Epargne et investissement
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- Tristan Lavallée
- il y a 9 ans
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1 Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus souvent sous-entendu lorsque l on parle «d épargne». - C est ce qui reste du RDB une fois la CF réalisée. - Cette épargne peut être consacrée à la FBCF en logement, ou à «l épargne financière», sous forme d actifs financiers plus ou moins liquides, acquis auprès des intermédiaires financiers, mais aussi directement sur les marchés. Epargne des entreprises : - Constituée des bénéfices non distribués aux actionnaires, des amortissements et des provisions. - Permet l autofinancement des investissements, ou être consacrée à des placements financiers. - Devenue une composante importante depuis les années 1990, car les entreprises dégagent depuis quelques années une capacité de financement (contrairement à ce que suppose habituellement la théorie) Epargne des APU : - Naît de l excédent des recettes budgétaires sur les dépenses occasionnées par les services publics (dépenses de fonctionnement, etc.). - Elle peut être augmentée par une hausse des impôts ou un baisse des dépenses publiques courantes. - Elle sert à financer les investissements publics (infrastructures par exemple). Peut aussi être prêtée à des entreprises par le biais d organismes spéciaux. «Investissement» : Opération qui consiste, pour une entreprise ou pour un pays, à augmenter le stock des moyens de production (machines, mais également le stock des connaissances humaines : investissement immatériels en capital humain), dans le but de produire davantage dans le futur. Concept multidimensionnel : - Investissement brut / net (prise en compte ou non de la CCF); possibilité de désinvestissement si la CCF est supérieure à l investissement brut - Investissement logement des ménages / investissement productif - En comptabilité nationale, investissement = FBCF + variation des stocks L investissement possède un caractère volontaire ou involontaire. C est l aspect volontaire de l investissement qui intéresse le théoricien, qui se penche sur le «comportement» d investissement (au niveau microéconomique ou macroéconomique) On peut décider de privilégier ici la notion de FBCF. C est à dire une vision étroite de l investissement (investissement matériel + une partie de l'investissement immatériel, et voulu).
2 «Et» : Mise en relation de deux concepts On peut envisager une relation d égalité ou d inégalité entre épargne et investissement : I = S ou bien : I >ou< S, il faut alors distinguer entre «exante» (équilibre économique) et «expost» (identité comptable) On peut aussi envisager une relation de causalité ou d interrelation. Il faut préciser dans quel sens va la causalité, et éventuellement s il se produit des effets retour : I S et/ou S I Il faut envisager les moyens par lesquels I et S peuvent être mis en relation, et notamment être rendus égaux. Il ne faut pas en rester aux niveaux de I et S, mais envisager la mise en relation de leur structure. Cadre spatio-temporel : Absent du sujet Cadre spatial : on pourra opposer les cas du Japon, et de l Allemagne (avant réunification) avec celui des Etats-Unis. Référence française en plus, si bien connue. Eventuellement PVD, ou à réserver pour ouverture du sujet. Cadre temporel : 3 époques paraissent nécessaires pour certains aspects de la relation entre épargne et investissement : (1) XIXème siècle : marchés financiers développés, donc règne de la «finance directe», ; (2) Après-Guerre, 30 Glorieuses : économie d endettement ; (3) Depuis les années 1980 : chute (puis faible remontée) de l épargne, phase d endettement important, mais retour vers économie de marchés. Références théoriques : En précisant les façons dont S et I pouvaient être «mis en relation», on a pointé les principaux problèmes qui devront être traités, et qui ont donné lieu à des controverses théoriques : d une part l égalité ou l inégalité entre S et I, et d autre part le sens de la causalité entre les deux. Le problème de l équilibre : Distinction entre équilibre I = S exante et expost. Globalement l identité I S est toujours vérifiée. Plus précisément, en économie ouverte, on a : (S - I) + (Tn - G) (x - IM) + RnRDM avec (S - I) : solde de l investissement dans l épargne pour les SQS et les ménages ; (Tn - G) : épargne publique ; (X - IM) : balance commerciale ; RnRDM : revenus nets reçus du reste du monde. Autrement dit, la somme des soldes internes privé et public est toujours et automatiquement égale au solde des paiements courants, expost. Un pays faisant face à une insuffisance d épargne nationale pour financer tous ses investissements résout son déséquilibre par appel à l épargne étrangère ; et inversement en cas d excédent. C est ainsi que se règlent les déséquilibres entre S et I au niveau mondial. Exemples : Japon / USA dans les années 1980 ; déséquilibres Nord/Sud avant les années 1970 ; déficits des pays industrialisés et PVD/OPEP dans les années 1970 ; plus récemment, appel aux capitaux extérieurs pour financer la réunification allemande. Toutefois, s il y a bien équilibre expost, il y a déséquilibre exante. Toute situation de déséquilibre se réglant avec l étranger est difficilement tenable de façon prolongée : peut déboucher sur dépendance économique et/ou politique (déficits), ou sur inflation
3 (excédents), en fonction d un certain nombre de facteurs (régime de changes notamment). Sur le plan national, y-a-t-il toujours équilibre exante entre S et I? Les diverses théories apportent des réponses opposées - Néo-Classiques : l épargne est le résultat d une décision individuelle, résultat d un calcul d optimisation intertemporel (choix de consommation présente/future) fonction croissante du taux d intérêt. L investissement est fonction décroissante du coût du capital. Sur le marché des fonds prêtables, l équilibre entre l offre et la demande détermine le taux d intérêt. L ajustement du taux d intérêt permet de toujours égaliser l épargne et l investissement, sur un marché de concurrence pure et parfaite, ou le prix est parfaitement flexible. S et I sont toujours nécessairement égaux exante. Compatibilité des plans des agents. - Keynésiens, néo-keynésiens : en univers incertain, l épargne n est pas le résultat d un calcul intertemporel, mais le solde du revenu après la consommation effectuée. Le niveau de l épargne dépend donc avant tout du revenu. La décision d investir dépend du taux d intérêt et des anticipations des entrepreneurs sur la demande effective. Les décisions d épargner et d investir ne dépendent pas des mêmes déterminants, et n ont donc pas de raison de coïncider exante. Le taux d intérêt ne peut pas assurer cette égalisation car il est déterminé sur le marché de la monnaie et non des fonds prêtables. l inégalité entre S et I est donc la règle et non l exception. La situation la plus probable est : S > I susceptible de déboucher sur une situation durable de sousemploi. Le problème du sens de la relation de causalité : Classiques (SMITH, RICARDO, MARX) : la notion «d avances» pour réaliser la production est essentielle. Ces avances sont réalisées grâce au «surplus» dégagé par l activité de production. Le surplus est en quelque sorte épargné, pour être investi dans la production future, sous forme d avances en capital et en travail. Il s agit d une épargne «réelle» et non monétaire. C est ce qui assure que tout ce qui est «épargné» est «investi» (pas de thésaurisation) Dans la théorie classique, ce sont les mêmes agents qui épargnent et investissent (les producteurs). D où la causalité S I. L épargne est préalable à l investissement. Néo-Classiques : les principes restent proches, mais ce ne sont plus forcément les mêmes agents qui épargnent et investissent. Rencontre des offres et demandes de fonds prêtables sur un marché. Les choix de consommation et d épargne sont les deux faces d une même décision d allocation intertemporelle des ressources. Ces choix président à la formation d une épargne constituée ainsi préalablement à l investissement. Keynésiens (cf. également MYRDAL) : le système bancaire «préfinance» la production, c est à dire distribue des crédits avant la constitution de l épargne, pour lancer l acte de production (pouvoir de création monétaire. D où la chaîne de causalité : crédits bancaires investissement production profits, revenus épargne. Soit : I S.
4 On retrouve aussi ce rôle important du préfinancement chez WICKSELL. Des idées similaires sont défendues par les Post-Keynésiens. Le problème de la mise en relation de l épargne et de l investissement : En niveau : le crédit bancaire permet d anticiper sur la formation de l épargne grâce à son pouvoir de création monétaire En structure : les marchés financiers ne sont pas toujours en mesure de faire concorder les souhaits des épargnants et des investisseurs intervention des intermédiaires financiers qui utilisent leur capacité de «transformation» pour faire concorder les caractéristiques des dettes et des créances (notamment en termes d échéances). Impact macroéconomique possible du mode de financement d une économie : - Prédominance de la création monétaire par le crédit bancaire (i.e. «économie d endettement», telle que cas français avant années 1980) : conséquences en termes d allocation (inefficace) des ressources ; conséquences inflationnistes peut ronger pouvoir d achat de l épargne. - Prédominance du financement via les marchés financiers développés (peu de création monétaire) «économie de marchés financiers» (France depuis le milieu des années 1980, Etats-Unis, Royaume-Uni, etc.) favorable à une bonne allocation des ressources Problématique : Si S = I expost, qu en est-il exante? Comment, par quel(s) intermédiaire(s), S et I peuvent-ils être mis en rapport, tant en niveau qu en structure? Quelles sont les implications macroéconomiques d une divergence, si elle est possible exante, entre S et I? Quel est le sens de la causalité entre S et I? Ces questions doivent être envisagées sur le plan national, mais également à l échelle internationale. Ouverture possible du sujet : lien entre épargne, investissement et croissance.
5 Suggestions de plans : I - L épargne : un préalable à l investissement A - L épargne et l investissement : résultats de choix individuels intertemporels rationnels 1. Le réinvestissement nécessaire du surplus chez les Classiques 2. L optimisation intertemporelle individuelle puis agrégée chez les néo-classiques B - L épargne et l investissement : nécessairement identiques exante comme expost, au niveau national comme mondial 1. De l équilibre comptable à l équilibre macroéconomique à l échelon national 2. et au niveau mondial II - L épargne : conséquence de l investissement A - L épargne et l investissement ; résultats de comportements macroéconomiques dont les déterminants sont indépendants 1. Pour Keynes et les post-keynésiens, l épargne dépend du revenu, tandis que l investissement dépend du taux d intérêt et des anticipations des entrepreneurs 2. Structure de l épargne et nécessité de mise en concordance des capacités et des besoins de financement (GURLEY et SHAW) B - La divergence naturelle entre les décisions d épargner et d investir est à l origine de distorsions préjudiciables au plan macroéconomique 1. Chômage et excès forcé d épargne chez Keynes et les post-keynésiens 2. Les effets pervers de l économie d endettement (niveau national, niveau mondial) Ou encore : I - L épargne : préalable ou résultat de l investissement? A - L épargne : une condition pour investir 1. Les déterminants de l épargne et de l investissement chez les Classiques et les néoclassiques 2. L épargne et l investissement sont nécessairement égaux, grâce à l adaptation des prix relatifs B - L épargne : une conséquence de l investissement 1. Les déterminants de l épargne et de l investissement dans la théorie keynésienne et post-keynésienne 2. La divergence qui s établit naturellement entre S et I soulève des problèmes macroéconomiques au niveau national comme au niveau mondial II - Le financement de l investissement par l épargne : le rôle des intermédiaires financiers A - Marchés permettant la concordance entre la structure des fonds prêtables et celle des besoins de financement 1. La finance directe : marché financier et marché monétaire 2. La finance indirecte ou l anticipation de l épargne grâce à la création de monnaie par les banques B - Mais le mode d égalisation entre fonds prêtables et souhaits de financement n est pas sans soulever de problèmes 1. Les vices d une «économie d endettement» 2. Les risques de bulles spéculatives attachées aux flux internationaux de capitaux. A consulter : SCHMIDT-HEBBEL K., SERVEN L. et SOLIMANO A. (1997), «Epargne, investissement et croissance», Problèmes Economiques, n , 5-12 mars, pp ; ou : The World Bank Research Observer, février 1996.
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