Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
|
|
- Claude Denis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
2 Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination au CHD La Roche-sur-Yon
3 Plan La demande de don et ses différents scénarios Cas concret de demande anticipée: exemple de l accident vasculaire cérébral La demande anticipée: une démarche marginale? Résultats d une enquête de pratique. Les bénéfices supposés d une demande anticipée Les difficultés de mise en œuvre Les recommandations des comités d éthiques Conclusion
4 La demande de don et ses différents scénarios Chronologie des étapes 1 er cas 2 ème cas 3 ème cas 4 ème cas Coma LAT DD EME DD E/S E/S E/S E/S - - E/S E/S - E/S E/S E/S E/S E/S E/S - E/S - - -
5 Demande après décès Chronologie des étapes 1 er cas 2 ème cas 3 ème cas 4 ème cas Coma LAT DD EME DD E/S E/S E/S E/S - - E/S E/S - E/S E/S E/S E/S E/S E/S - E/S - - -
6 Demandes anticipées Chronologie des étapes 1 er cas 2 ème cas 3 ème cas 4 ème cas Coma LAT DD EME DD E/S E/S E/S E/S - - E/S E/S - E/S E/S E/S E/S E/S E/S - E/S - - -
7 Demande de don: des scénarios multiples et à multiples intervenants SAMU / Urgences Patient- SME Proches Médecins de réanimation Infirmiers de réanimation Infirmiers de coordination Patient(s) receveur(s) Médecin et infirmier anesthésistes Chirurgiens Infirmiers du bloc opératoire Médecins spécialistes de la greffe
8 Cas concret de demande anticipée: exemple de l accident vasculaire cérébral
9 Recommanda)ons formalisées d experts (RFE) Champs 5 rela)f à la place du don dans l accident vasculaire cérébral (AVC)
10 La demande anticipée: une démarche marginale? Résultats d une enquête de pratique. C Grard ; Y Le Cam; L Dube ; J Libot ; JM Boyer ; D Perrin- Gachadoat ; L Martin-Lefevre Réseau de prélèvement d organes et de tissus des Pays de la Loire
11 Matériel et Méthodes Questionnaire individuel distribué par courriel 1ère partie : évaluation des pratiques à partir d un cas clinique présentant une démarche anticipée. «Homme de 76 ans pris en charge au Service accueil des urgences pour une hémorragie intracérébrale sans espoir thérapeutique. Décision d arrêt des traitements de réanimation mais proposition et acceptation de la famille d une réanimation d attente dans le seul but d un prélèvement d organes le patient n étant pas opposé au don. Prélèvement à 48h de son admission en réanimation» 2ème partie : évaluation des connaissances de la RFE et de son application dans les pratiques quotidiennes 6 Centres Préleveurs 4 Centres hospitaliers : La Roche-sur-Yon, Laval, Réseau sud francilien, Le Mans. 2 Centres hospitaliers universitaires : Nantes, Angers
12 Le Flow Chart 137 Ques)onnaires 2 réanimateurs pédiatriques 135 réponses exploitables Age moyen: 38 ans 97 Séniors 38 Internes 36 Réanimateurs 56 Urgen)stes 5 données manquantes (DM)
13 Résultats Participation à une demande anticipée (n=122) 88 (72%) ont déjà participé 34 (28%) n ont jamais participé
14 Résultats Dans votre établissement, à votre connaissance, un patient en coma grave secondaire à un accident vasculaire cérébral, intubé et ventilé, sans espoir de traitement et sans contreindication médicale évidente au don d organe, est admis en réanimation : après recherche d une opposition au don auprès des proches sans recherche d opposition au don mais après discussion d une LAT avec les proches Jamais / Parfois Souvent / Toujours 40% 60% 77% 23%
15 Des différences de pratiques entre réanimateurs et urgentistes Lors de la demande de don, le patient était-il en mort encéphalique? Sénior réa. (n= 36) Sénior urg. (n=56) p Toujours (%) 16 (48) 4 (9) < 0,001 Parfois (%) 17 (52) 32 (73) < 0,001 Jamais (%) 0 (0) 8 (18) < 0,001
16 Les limites de l étude Nombre des réponses Ne concerne que la pratique d une seule région très impliquée dans le prélèvement d organes
17 Les bénéfices supposés d une demande anticipée Pas de perte de donneur potentiel Pénurie d organes Élargissement des donneurs au donneur vivant au donneur après arrêt cardiaque au donneur «limite» Respect de la volonté du défunt Vérité auprès des proches et des soignants pas de réanimation avec des «non-dits» pas d acharnement thérapeutique
18 Les bénéfices supposés d une demande anticipée Temps de réflexion donné aux proches Accompagnement des proches Justice distributive Diminution de l opposition au don?
19 Les principales causes du refus du don Causes modifiables Insatisfaction vis-à-vis des soignants Incompréhension de la mort encéphalique Peur de la mutilation Intégrité du processus Sentiment que le patient a assez souffert Délai des funérailles Jugement subjectif du proche sur la qualité des organes Causes plus complexes Incertitudes quant aux souhaits du patients Désaccord au sein des proches Vision négative du don d organes Croyances culturelles et/ou religieuses opposées au prélèvement Épuisement émotionnel des familles
20 Les exigences pour éviter les écueils d une demande anticipée Réflexion séparée entre la décision de limitation des traitements de réanimation et la demande de don réflexion successive, jamais intriquée intervenants différents si possible (médecin en charge du patient et coordination hospitalière) Accompagnement des proches bonne compréhension de la démarche acceptation de la réanimation d attente Consensus entre tous les soignants
21 La demande anticipée et enquête de pratique (suite) : les facteurs limitants*
22 Les différences d expérience et de formation entre séniors SR (%) SU (%) p J ai le sentiment d avoir suffisamment d expérience pour mener à bien une discussion de demande de don 34/36 (94) 32/52 (62) < 0,001 J ai déjà participé à une formation concernant l entretien des proches pour la recherche d opposition au don. 18/36 (50) 11/55 (20) < 0,001
23 Recommandations du comité d éthique de l ABM concernant l abord anticipé des proches d un sujet en coma grave en vue d un prélèvement (10 janvier 2005) L approche anticipée est souhaitable dans certains cas, car elle permet au proche de réfléchir plus longuement et plus sereinement avant l annonce du décès à ce qu aurait été la volonté du patient L équipe médicale doit faire primer la réanimation dans un but thérapeutique L éventualité d un prélèvement ne doit en aucun cas «parasiter» la prise en charge la mieux adaptée Le comité d éthique estime indispensable, dans le cadre de la proposition de la loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, de mener une réflexion concernant l abord des proches à propos du prélèvement d organes dans le contexte d un arrêt des soins
24 Avis n 115 du comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (avril 2011) Maintenir une séparation nette entre les équipes de la réanimation -dont l objectif ne doit être que l intérêt du patient- et les équipes du prélèvement qui interviennent de façon seconde, après constat de la mort Renforcer la confiance de l ensemble de la société dans le dialogue mené par le personnel de la coordination hospitalière responsable du prélèvement. Ce dialogue demande une grande compétence ; il ne doit jamais apparaître comme une intrusion dans la vie intime des proches du défunt, mais comme un accompagnement dans le deuil, que le prélèvement ait lieu ou non.
25 Contribution de la commission d éthique de la SRLF à un scénario de mise en œuvre des prélèvements d organes de type Maastricht III Le soin dû à ces personnes ne doit en rien être modifié par le fait qu après le décès, des organes pourront être prélevés Respect absolu de la règle du donneur mort (le prélèvement ne cause ni ne hâte le décès) Une difficulté éthique majeure réside dans l annonce faite aux proches, une fois la décision d arrêt de traitement prise, de la possibilité, au cas où le décès surviendrait très rapidement après l arrêt de traitement, de prélever des organes Ø différent de la demande anticipée (pas de problème de temporalité)
26 Conclusion La demande anticipée nécessite Une absolue clarté dans l information donnée aux proches Une séparation stricte des rôles entre les soignants et les membres de la coordination Un consensus d établissement avec des protocoles écrits Des études évaluant l impact sociologique et psychologique concernant cette attitude aussi bien auprès des proches que des soignants
Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.
Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailDonneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches.
L Agence de la biomédecine DON D ORGANES le guide L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par
Plus en détailDON D ORGANES Donneur ou pas
Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par la loi de bioéthique du 6
Plus en détailDU PRELEVEMENT A LA GREFFE : REFLEXIONS LEGALES ET ETHIQUES
DU PRELEVEMENT A LA GREFFE : REFLEXIONS LEGALES ET ETHIQUES Préambule. Ce cours nous présentera le regard d un praticien non éthicien (Benoît AVERLAND) exerçant en «honnête homme» avec un regard relativement
Plus en détaille guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine
le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailen Nouvelle-Calédonie ET SI ON EN PARLAIT? Dossier de presse
en Nouvelle-Calédonie ET SI ON EN PARLAIT? Dossier de presse Le don d organes en nouvelle-calédonie Le don de son vivant Depuis une vingtaine d années, des patients souffrant d insuffisance rénale sont
Plus en détailLe guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé
DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailLes principaux facteurs explicatifs de l opposition au don d organes : synthèse d étude
Les principaux facteurs explicatifs de l opposition au don d organes : synthèse d étude Quelques mots sur Claire Boileau Anthropologue au CNRS, Claire Boileau est spécialiste des problématiques du corps,
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailConclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation. R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen
Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen Etat des lieux : prélèvements et greffes à l AP-HP Forte Activité de l AP-HP au plan national
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailAu Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007.
Communiqué de presse Luxembourg, le 2.02.2008 Campagne Il y a une vie après la mort. D après les statistiques d EUROTRANSPLANT, organisme européen qui gère les échanges d organes entre les pays Luxembourg,
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détail7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier
Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailDon d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.
Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailDr Grégoire Moutel Laboratoire d Ethique Médicale et de Médecine Légale Faculté de Médecine Université Paris 5 www.ethique.inserm.
Le don dans les pratiques médicales: Symbolique du don et exemple du don d organe Dr Grégoire Moutel Laboratoire d Ethique Médicale et de Médecine Légale Faculté de Médecine Université Paris 5 www.ethique.inserm.fr
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailCoordination Hospitalière de Prélèvements d Organes et de Tissus. Le don d organes et de tissus. Information du public
Coordination Hospitalière de Prélèvements d Organes et de Tissus Le don d organes et de tissus Information du public GENERALITES Le don d organes et la greffe représentent une priorité de santé publique.
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détailLA CHAINE DU PRELEVEMENT
LA CHAINE DU PRELEVEMENT et de la greffe Prélèvements et greffes Une volonté collective de qualité La pratique des prélèvements et des greffes représente pour un établissement de santé une mission exigeante.
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailSWISSTRANSPLANT. Fondation nationale suisse pour le don et la transplantation d organes. Fondée en 1985. Informations : Tel.
SWISSTRANSPLANT Fondation nationale suisse pour le don et la transplantation d organes Fondée en 1985 Informations : Tel. 0800 570 234 2 2 Historique de la transplantation rénale Evénements marquants Dates
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailL Udaf de l Isère. se positionne sur. les lois de. bioéthique. Dossier de presse. janvier 2011
L Udaf de l Isère se positionne sur les lois de bioéthique Dossier de presse janvier 2011 Contact : Marie Catrice 04 76 85 13 23 - mcatrice-udaf38@orange.fr 2 rue de Belgrade, 38000 Grenoble La Bioéthique?
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003
REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailLES PETITS DOSSIERS DE L OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE LA SANTÉ NORD-PAS-DE-CALAIS 2009 Numéro 22 UNE RÉGION DE DON
LES PETITS DOSSIERS DE L OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE LA SANTÉ NORD-PAS-DE-CALAIS 29 Numéro 22 UNE RÉGION DE DON Le Premier ministre a fait de l année 29, l année du don. En déclarant «grande cause nationale
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailDémarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc
Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc B.Ramdani Président du coneil consultatif de Transplantation d'organes et de tissus humains benyounsramdani@gmail.com 1 INTRODUCTION
Plus en détailMinistère de la Santé et de la Qualité de la Vie. Colloque sur le prélèvement de tissus et d organes Humains
Ministère de la Santé et de la Qualité de la Vie Colloque sur le prélèvement de tissus et d organes Humains Venue: Salle de Conférence Hôtel Gold Crest Quatre Bornes Jeudi 27 août à 14 heures 1 Miss How
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailDécidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès.
Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Le court-métrage sur le sujet transplantinfo.ch Vous pouvez être
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailL état de mort cérébrale: approche transculturelle
L état de mort cérébrale: approche transculturelle JMPG, Nice, 27 mars 2008 Sadek Beloucif, CHU Avicenne, Bobigny Mort Encéphalique? Qu est-ce que la mort? concept métaphysique définition légale critères
Plus en détailAVIS n 115. Questions d éthique relatives au prélèvement et au don d organes à des fins de transplantation
Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé AVIS n 115 Questions d éthique relatives au prélèvement et au don d organes à des fins de transplantation Membres du groupe
Plus en détailDossier de presse Conférence sur le don d'organes
Dossier de presse Conférence sur le don d'organes 5 septembre 2012 Sommaire 1. Invitation 2. Communiqué de presse 3. Chiffres-clés 4. Document de presse «Transplant» 5. Sondage INVITATION CONFÉRENCE DE
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLe prélèvement de moelle. osseuse. Agence relevant du ministère de la santé
Le prélèvement de moelle osseuse Agence relevant du ministère de la santé Vous êtes compatible avec un patient qui a besoin d une greffe 1 Avant le prélèvement La date du prélèvement La date du prélèvement
Plus en détailLA FONDATION REPOND A VOS QUESTIONS!
LA FONDATION REPOND A VOS QUESTIONS! I. JE M INFORME 1. Qu est-ce qu une greffe? 2. Quels sont les tissus et les organes que l on greffe? 3. Qui peut greffer? 4. Chacun peut-il être donneur? 5. Pourquoi
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailÉthique de la fin de vie
Éthique de la fin de vie Marta SPRANZI Faire vivre ou laisser mourir? Deux enquêtes récentes se penchent sur les dilemmes moraux et médicaux qui se posent dans les services de réanimation néonatale et
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailprocédure type POUR LE don d organes procédure type POUR LE don de tissus
procédure type POUR LE don d organes procédure type POUR LE don de tissus en relation avec l article 204.1 de la loi sur les services de santé et les services sociaux Centre hospitalier sans personnel
Plus en détailOn a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.
Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailDESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI
DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI Céline Gélinas, inf., Ph.D., Marie-Anik Robitaille, M.A., Lise Fillion, inf., Ph.D. & Manon Truchon, Ph.D. Dans
Plus en détailEtat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France
Etat des lieux de la recherche en soins infirmiers en France Impact de l universitarisation sur la recherche en soins infirmiers et son autonomie Catherine BARGIBANT- CHRU de LILLE Introduction 1. Enracinement
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailPage1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE
Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailEnjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur
Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola
Plus en détailLe financement du prélèvement et de la greffe d organes La région Centre face aux défis de la greffe
Le financement du prélèvement et de la greffe d organes La région Centre face aux défis de la greffe Abm / direction médicale et scientifique / pôle OFAS 1 2 3 Rôle et place de l Agence de la biomédecine
Plus en détailEvaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine
Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine A partir du lundi 28 octobre, vous devrez évaluer votre stage d externe du premier trimestre effectué entre le 01/08/2013 et le 27/10/201.
Plus en détailAccompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux
Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailLa démarche qualité. Un nouveau mode de management pour l hôpital
La démarche qualité Un nouveau mode de management pour l hôpital Quelques définitions La qualité selon la norme ISO La qualité selon la définition de l'oms L'assurance qualité selon la norme ISO Le management
Plus en détailHospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75
Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais Livret d accueil Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 PRESENTATION DE L HOSPITALISATION A DOMICILE MBC Hospitalisation à Domicile Mauges
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailLes donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie!
Les donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie! Kathy Poulin Infirmière ressource au don d organes et de tissus 1 Taux et nombre de donneurs décédés
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailLa lettre de la proximologie
La lettre de la proximologie JANVIER 2007 - N 36 Comprendre la relation entre la personne malade et ses proches TRANSPLANTATION ET ENTOURAGE FAMILIAL Don d'organe : l'entourage au centre de la décision
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détail