,5 % au cours des 10 dernières années dans les communes rurales du secteur, le nombre d habitants par équipement a fortement augmenté (passant de 680 à habitants par commerce alimentaire, et de 330 à 470 habitants par café ou restaurant).! L Agglomération Nouvelle Au cours de cette période, la population et le nombre des commerces considérés ont simultanément augmenté dans les communes rurales de l Agglomération Nouvelle : ainsi, la population et le nombre de petits commerces alimentaires ont doublé entre 1988 et 1998 à Cergy-Pontoise, et le nombre des cafés et restaurants s est accru de 66 %.
12 ! Le secteur Est du Val d Oise Le secteur Est du département a connu entre 1988 et 1998 un doublement du nombre des commerces alimentaires dans les communes rurales, et une diminution de 25 % du nombre des cafés et restaurants. Un net contraste géographique pour l implantation des principaux services Les communes situées les plus au sud du département, se rapprochant de l agglomération parisienne, bénéficient du meilleur équipement pour la majorité des gammes de services.! Les services de transport En ce qui concerne le réseau des transports, le Val d Oise bénéficie d une bonne desserte quotidienne en autocars (65 % des communes), excepté dans certaines zones du Vexin et de la Plaine de France, mais seules 68 communes du département sur 185 disposent d un réseau de transports urbains : LES DE LES SERVICES DE TRANSPORT Vexin Vallée de l'oise Plaine de France Ville Nouvelle Secteur Est desserte régulière quotidienne d'autocars - réseau de transports urbains aucun des équipements un des équipements tous les équipements Rives de Seine Vallée de Montmorency Les communes du Vexin et de la Vallée de l Oise sont celles qui disposent du plus faible nombre de services de transports : plus du quart de ces communes ne dispose ni de car quotidien, ni d un réseau de transports urbains, et seules trois ou quatre communes de ces secteurs disposent de chacun de ces deux services. 20 % des communes des Rives de Seine et de la Plaine de France bénéficient des services de transports cités, mais la Plaine de France compte un plus grand nombre de communes ne disposant d aucun équipement de transport spécifique (35 % contre 20 % des communes dans les Rives de Seine). Quant à l Agglomération Nouvelle et à la Vallée de Montmorency, la moitié de leurs communes est desservie par des autocars quotidiens et par un réseau de transports urbains. Pour le secteur Est du département, seulement un tiers des communes disposent de ces deux services.
13 ! Les services de santé En ce qui concerne les équipements de santé, l INSEE prend en compte trois équipements particuliers : les médecins, les dentistes et les infirmiers : LES SERVICES DE SANTÉ LES SERVICES DE SANTE médecin - dentiste - infirmier aucun des équipements un des équipements deux des équipements tous les équipements Le Vexin se distingue par un équipement très faible en matière de services de santé. En effet, 75 % de ses communes ne disposent d aucun des trois équipements sélectionnés par l INSEE (seulement 5 % des communes du Vexin disposent des trois équipements réunis). De même, la Plaine de France est passablement équipée en matière de services de santé, puisque la moitié de ses communes ne dispose d aucun des services considérés, et seul le quart des communes les réunit tous. Ce sont 20 à 30 % des communes de la Vallée de l Oise et du secteur Est du département qui ne bénéficient ni d un médecin, ni d un dentiste, ni d un infirmier, mais respectivement 45 % et 55 % des communes de ces deux secteurs géographiques regroupent les trois services. Les trois quarts des communes de l Agglomération Nouvelle regroupent les trois équipements de santé identifiés par l INSEE. Quant aux Rives de Seine et la Vallée de Montmorency, il s agit de secteurs géographiques où l ensemble des communes disposent à la fois d un médecin, d un dentiste et d un infirmier :
14 LES SERVICES GÉNÉRAUX LES SERVICES GENERAUX banque ou caisse d'épargne - bureau de poste - distributeur de billets aucun des équipements un des équipements deux des équipements tous les équipements! Les services généraux En ce qui concerne certains services généraux comme les banques (ou les caisses d épargne), les bureaux de poste et les distributeurs de billets, la situation est semblable à la répartition des autres équipements. En effet, 80 % des communes des Rives de Seine et de la Vallée de Montmorency regroupent les trois services ci-dessus cités. Ces équipements sont moins présents dans toutes les communes du secteur Est du département et de l Agglomération Nouvelle (les trois services sont respectivement concentrés dans 37 et 53 % des communes). Près de la moitié des communes du secteur Est, comme de la Plaine de France, ne possèdent aucun des trois services. Quant à la Vallée de l Oise, ces équipements semblent s y concentrer dans les principales communes (Isle-Adam, Beaumont-sur-Oise, Auvers-sur-Oise ). Ce phénomène encore est accentué dans le Vexin, territoire pour lequel ces équipements restent marginaux, hormis à Magny-en-Vexin et à Marines.! Les services rattachés à la garde des jeunes enfants Lorsque l on s intéresse aux services rattachés à la garde des jeunes enfants, une nette opposition entre le nord et le sud du département apparaît. En effet, les communes les plus proches de l agglomération parisienne (communes des Rives de Seine, de la Vallée de Montmorency et du sud du secteur Est) ainsi que celles de l Agglomération Nouvelle, sont très bien desservies en crèches collectives, crèches familiales et haltes-garderies. D Ouest en Est, la moitié nord du département souffre d un manque apparent de ces structures, puisque respectivement 89 %, 75 % et 59 % des communes du Vexin, de la Plaine de France et de la Vallée de l Oise ne bénéficient d aucun des équipements considérés ci-dessus, et aucune ville du nord du département ne bénéficie de l ensemble de ces trois équipements :
15 LES CRECHES LES CRÈCHES crèche collective - crèche familiale - halte garderie aucun des équipements un des équipements deux des équipements tous les équipements! Les marchés et commerces de poissons frais En ce qui concerne les marchés et commerces de poissons frais, les communes situées au sud du département disposent à la fois d au moins un marché de détail par mois, et d un commerce spécialisé en poisson frais. On peut ainsi noter que toutes les communes des Rives de Seine sont équipées de ces deux types de commerces : LES MARCHES ET POISSON FRAIS LES MARCHÉS ET POISSONS FRAIS marché - poisson frais aucun des équipements un des équipements tous les équipements De plus, les trois quarts des communes de la Vallée de Montmorency, et plus de la moitié de celles de l Agglomération Nouvelle disposent de ces deux équipements. Par contre, 47 % des communes du secteur Est ne bénéficient ni d un marché de détail, ni d un commerce de poisson frais, mais celles situées au sud et à l extrême nord du secteur géographique concerné (Fosses, Luzarches et Marly-la-Ville) sont relativement bien équipées. Quant au Vexin, à la Plaine de France et à la Vallée de l Oise, seules les principales communes (déjà le plus souvent équipées des services précédemment étudiés) disposent également d un marché et d un commerce de poisson frais. Néanmoins, entre 50 et 75 % des communes de ces secteurs géographiques ne disposent d aucun de ces deux commerces.
La population des Hautes-
Numéro 30- : juillet 1999 Inventaire communal 1998 : les Hautes-Pyrénées Concentration des équipements autour de Tarbes et dans les vallées Madiran D93 Vic-en-Bigorre Maubourguet D93 Rabastens-de-Bigorre
Plus en détailAnnexes. Sources et concepts. Le zonage en zones d emploi 2010
Sources et concepts L étude est basée sur le croisement de deux zonage d étude : celui en zones d emploi, mis à jour en 2010, et celui en bassins de vie (2012). La région Midi-Pyrénées est couverte par
Plus en détailLes déplacements dans la Haute-Marne
Les déplacements dans la Haute-Marne L AC C E S S I B I L I T É AU X É Q U I P E M E N T S E T S E R V I C E S Une partie importante des déplacements de ménages, outre ceux liés aux loisirs, au travail
Plus en détailLa Base Permanente des Équipements
La Base Permanente des Équipements La base permanente d'équipements (BPE) est produite et gérée par l INSEE en collaboration avec différents ministères. En effet, cette base ne provient pas d une enquête
Plus en détailL a forte urbanisation du Nord permet la présence
L a forte urbanisation du Nord permet la présence dans les communes d'un nombre de commerces et services plus important qu'en moyenne nationale. Toutefois, rapporté à la densité de la population, le taux
Plus en détailDirection Régionale de Bourgogne Service Études et Diffusion Division Analyses et Synthèses Économiques et Sociales
Etab=DR21, TimbreDansAdresse=Non, Version=W2000-C-5.1/9.0, VersionTravail=W2000-C-5.1/9.0 Direction Régionale de Bourgogne Service Études et Diffusion Division Analyses et Synthèses Économiques et Sociales
Plus en détailEQUIPEMENT COMMERCIAL
Territem, au service des entreprises Information territoriale 2011-2014 > Offre globale Chiffres-clés Composition commerciale > Equipements structurants > Cartographies EQUIPEMENT COMMERCIAL Panorama OFFRE
Plus en détailLes pôles commerciaux et leurs magasins
Les pôles commerciaux et leurs magasins Julien Fraichard* Pour les commerçants, l'implantation de leur établissement dans le tissu urbain est primordiale. Certains types de commerces, comme les magasins
Plus en détailEnquête globale transport
Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les
Plus en détailEQUIPEMENTS - SERVICES
EQUIPEMENTS - SERVICES Page 89 Diagnostic Pièce 1.1 du rapport de présentation SCOT du Syndicat mixte d Étude et de Programmation de Fontainebleau et de sa Région Point méthodologique Page 90 La source
Plus en détailPortrait statistique de l emploi dans le commerce de détail. sur le périmètre de l inter-scot de l aire métropolitaine lyonnaise
Les Scot de l aire métropolitaine lyonnaise Agglomération lyonnaise Beaujolais Boucle du Rhône en Dauphiné Bugey-Côtière-Plaine de l Ain La Dombes Loire Centre Monts du Lyonnais Nord-Isère Ouest lyonnais
Plus en détailLycées du Val d Oise préparant au CAP (cliquez sur l établissement pour connaitre les CAP préparés)
Lycées du Val d Oise préparant au CAP (cliquez sur l établissement pour connaitre les CAP préparés) St O.l Aumône industriel du château d'épluches Lycée Edmond Rostand Chars régional du Vexin Taverny Lycée
Plus en détailCOMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE
Plus en détailLe commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire
Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Gwennaël Solard Insee - Division Commerce Chargé d études 18 boulevard Adolphe Pinard 75675 Paris Cedex 14 tél : 01 41 17
Plus en détailEconomie, commerce et emploi
1 Economie, commerce et emploi Le tissu économique asniérois est aujourd hui en pleine mutation : les industries traditionnelles, en perte de vitesse, disparaissent depuis longtemps au profit des services.
Plus en détailCarte Bancaire et consommation des ménages. Point presse du 2 février 2006. Groupement des Cartes Bancaires «CB»
Carte Bancaire et consommation des ménages Point presse du 2 février 2006 1 Dépenses des ménages français 2004 2003 évolution total dépenses ménages 901 M 868,3 M +3,4% total CB 220 M 204 M +10% pénétration
Plus en détailÉquipements et services au public
PRÉFÈTE DU CHER Direction départementale des Territoires Équipements et services au public 1/30 Méthodologie et éléments de définition (INSEE) Équipement «Un équipement est un lieu d achat de produits
Plus en détailensoleillement et les étés secs, associés à l irrigation, profitent pleinement aux cultures fruitières, maraîchères
Six habitants sur dix dans le Vaucluse bénéficient sur place de la palette de commerces et services la plus large. Si ce bon niveau d équipement caractérise d abord les vallées du Rhône et de la Durance,
Plus en détailPrix de vente : 362 000 Euros
Visite du bien : 630202 Localisation : Sagonne Ville proche : Bourges à 42 Km Autoroute : A71 40 Km Aéroport : 40 Km Une authentique ferme Berrichonne rénovée avec soin dans un petit coin de paradis! Au
Plus en détailACTIVITES REGLEMENTEES
ACTIVITES REGLEMENTEES Par le décret N 98-246 du 02 Avril 1998, quels que soient le statut juridique et les caractéristiques de l entreprise, un certain nombre d activités, dites réglementées ne peuvent
Plus en détailTypologie Commerciale
Schéma de développement commercial de l agglomération Rouen-Elbeuf Diagnostic Schéma de développement commercial de l agglomération de Rouen-Elbeuf Typologie Commerciale Février 2005 Chambre de Commerce
Plus en détailLe centre de gestion a le plaisir de vous adresser les statistiques professionnelles élaborées à partir des dossiers de gestion 2013.
Statistiques 2013 3, rue de Lyon B.P. 531 71010 MACON CEDEX Tél. 03.85.21.90.60 Télécopie 03.85.21.90.69 E-mail : contact@cgai-macon.fr Agrément de la Direction Régionale des Impôts n 1.02.710 du 6 mars
Plus en détailLe commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.
Plus en détailL emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort
Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.
Plus en détailLa création d entreprise en milieu rural
La création d entreprise en milieu rural Une définition du milieu rural Définir le monde rural à partir de la taille des communes nous paraît insuffisant. En effet, il est important de prendre en compte
Plus en détailÉtude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux
Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3
Plus en détailwww.biop.ccip.fr Les métiers porteurs Perspectives 2016
Les métiers porteurs Perspectives 2016 2 Rappel Titre Les métiers porteurs Cette présentation est basée sur les résultats d études publiées par la DARES et le Ministère du Travail en 2011 complétée par
Plus en détailtitre : Conseil éligibles
Les aides financières du Parc naturel régional de la Haute Vallée de d Chevreuse sont attribuées au titre : du programme d actions du PNR financé par le Conseil régional d Île de France, le Conseil général
Plus en détailwww.biop.ccip.fr Les métiers porteurs Perspectives 2015
Les métiers porteurs Perspectives 2015 2 Rappel Titre Les métiers porteurs Cette présentation est principalement basée sur les résultats d un rapport publié en janvier 2007 par le groupe «Prospective des
Plus en détailAvant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.
Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête 2012,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014
DOSSIER DE PRESSE Evolution des commerces à Paris Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 Contacts presse : Ville de Paris : Marie Francolin : presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 CCI Paris :
Plus en détailQuestionnaire eevm. échange école ville montagne. www.parc-du-vercors.fr/eevm/
Questionnaire eevm échange école ville montagne www.parc-du-vercors.fr/eevm/ Répondre aux questions. Il y a 3 types de réponses en fonction des types de questions. - Questions fermées à réponse unique
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailDES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC
Type d UC Outils du diagnostic Problématique Projet Magasin spécialisé dans la vente de produits pour l équitation Observation Analyse du compte de résultat Enquête clientèle Etude de concurrence Perte
Plus en détailCENSI BOUVARD. Residhome Apparthotel Paris Nanterre. Nanterre (92)
CENSI BOUVARD 2014 (92) o Prootant du dynamisme de La Défense et de l'attractivité d'une vraie vie de quartier, la résidence Résidhome Paris se situe sur une place bordée de commerces et de restaurants.
Plus en détailAvAnt-propos. Derrière un homme qui a réussi Il y a toujours un homme qui a agi (Pablo Picasso)
AvAnt-propos Derrière un homme qui a réussi Il y a toujours un homme qui a agi (Pablo Picasso) Vous avez décidé de créer une EURL ou une SARL. Bravo! Vous allez bientôt devenir un acteur de l économie
Plus en détailFORUM. de l emploi et VOS CV! Jeudi 28 mai 2015. de la création d entreprise. de 9h à 18h À L HIPPODROME D ENGHIEN/SOISY
N oubliez pas VOS CV! FORUM de l emploi et de la création d entreprise Jeudi 28 mai 2015 de 9h à 18h À L HIPPODROME D ENGHIEN/SOISY ENTRÉE LIBRE ET GRATUITE PARKING GRATUIT SUR PLACE RENSEIGNEMENTS : WWW.AGGLO-CAVAM.FR
Plus en détailPROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE RIMOUSKI RÈGLEMENT 171-2004 L IMPOSITION D UNE TAXE D AQUEDUC ET D ÉGOUT POUR L ANNÉE 2005
PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE RIMOUSKI RÈGLEMENT 171-2004 RÈGLEMENT CONCERNANT L IMPOSITION D UNE TAXE D AQUEDUC ET D ÉGOUT POUR L ANNÉE 2005 CONSIDÉRANT QUE le conseil de la Ville de Rimouski a adopté ses
Plus en détailContenu du fichier Base Permanente des Equipements 2008. Fichier Ensemble
Contenu du fichier Base Permanente des Equipements 2008 Fichier Ensemble Liste des variables : AN Année DCIRIS Département, commune et IRIS d implantation de l équipement DEP Département d implantation
Plus en détailParis-Saclay Index Immobilier d entreprise nº 1 mars 2015
Paris-Saclay Index Immobilier d entreprise nº 1 mars 2015 125 000 m 2 de bureaux commercialisés en 2014 80 000 m 2 d offre neuve ou en chantier 220 HT HC m²/an de loyer moyen Chantier EDF Lab R&D, juillet
Plus en détailSchéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE
VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE SOMMAIRE 1.DIAGNOSTIC REGIONAL DE LA DELIVRANCE DU MEDICAMENT EN AMBULATOIRE... 3 1.1.Les modes d ouverture d une pharmacie... 3 1.2.Le
Plus en détailAvant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.
2015 Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête
Plus en détailOuverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.
Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans
Plus en détailLes Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes. Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé
Les Entreprises d Economie Sociale en Poitou Charentes Vendredi 6 novembre 2009 NIORT Espace Alizé 70.000 salariés 2 ième Région de France pour le taux des emplois E.S. sur l ensemble des emplois. 14,3%
Plus en détail4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil
4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil DOSSIER DE COMMERCIALISATION Vivre et investir ensemble Coloc & Vie RCS Nanterre 807 853 841 52, rue de Bezons 92400 Courbevoie À propos de Coloc & Vie Officiellement
Plus en détailLa construction métropolitaine en Ile-de-France
1 La construction métropolitaine en Ile-de-France Eléments d actualité: La réforme territoriale Le devenir du Grand Paris 29 Novembre 2012 Intercommunalité et Métropolisation en Ile-de-France 2 Eléments
Plus en détailLes principaux résultats en 2009
2 SOMMAIRE Les principaux résultats I - Les établissements qui projettent de recruter II - Les projets de recrutement III - Les métiers faisant l'objet de projets de recrutement Annexe 1 - Les projets
Plus en détailvous présente 1, route des Gâtines 78990 ELANCOURT
vous présente 1, route des Gâtines 78990 ELANCOURT SITUATION GÉOGRAPHIQUE REJOINDRE ELANCOURT : EN VOITURE : Accès direct à l A12 depuis la N12 Autoroute A13 A 30 min de Paris A 55 min de Chartres A 10
Plus en détailI. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL
LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Plan de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée
DOSSIER DE PRESSE Plan de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée lundi 18 novembre à 11h30 La lutte contre les cambriolages est une priorité du Ministre de l intérieur, affirmée par le
Plus en détailEnquête Besoins en main-d'œuvre 2007. Ile-de-France. Unédic - GARP
Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007 Unédic - GARP 2 SOMMAIRE Les principaux résultats I - Les établissements qui projettent de recruter II - Les projets de recrutement III - Les métiers faisant l'objet
Plus en détaildocument de travail L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en 2011 SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013
Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques DREES document de travail SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013 L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailSTATISTIQUES PROFESSIONNELLES
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES EXERCICES CLOS EN 2013 Une population étudiée de 5365 adhérents Environ 220 codes A.P.E. représentés 13 ratios étudiés en termes de moyenne, minimum, maximum, écart-type 1:
Plus en détailChangements à venir au programme d interchange de MasterCard, en avril 2015.
Le 18 novembre 2014 Changements à venir au programme d interchange de MasterCard, en avril 2015. En tant que commerçant partenaire de MasterCard, il est important que vous connaissiez le modèle économique
Plus en détailAvec près des deux tiers des
Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailStatistiques Exercice 2012
Statistiques Exercice 2012 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations communiquées dans ce fascicule sont communiquées titre indicatif et ne peuvent être considérées,
Plus en détailRésultats de l enquête auprès des agents immobiliers 1) Indice de Perception du marché IMmobilier (IPIM) OCTOBRE 2013
Résultats de l enquête auprès des agents immobiliers 1) Indice de Perception du marché IMmobilier (IPIM) OCTOBRE 2013 1. Perspectives sombres pour le marché immobilier en 2014 selon les agents immobiliers
Plus en détailMETIERS EN TENSION 2007 BUREAU du 26 avril 2007
METIERS EN TENSION 2007 BUREAU du 26 avril 2007 Evolution de la liste par rapport à 2006 : - 1 Métier disparu (électromécanicien) - 11 Métiers nouveaux (identifiés en bleu) - 47 Métiers identiques Pôle
Plus en détailCergy - 01 30 30 10 01 eric.yalap@keops.fr. ROISSY EN FRANCE 8 500 m 2
4 ème trimestre 2007 VILLEVAUDE 1 280 m 2 BEZONS 3 392 m 2 ARGENTEUIL 3 266 m 2 div. ZI de Villevaudé ZI Bezons Est ZI des Bords de Seine A LOUER entrepôt à proximité de l autoroute A104, deux accès de
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailTravaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc
Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)
Plus en détailGarder et faire garder son enfant
Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,
Plus en détailContribution du Conseil général du Val-d Oise, de la Communauté d agglomération de Cergy- Pontoise et de la CCI Versailles Val-d Oise/Yvelines
Contribution du Conseil général du Val-d Oise, de la Communauté d agglomération de Cergy- Pontoise et de la CCI Versailles Val-d Oise/Yvelines Juin 2010 n Créer une gare d'interconnexion TGV dans l aire
Plus en détailles évolutions récentes
DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,
Plus en détailCOMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL
COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,
Plus en détailNOGENT-LE-ROTROU (28 - Eure-et-Loir) Redynamisation du centre commercial «Les Gauchetières» Note descriptive du projet
NOGENT-LE-ROTROU (28 - Eure-et-Loir) Redynamisation du centre commercial «Les Gauchetières» Note descriptive du projet Restructuration du pôle commercial «Les Gauchetières» à Nogent-le-Rotrou_27 janvier
Plus en détailLa Mutualité en chiffres
La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations
Plus en détailY:\AVE 2010\Jou... Nationale...
De l analyse des marchés de la Construction Durable au diagnostic de la montée en compétence dans les métiers du Bâtiment et des ENR à l horizon 2014 sur 30 territoires 13 es Assises de l énergie Dunkerque
Plus en détailVille de Vailly-sur-Aisne
Ville de Vailly-sur-Aisne Maison des Services aux Publics Rencontres Echanges Solidarité Proximité Présentation Présentation Vailly-sur-Aisne Ville du sud de l Aisne Au centre du triangle Soissons (20kms)
Plus en détailANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1
ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 La publication du CECEI-Banque de France 2 à partir du FIB, recense pour les deux régions 7 265 guichets permanents contre 6 657 agences pour la base du laboratoire C.R.E.T.E.I.L
Plus en détail2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays
Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe
Plus en détailMagonty, un quartier tourné vers l écologie de demain
Pessac, le 7 août 2009 Réf. : CQM-2009-30a-CV Magonty, un quartier tourné vers l écologie de demain Projet de cheminements verts Rapporteur Serge Degueil Responsable Commission Cadre de vie Yves Schmidt
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailLOCAL À LOUER. «ZAC SEGUIN RIVES DE SEINE» Quartier du Trapèze BOULOGNE BILLANCOURT Ilot B1 Passage Pierre Bézier
LOCAL À LOUER «Quartier du Trapèze BOULOGNE BILLANCOURT Ilot B1 Passage Pierre Bézier 152, bd Haussmann 75008 Paris Tél. : 01 53 53 23 23 Fax : 01 53 53 23 29 Email : contact@devim-commercialisation.fr
Plus en détailde l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires
ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Tableau économique de l artisanat MAI 2014 Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires Tableau économique de l artisanat
Plus en détailDes TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises
Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises Sonia Besnard, Pascale Chevalier, Patrice Victor, Insee Pays de la Loire Danièle Guillemot, Yusuf Kocoglu, Centre d études de l emploi En France,
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailÉvolution du tissu artisanal en Bretagne
du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse
Plus en détailÉtude sur les dépenses des étudiants universitaires
Rapport final Étude sur les dépenses des étudiants universitaires Projet 13574-010 Décembre 2010 507, place d Armes, bureau 700 Montréal (Québec) H2Y 2W8 Téléphone : 514-982-2464 Télécopieur : 514-987-1960
Plus en détailImmobilier de bureaux en Plaine de France
Immobilier de bureaux en Plaine de France Des dynamiques géographiques distinctes : La Plaine Saint Denis le Pole de Roissy Charles de Gaulle Le Cœur de la Plaine Rappelons que Paris et la petite couronne
Plus en détailChapitre 8. Estimation de la valeur d un bien immobilier
Chapitre 8 Estimation de la valeur d un bien immobilier L estimation de la valeur d un bien immobilier est utile notamment : 1. aux acheteurs et vendeurs potentiels ; 2. aux institutions de crédit, puisque
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 09-DCC-46 du 28 septembre 2009 relative à la prise en location-gérance par la société Distribution Casino France d un hypermarché détenu par la société Doremi L Autorité
Plus en détaild attractivité le développe économique, Le commerce Avril 2013 en collaborat
Mutations du commerce sur le secteur sauvegardé de Tours Etude 1996-2012 Le commerce est un élément de dynamisme et d attractivité des territoires ainsi qu un atout majeur en matière de vitalité et d animation
Plus en détailNORD (59) ROUBAIX Roubaix Est : Moulin, Potennerie, Sainte Elisabeth, Pile, Sartel Carihem, Trois ponts (ZRU - Liste prioritaire ANRU) Commerce diffus
NORD (59) ROUBAIX Roubaix Est : Moulin, Potennerie, Sainte Elisabeth, Pile, Sartel Carihem, Trois ponts (ZRU - Liste prioritaire ANRU) Le dispositif commercial existant Nature et composition Concentrations
Plus en détailPORTRAIT COMMERCIAL SDC SAINTE-ANNE-DE-BELLEVUE. Mission de la SDC. Principales caractéristiques
PORTRAIT COMMERCIAL Service de la mise en valeur du territoire Direction de l urbanisme et du développement économique SDC SAINTE-ANNE-DE-BELLEVUE Mission de la SDC Faire du village de une destination
Plus en détailFAVORISER LES DEPLACEMENTS ET LES TRANSPORTS LES MOINS POLLUANTS EXEMPLES, PROJETS, PROSPECTIVES
L EXEMPLE DE LA VILLE DE FRIBOURG ET DU QUARTIER VAUBAN EN ALLEMAGNE Responsables de 40 % des émissions de CO 2,, les transports routiers ont un impact non négligeable sur le réchauffement planétaire,
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1.1 Introduction.. 1. 1.2 Profil des familles de Stanstead 2. 1.3 Nature de la politique 3. Volet 1 : Prendre racine à Stanstead
PROGRAMME D AIDE FINANCIÈRE ET DE SOUTIEN AUX FAMILLES DE LA VILLE DE STANSTEAD EN COLLABORATION AVEC LA CAISSE DESJARDINS DE STANSTEAD DANS LE CADRE DE SA POLITIQUE DE BIENVENUE Projet rédigé par : Le
Plus en détailENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP
OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques
Plus en détailLes Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail
ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JANVIER 2011
MAIRIE DE MOISSELLES 5, rue du Moutier 95570 MOISSELLES Tél : 01 39 91 05 72 Fax : 01 39 35 15 09 mairie.moisselles@orange.fr COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JANVIER 2011 Présents
Plus en détailBac BEP CAP. Certification. Tertiaire. Sanitaire et social alidation. Parti. Parcours. Réussite VAE. Titre professionnel. Diplôme. Durée parco BEP CAP
ac Parcours Sanitaire et social alidation des personnes ayant passé un jury au cours de l année 2009 en Bretagne MARS 2012 Certification Bac Réussite Sanitaire et social Validation Parcours Certification
Plus en détailPrincipaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?»
Nombre de réponses Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?» Erwan Le Goff Doctorant en Géographie aménagement de l espace UMR 9 CNRS Espaces
Plus en détailURBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?
URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait
Plus en détail