VI) Exemple d une pépinière de plantes ornementales.
|
|
- Josiane Poulin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SOMMAIRE: Introduction. I) Définition d une pépinière. II) Objectifs de la pépinière. III) Définition d une pépinière horticole (pour espèces ornementales). IV) Implantation de la pépinière : IV.1) Le milieu économique. IV.2) Le milieu naturel. V) Organisation d une pépinière : V.1) Les bâtiments. V.2) L espace non construit. V.3) Installations diverses. VI) Exemple d une pépinière de plantes ornementales. Conclusion. 1
2 Introduction : Les plantes ornementales sont cultivées pour leurs qualités ornementales, plutôt que pour leurs valeurs commerciale ou économique. La culture des plantes ornementales est très ancienne, elle remonte aux temps les plus reculés, l homme ayant toujours cherché à embellir et à rendre plus accueillant son cadre de vie. Le plus souvent, les plantes ornementales sont cultivées pour leurs fleurs, cependant, leurs qualités d ornement peuvent être liées à d autres caractéristiques, tels que : la couleur, l aspect du feuillage, leur port (arbre, plante grimpante, buisson ) qui peuvent être modifiés par la taille, mais aussi les fruits, les tiges et le parfum qu elles dégagent. La pépinière offre des conditions optimales de croissance aux plantes ornementales (température, lumière, humidité de l air, humidité du substrat ). En outre, la pépinière permet aussi de produire des plants hors saison, hâtant la production par semis, sur couches chauffées ou en serre de multiplication. En plus, produire sur de petites surfaces, permet une meilleure organisation de la production et une maîtrise de son état sanitaire. La pépinière permet aussi de sélectionner les plants homogènes avant la plantation ou la vente. I) Définition d une pépinière : 2
3 La pépinière est un terme qui dérive du mot pépin, désignant le terrain, la surface, la zone choisie et valorisée consacrée à la multiplication et à l élevage des végétaux jusqu à ce qu ils puissent être plantés ailleurs.(nicolas J P et ROCHE HAMON Y., 1987). II) Objectifs de la pépinière : La pépinière vise à : - Assurer les bonnes conditions de croissance aux plants durant leur stade juvénile, - Produire des plants sur une superficie qui permettra de présenter les meilleures conditions de croissance, - Combattre les maladies et les parasites, - Produire des plants hors saison, - Offrir la possibilité de sélectionner des plants homogènes à planter et accroître le rendement. III) Définition d une pépinière horticole (pour espèces ornementales) : L horticulture est un terme qui dérive du latin (hortus = jardin, culture=cultiver), donc l horticulture est l art de cultiver les jardins. Les activités de l horticulture sont nombreuses, parmi elles, l horticulture ornementale. Une pépinière pour espèces ornementales, est une partie du terrain consacrée à l élevage et à la culture préparatoire des végétaux d ornement. (BALTET C, 1995). Les végétaux d ornement peuvent être : Des plantes ornementales telles que : l arum, le bégonia, la fougère. Des arbres ornementaux tels que : le lilas, le chèvrefeuille, le cyprès. La création d une pépinière pour plantes ornementales est similaire, en bien des points, à la création d une entreprise ; une analyse de projet s impose, pour pouvoir la réaliser, une étude de marché doit se faire afin d estimer la demande en plantes ornementales, ainsi que les moyens disponibles pour répondre à cette demande. IV) Implantation de la pépinière : 3
4 Avant d implanter la pépinière, il faut connaître les conditions économiques et celles du milieu pour évaluer les chances de sa réussite. IV.1) Le milieu économique : IV.1.1) Définition d un projet : Un projet est un ensemble d actions (constructions, équipements, services )à réaliser au cours d un temps bien déterminé au bénéfice d un commanditaire (Etat, organismes privés, groupe de personnes ), en vue de participer à un développement durable de l économie d un pays.(djebbara, 2000). IV.1.2) L analyse du projet : Etude d opportunité et de faisabilité : Il est indispensable d entreprendre une étude d opportunité ou de faisabilité avant le lancement de tout projet.cette étude doit être menée par une personne ayant une connaissance approfondie du lancement et de la gestion de la production, et ayant l expérience d un tel lancement.(centre DU COMMERCE INTERNATIONAL,1987) L étude doit porter sur les éléments suivants : - Sélection des régions et des sites, - Conditions de culture (climat, température, sol et eau), - Espèces et variétés provisoirement sélectionnées, - Transport et stockage, - Besoins d investissements, disponibilités de financement et coûts(y compris le coût des serres, des bureaux, des entrepôts, du transport, des équipements agricoles, les coûts du démarrage et les coûts annuels d exploitation), - Besoins opérationnels (gestion et main d œuvre, engrais, produits phytosanitaires, semences et matériels de plantation), - Appui de l Etat (incitations et stations de recherche horticoles). Si l étude fait ressortir de bonnes possibilités, une étude de faisabilité doit être envisagée. 4
5 L étude de faisabilité devra poser de façon explicite la question de savoir s il serait préférable de rechercher des solutions de remplacement pour parvenir aux mêmes objectifs. Elle permettra aux planificateurs de projet d éliminer les solutions de rechange non valables. Elle fournira l occasion d ajuster le projet au milieu physique et social et de vérifier qu il sera rentable. (GITTENGER J P, 1985) Cette étude doit fournir d avantage d informations détaillées sur les perspectives du marché pour le produit ou l ensemble de produits choisis. Il convient aussi d examiner les aspects économiques du projet : - Estimation financière (recettes de ventes, coûts d investissement, coûts d exploitation), - Evaluation commerciale (période d amortissement, taux interne de rentabilité, impôts sur la société), Durant le période initial du projet, les flux des capitaux sont habituellement négatifs. Il faut s assurer suffisamment de fonds pour couvrir cette période et faire face à toutes dépenses inopinées. L analyse de projet ainsi achevée, il faudra ensuite analyser le milieu naturel pour voir s il conviendra à l implantation d une pépinière horticole (plantes ornementales). IV.2) Le milieu naturel : L emplacement le plus favorable au succès d une pépinière, c est un bon sol, aéré n ayant pas à craindre les inondations ou les sécheresses permanentes, ayant un cours d eau ou des facilités d arrosage, et autant que possible dans une situation abritée contre les brouillards froids et les gelées printanières.(baltet C,1995) IV.2.1) Ie sol : Le sol est un ensemble complexe, évolutif qui permet la fixation et la nutrition de végétaux, le sol d une pépinière doit avoir les aptitudes culturales suivantes : - Capacité de rétention en eau, - Richesse en éléments fertilisants. En générale, le sol d une pépinière doit être fertile, dans le cas ou il ne l est pas, il est nécessaire de lui introduire des éléments fertilisants tels que : l azote 5
6 stimulant, l acide phosphorique fertilisant, la potasse donnant de la force ou procurant du ligneux par son association à la chaux ; enfin l action de la magnésie sur la virilité de la graine. Il est donc important de connaître et l appétit des végétaux, et la nourriture que peut leur fournir la terre et les principes nutritifs qui lui font défaut. Le sol de la pépinière doit également être désherbé, la grande majorité des désherbants actuellement homologués sont peu ou pas efficaces sur les plantes vivaces déjà implantées. Citons par exemple chiendon, avoine à chapelet, jonc, liseron, chardon et autres. Une fois les plantations en place, seules les interventions manuelles permettent de détruire les parties aériennes de ces plantes vivaces pour quelques semaines seulement. La meilleure méthode est donc de les éliminer avant la mise en place. (Comité national interprofessionnel de l horticulture ornementale et des pépinières : groupe de travail pépinières et cultures florales, 1991). IV.2.2) Le climat : Caractérisé par : - Une température optimale permettant le déclenchement de la germination et le développement de l embryon, les températures de C, sont très favorables, - Une humidité moyenne, bien répartie dans l année, pour favoriser la pousse sans entraver la réalisation des grands travaux, - Un vent modéré qui ne contraint pas à des investissements particuliers (tuteurage renforcé, brise vent ). (NICOLAS J P et ROCHE HAMON Y, 1987). IV.2.3) L eau : Les meilleurs eaux pour l arrosage des végétaux de pépinière sont les eaux pluviales, il est donc prudent de les recueillir par tous les moyens possibles el les faire arriver à la partie des carrés d élevage de jeunes plants. V) Organisation d une pépinière : V.1) Les bâtiments : 6
7 Regrouper sous un même toit : - L accueil des clients, - L administration de l entreprise, - Les vestiaires du personnel, de bureau et de terrain ainsi que la salle à manger et les sanitaires. Au dessus des aménagements : On dispose d un grenier qui peut recevoir les matériaux et matériels : -Volumineux (archives, emballages divers), -Légers (caisse de polystyrène, toiles à ombrer ) Aménagement d un hangar : L hangar doit être derrière les bureaux, est caractérisé par : - Une ouverture vers l extérieur opposée aux vents dominants, permettant le passage des camions de livraison, et ferment hermétiquement, - La charpente ne doit pas reposer sur des piliers centraux qui gêneraient l évolution des engins, la manutention, - Etre éclairé naturellement le jour et artificiellement la nuit, - Etre doté d une isolation thermique, d une installation de chauffage «hors gel». A proximité immédiate du hangar, prévoir : - Une pièce isotherme, une chambre froide, - Un atelier de réparation et d entretien avec une aire de lavage, - Un magasin pour recevoir le petit outillage, - Les abris à matériel. A proximité du hangar, on trouve : - Les serres et les tunnels, - Les carrés de jeunes plants et les aires de conteneurs, L ensemble doit : - Etre noyé dans la végétation, - Etre équipé de points de repère, de signaux pour les visiteurs ; et doit être entretenu, 7
8 - Etre facilement accessible aux véhicules importants : réception des machines diverses, vente de la production, - Etre doté d un parking (personnel et clients) d accès facile depuis la route pour entrer et sortir. V.2) L espace non construit : V.2.1) Les circulations : - Sont des zones non plantées, improductives mais indispensables à condition de les réduire au strict nécessaires, - Elles doivent desservir toutes les parties de la pépinière et être adaptées à la fréquentation, Exemple : chemin large, balisé, à revêtement dur, capable de supporter le passage des camions transportant la terre. Pistes enherbées serpentant parmi les cultures et destinées aux piétons (clients, visiteurs ) en générale, les circulations doivent être bombés pour pouvoir évacuer l eau, sans causer l érosion. V.2.2) Les carrés de culture : Les carrés de culture sont des parcelles de forme rectangulaire et travaillées mécaniquement, doivent constituer des unités de production facilement repérables, grâce aux fiches ou sont notés les travaux du sol, la fertilisation et le type de culture. V.2.3) Le parc à bois : C est un espace travaillé mécaniquement et traité (travaux du sol, fertilisation ), servant à : - Fournir les graines, les boutures, les greffons à partir des végétaux cultivés et qui répondent à ces besoins, - Ces végétaux mis en place doivent être fortement entretenus : traitements phytosanitaires, taille, limités en hauteur (pour obtenir un rajeunissement, favoriser la ramification et faciliter le travail). V.2.4) Les plantations utilitaires : 8
9 Sont des plantations diverses, occupant un petit espace : - Des bambous ou la canne de Provence (tuteurs), - De l osier, - Des joncs pour l attache. V.3) Installations diverses : V.3.1) Les serres horticoles : Ordinairement à armature métallique, couverte de verre, construites avec le souci d économiser ou de diversifier l énergie, on les rencontre surtout dans les pépinières de multiplication. V.3.2) Les tunnels horticoles : Ont pour objectifs : - Protéger du froid les plantes délicates, - Multiplication des végétaux (forçage des pieds-mères ), - Réaliser un mini forçage (sous abri, les rosiers, les azalées, fleurissent 15 jours plutôt, ce qui allonge la période de vente). NB : la couverture est retirée en été, redéployée à la mauvaise saison. V. 3.3) Les ombrières : Elles sont destinées à protéger d un ensoleillement très intense ou d une forte chaleur, un certain nombre de végétaux jugés être sensibles. Les ombrières sont des armatures métalliques, couvertes avec des produits locaux (branches de résineux, plantes grimpantes ). L industrie propose des toiles à ombrer d emploi facile et aux caractéristiques bien définies. (NICOLAS J P et ROCHE HAMON Y., 1987). V.3.4) Les clôtures : Sont conçues pour protéger les végétaux contre le vol. Les clôtures de la pépinière peuvent être : 9
10 - Des murs : leur construction est coûteuse, mais ne doivent pas s opposer aux courants d air et ne doivent pas aussi concentrer une chaleur trop intense. - Des grillages : ils existent en différentes hauteurs, avec différentes mailles, protégés par galvanisation ou plastifiés, fixés à demeure, soutenus par des poteaux en bois, métal ou ciment. (BALTET C, 1995). VI) Exemple d une pépinière de plantes ornementales : VI.1) Présentation globale : Il s agit de la pépinière de Mr.HIMEUR M., située dans la commune de Chéraga (wilaya d Alger), sur la route nationale n 233, reposant sur une superficie totale de 800m². Le personnel de cette pépinière est composé de 2 ouvriers permanents et autres saisonniers. Les espèces produites : Des espèces diverses sont produites dans cette pépinière, en fonction de la demande, telles que : l hibiscus, le pittosporum, le palmier, le cyprès, le laurier rose, le lierre et le rosier. Nature du sol : argilo sableux VI.2) Constitution de la pépinière : Cette pépinière se compose : VI.2.1) d un bâti administratif (20%) : Il est constitué d un hangar et du bureau du propriétaire. VI.2.2) le terrain proprement dit (80%) : Au niveau du terrain, on trouve : La serre en plastique : C est dans cette unique serre que sont réalisés les différentes méthodes de multiplication de plants, ces derniers sont fragiles au gel. La meilleure période pour la multiplication est pendant le repos végétal (Décembre, Janvier et Février). Le bouturage : 10
11 C est une technique de multiplication, appliquée à différentes espèces telles que : l hibiscus, le jasmin et le galant de nuit. Les boutures sont plantées dans des planches, qui contiennent du sable de rivière. Ensuite, ces boutures seront transférées dans de petits pots, ou ils séjourneront 1 mois avant de les mettre dans la terre. Le semi par graine : Est réalisé dans des pots en plastique pour le pittosporum, le casuarina et le cyprès. le marcottage : Cette technique de multiplication est réservée pour les plantes d intérieur, telle que le ficus, réalisée au printemps. Les différentes espèces multipliées, vont sortir de la serre pour être installées sous l ombrière. L ombrière : Elle est conçue pour la réalisation des objectifs suivants : - Economie de l eau, - Protection des jeunes plants, sortis de la serre, contre l ensoleillement. Constitution de l ombrière : Elle repose sur une superficie d environs 250m², constituée d une armature métallique, dont la partie supérieure est couverte par un mélange de rameaux de vigne vierge et de la canne. Le terrain de l ombrière est découpé en carrés, où sont disposés les conteneurs, qui accueillent les plants sortis de la serre. Derrière l ombrière se trouve : Un tunnel horticole : Il permet la réalisation des objectifs suivants : - Forçage de la plante, - Sert d abri contre le gel. 11
12 Le tunnel est couvert avec du polyéthylène ; au niveau de ce tunnel, est réalisé le semi direct pour quelques espèces telles que le cyprès, dans un sol sablo argileux, fertilisé et désherbé manuellement. NB : il faut aérer de temps à autre le tunnel, en enlevant le polyéthylène qui le couvre. Un parc à bois : C est une grande parcelle qui sert à la plantation de pieds-mères afin d approvisionner la pépinière en graines et boutures. NB : le sol du parc à bois est également sablo argileux, fertilisé et désherbé. Le greffage : C est une autre technique de multiplication, réservée aux rosiers mais réalisée en plein champs. Le greffage par écusson est caractérisé par les étapes suivantes : - Plantation du porte greffe, - Réalisation du greffage. Ces plants greffés vont être arrachés et transférés dans des pots métalliques, prêts à être vendus. VI.3) La commercialisation des produits de la pépinière : Cette pépinière produit annuellement plants, qui seront écoulés soit par : - Vente détaillée, - Vente en gros (pour l approvisionnement des fleuristes). La pépinière participe aussi à de nombreux projets pour la réalisation et l entretien des espaces verts (pour les hôtels, hôpitaux, APC ). La visite rendue à cette pépinière permet de constater que l étude théorique menée pour la création d une pépinière pour plantes ornementale, est réalisable et pourra se concrétiser dans la pratique. 12
13 Conclusion : La création d une pépinière horticole (plantes ornementales), doit se baser sur une bonne étude économique et sur des connaissances parfaites des conditions naturelles qui peuvent rendre cet endroit idéal à la multiplication des végétaux ornementaux. En Algérie, les pépinières de plantes ornementales ont une grande importance dans l approvisionnement du marché de plants d une part, et d autre part, elles participent à la création, embellissement et entretien des espaces verts. La bonne conduction de la pépinière et le respect des normes permettent d avoir des plants sains et vigoureux afin de réaliser les rendements financiers attendues, participer à l augmentation du nombre d espaces verts, protection de l environnement et pourquoi pas réaliser des exportations considérables. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES : 13
14 BALTET C., 1995.la pépinière : fruitière, forestière, arbustive, vigneronne et coloniale.paris, Laffitte, 841p. COMITE NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DE L HORTICULTURE ORNEMENTALE ET DES PEPIERES : GROUPE DE TRAVAIL PEPINIERES ET CULTURES FLORALES, Le désherbage des pépinières et plantations. Rungis, CNIH, 156p. DJEBBARA MADJID, Eléments de cours d analyse de projet. El Harrach, Institut National Agronomique, 27p. GITTENGER J P., Analyse économique des projets agricoles. Paris, Economica, p.26. INTERNATIONAL TRADE CENTER, Produits de la floriculture : étude des principaux marchés. Genève, centre du commerce international, 333p. NICOLAS J P., ROCHE HAMON Y., 1987.la pépinière. Paris, Lavoisier, 208p. 14
Informations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailLeader européen de l assurance pour l horticulture, le maraîchage et les pépinières
Gartenbau-Versicherung VVaG Succursale : 28 rue Schweighaeuser, B.P. 232 67006 Strasbourg Cedex Tél. 03 88 60 29 95 Fax 03 88 60 45 72 E-Mail : info@hortisecur.fr www.hortisecur.fr Leader européen de l
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailAnnexe A : Tableau des exigences
E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailL A T O U R D E P E I L Z Municipalité
V I L L E D E L A T O U R D E P E I L Z Municipalité PRÉAVIS MUNICIPAL No 25/2012 le 12 décembre 2012 Concerne : Demande d'un crédit de construction de 270'000.-- pour le remplacement des couches horticoles
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailLES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO
LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO Peu importe le domaine d activité, les entreprises les plus florissantes
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailLOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détailÉvaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final
Évaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final Mai 2010 Table des matières 1. Introduction...3 2. La méthodologie...4
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailCatalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au 01.01.2010)
Département des finances, des institutions et de la sécurité Service cantonal des contributions Section des personnes physiques Departement für Finanzen, Institutionen und Sicherheit Kantonale Steuerverwaltung
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détail1 Le chauffage des serres agricoles
1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailNous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailexcellence environnementale fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts
excellence environnementale Des pratiques pour l'excellence environnementale en région Poitou-Charentes fiche - action Utilisation d un broyeur de branches sur les chantiers espaces verts A partir de l
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailDOMAINE «ENVIRONNEMENT EXTERNE»
DOMAINE «ENVIRONNEMENT» DOMAINE : ENVIRONNEMENT EMPLOI-REPERE : EMPLOYE(E) D ENTRETIEN ET PETITS TRAVAUX (A) HOMME-FEMME TOUTES MAINS (A) Les conditions de réalisation de l intervention (lieu, équipements,
Plus en détailProduire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?
Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailÉvaluation, caractérisation et
Évaluation, caractérisation et élargissement de la gamme du matériel végétal de plantation de l'anacardier en cours de sélection au Bénin CRA-Centre/INRAB 2013-1014 Financement: GIZ/iCA 2/ Cashew Fund
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détailLA PEPINIERE D ENTREPRISES CENTRE SUD
Pour faciliter la création d entreprises ou l extension d activités en Province Sud L entreprise des entreprises LA PEPINIERE D ENTREPRISES CENTRE SUD UN NOUVEL ESPACE PROFESSIONNEL A NOUMEA DESCRIPTIF
Plus en détailUn pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :
Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailStatistique des permis d'urbanisme. Modèle II
MINISTERE DES AFFAIRES ECONOMIQUES INSTITUT NATIONAL DE STATISTIQUE Statistique des permis d'urbanisme Rue de Louvain, 44 1000 Bruxelles Tél : 02/548.62.48 Statistique des permis d'urbanisme Modèle II
Plus en détailLA NÉCESSITÉ D UNE VILLE PLUS VERTE LA DÉMARCHE COMMENT ÇA MARCHE?
GUIDE PÉDAGOGIQUE LA DÉMARCHE La Ville de Paris invite les Parisiens à recenser les lieux qui pourraient accueillir de la végétalisation au plus près de chez eux (délaissés, mobiliers urbains, murs ).
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailGarde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.
bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailMunicipalité de la paroisse de Saint-Lazare
Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION
Plus en détailun petit club de Tennis de la Riviera à vocation sociale JOURNÉE SALOPETTE Nettoyage printanier + travaux 2015 Etabli par : Marc Soldini Président
un petit club de Tennis de la Riviera à vocation sociale JOURNÉE SALOPETTE Nettoyage printanier + travaux 2015 Etabli par : Marc Soldini Président La Tour-de-Peilz, le 11.01.2015 1 DESCRIPTION La journée
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailToiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand
Toiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand par Brigitte Lavoie, diplomée en TPHE Valéry Simard, diplomée en PCHO Manon Tardif, professeure en Horticulture Institut de Technologie Agro-Alimentaire,
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailAvant de réparer ou remplacer le revêtement du toit
17/09/07 11:44 1 of 7 Les feuillets d information suivants sont de la série générale Votre maison. Avant de réparer ou remplacer le revêtement du toit Tout revêtement de toit doit à un moment ou à un autre
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détailLombricompost. «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante»
Lombricompost 1 «Il faut nourrir le sol pour nourrir la plante» Table des matières 1-Définition 3 2. Les différents types d engrais utilisés par les agriculteurs 3 21. Engrais d ordure de la ville 3 22.
Plus en détailCertificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»
Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27
Plus en détailACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES
TERMINOLOGIE (RÈGLEMENT 5001, ART.21) ABRI D AUTO PERMANENT (CAR-PORT) Construction accessoire reliée à un bâtiment principal formée d'un toit appuyé sur des piliers, dont un des côtés est mitoyen au bâtiment
Plus en détailGuide des autorisations d urbanisme
Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A
Plus en détailLES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP
LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée
Plus en détailToitures vertes : bien commun ou bien privé?
Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détail6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0
6150, 6166 Route 112, Ascot Corner, Qc., J0B 1A0 Les renseignements qui sont au dossier sont issus de documents appartenant au propriétaire vendeur. Le propriétaire vendeur atteste la conformité des données
Plus en détailBulletin d information
Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont
Plus en détailFiche technique sur la stabilisation des rives
Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.
Plus en détailConditions de trading ... Conditions générales de. vente et de livraison des. Pépinières Ebben
Conditions de trading... Conditions générales de vente et de livraison des Pépinières Ebben Sommaire Conditions de trading Les Pépinières Ebben sont une entreprise familiale qui transmet depuis la première
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailDiagnostic de la Tranche 1 du programme. de restauration de la Sienne
Diagnostic de la Tranche 1 du programme de restauration de la Sienne Méthodologie : - Choix du secteur géographique Le chiffrage a été fait à partir d un diagnostic global de la Tranche 1 du programme
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailVOS SYSTÈMES DE PRODUCTION MÉRITENT D ÊTRE PLUS PERFORMANTS! Les équipements de serres OTTE. Planification Construction Vente Montage Service
VOS SYSTÈMES DE PRODUCTION MÉRITENT D ÊTRE PLUS PERFORMANTS! Planification Construction Vente Montage Service www.otte-metallbau.de 1 2 3 Les équipements de serres OTTE Tablettes mobiles et tablettes mobiles
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailUne introduction aux chauffe-eau solaires domestiques
Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet de l utilisation de l énergie solaire afin de produire de l eau chaude domestique,
Plus en détailSubstrats professionnels
Substrats professionnels L horticulture moderne devient de plus en plus exigeante avec ses fournisseurs qui doivent s adapter à une sévère concurrence internationale. On constate une prise de conscience
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailINVITATION GRATUITE pour notre 16 ème édition
INVITATION GRATUITE pour notre 16 ème édition Nombre de places limité, inscrivez-vous vite Cette invitation comprend : > Le catalogue des Fournisseurs pour faire vos choix de rendez-vous > Votre agenda
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailManuel d application pour S&P C-Sheet 240
Manuel d application pour Exigences de qualité générale: Adhérence minimale du support > 1.0 N/mm 2 Température du support au minimum 3 C au-dessus de la température du point de rosée Humidité maximale
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailA unique sol ution for yo ur i
TM > Catalogue de produits L unique solution pour vos besoins en isolation A unique sol ution for yo ur i Des produits isolants pour l ensemble de la construction SECTION 07 01 > STYRO RAIL TM LA COMPAGNIE
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détail