Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II
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- Gérard Leroy
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1 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs cervicales et de troubles concomitants de stade I et II : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; évaluer les facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive); fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants liés à une collision en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : 1. exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; 2. soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou, b) manipulation ou mobilisation; 3. relaxants musculaires d. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.3). À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : 1. exercices combinés supervisés; 2. exercices de chi kung supervisés; 3. yoga Iyengar; 4. soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : a) exercices visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou, b) manipulation ou mobilisation; 5. massage clinique; 6. traitement au laser à faible intensité; 7. anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) d. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.4). Interventions proscrites e : Interventions proscrites e : uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; massage tension/contre-tension ou de relaxation; collet cervical; programmes comprenant uniquement des exercices de renforcement intenses supervisés en milieu clinique; massage tension/contre-tension ou de relaxation; électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau); thérapie de relaxation pour soulager la douleur ou un handicap; neurostimulation transcutanée, EMS, diathermie pulsée à ondes courtes et chaleur (en EMS et chaleur (en clinique). clinique); électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau); injections de toxine botulinique. Personne rétablie Personne non rétablie : symptômes Personne rétablie Personne non rétablie : Donner congé. Donner congé. Rétablissement incomplet Lancer le protocole en cas de Rétablissement incomplet persistants. Les signes évoluent vers le stade III Procéder au cheminement Les signes évoluent vers le stade III Procéder au cheminement clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants de stade III. concomitants de stade III. Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Consulter un symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Consulter un médecin. médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyper-réflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale / carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d Les données probantes indiquent que l'analgésie est le principal bénéfice thérapeutique des relaxants musculaires et des AINS. Le soulagement de la douleur doit être apparent pendant la période initiale d'utilisation; en l'absence de bénéfices thérapeutiques, il est déconseillé de poursuivre l'utilisation. Il n'existe aucune preuve de différence d'efficacité des divers médicaments de chaque classe. Rien ne prouve non plus que toute combinaison de ces médicaments procure un bénéfice supplémentaire. L'utilisation de ces classes de médicaments peut entraîner des effets indésirables potentiellement importants. Enfin, le premier «palier» des non-opioïdes de l'échelle analgésique comprend les AINS, les relaxants musculaires et l'acétaminophène (VARGAS-SCHAFFER, G. «L échelle analgésique de l OMS convient-elle toujours? Vingt-quatre années d expérience», Médecin de famille canadien, vol. 56 [juin 2010]). Toutefois, comme les données probantes n'indiquent pas que l'acétaminophène est un analgésique efficace pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants ou les lombalgies, son utilisation est déconseillée. e S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
2 Cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Personnes blessées dans une collision routière qui ressentent des douleurs cervicales. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque des pathologies graves ou des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade IV a? Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade I ou II b? 5 Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade III Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III. 9 Facteurs pronostiques défavorable c? 8 Cibler les facteurs pronostiques modifiables. 10 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? Symptômes 3 mois? Symptômes 3 mois
3 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, d, e. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : i) exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; ii) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a. manipulation ou mobilisation; b. exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; iii) iii) relaxants musculaires f. 15 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, d, e. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : iv) exercices combinés supervisés; v) exercices de chi kung supervisés; vi) yoga Iyengar; vii) soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : c. exercices visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; d. manipulation ou mobilisation; viii) massage clinique; ix) traitement au laser à faible intensité; x) anti-inflammatoires non stéroïdiens f. 16 Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.4). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.3). Interventions proscrites g : 1) uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; 2) massage tension/contre-tension ou de relaxation; 3) collet cervical; 4) EMS et chaleur (en clinique); 5) électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau). Interventions proscrites g : 1) programmes comprenant uniquement des exercices de renforcement intenses supervisés en milieu clinique; 2) massage tension/contre-tension ou de relaxation; 3) thérapie de relaxation pour soulager la douleur ou un handicap; 4) neurostimulation transcutanée, EMS, diathermie pulsée à ondes courtes et chaleur (en clinique); 5) électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau); 6) injections de toxine botulinique. Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. 17 Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. 18 La personne rétablie? La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : lancer le protocole en cas de symptômes persistants (encadré 16). 2) Les signes évoluent vers le stade III : procéder au cheminement clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants de stade III. 3) Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. 1) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Les signes évoluent vers le stade III : procéder au cheminement clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants de stade III. 3) Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyper-réflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale/carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Si les symptômes s'aggravent, passer au protocole relatif aux douleurs cervicales et aux troubles concomitants de stade III ou aiguiller le patient. c Facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive). d Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. e L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. f Les données probantes indiquent que l'analgésie est le principal bénéfice thérapeutique des relaxants musculaires et des AINS. Le soulagement de la douleur doit être apparent pendant la période initiale d'utilisation; en l'absence de bénéfices thérapeutiques, il est déconseillé de poursuivre l'utilisation. Il n'existe aucune preuve de différence d'efficacité des divers médicaments de chaque classe. Rien ne prouve non plus que toute combinaison de ces médicaments procure un bénéfice supplémentaire. L'utilisation de ces classes de médicaments peut entraîner des effets indésirables potentiellement importants. Enfin, le premier «palier» des non-opioïdes de l'échelle analgésique comprend les AINS, les relaxants musculaires et l'acétaminophène (Vargas-Schaffer, G. «Is the WHO analgesic ladder still valid? Twenty-four years of experience», Canadian Family Physician, vol. 56 [juin 2010]). Toutefois, comme les données probantes n'indiquent pas que l'acétaminophène est un analgésique efficace pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants ou les lombalgies, son utilisation est déconseillée. g S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
4 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs cervicales et de troubles concomitants de stade III : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; évaluer les facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive); fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, c. 1) Éducation structurée, réconfort 2) Exercices de renforcement progressif supervisé du cou Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.2.3). Consulter un médecin pour évaluer la pertinence d'un examen approfondi des déficits neurologiques b, c. * Aucune preuve admissible de soulagement efficace des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III persistants Interventions proscrites d : collet cervical; uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; traitement au laser à faible intensité; traction intermittente.. Intervention proscrite d : collet cervical. : Personne rétablie Donner congé. Amélioration (disparition des signes neurologiques) Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes ou manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyperréflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale / carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
5 Cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III Personnes blessées dans une collision routière qui ressentent des douleurs cervicales. 1 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 2 Facteurs de risque des pathologies graves ou des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade IV a? Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade III b 5 Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade I ou II Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. 9 Facteurs pronostiques défavorable c? 8 Cibler les facteurs pronostiques modifiables. 10 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. 12 Symptômes 3 mois? 11 Symptômes 3 mois
6 13 14 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, d, e. 1) Éducation structurée, réconfort 2) Exercices de renforcement progressif supervisé du cou Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.2.3). Consulter un médecin pour évaluer la pertinence d'un examen approfondi des déficits neurologiques b, d. Intervention proscrite f : collet cervical. Interventions proscrites f : uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; traitement au laser à faible intensité; traction intermittente; collet cervical Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. La personne rétablie? Y a-t-il des signes neurologiques, une évolution importante des symptômes ou la manifestation d'une pathologie grave? Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyper-réflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale/carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'amélioration des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence. c Évaluer les facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive). d Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. e L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. f S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
7 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 2 Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Accompagnés de 6 7 Symptôme s 3 mois? douleurs cervicales et Douleurs cervicales et de troubles troubles concomitants concomitants? de stade I ou II? 8 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. Aller à l'encadré Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade III 10 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III S'agit-il d'une céphalée cervicogénique? 12 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées cervicogéniques. S'agit-il de céphalées de tension épisodiques? 14 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension épisodiques. 15 S'agit-il de céphalées de tension chroniques? 16 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension chroniques. 17 Autre type de céphalées Consulter le fournisseur de soins de santé compétent. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (e ssai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient (la migraine est la cause la plus fréquente des céphalées matinales); patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer.
8 Guide de référence rapide Prise en charge des céphalées de tension épisodiques Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de céphalées de tension épisodiques, après avoir écarté les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a : fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension épisodiques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'intervention thérapeutique ci-dessous est recommandée b. Intervention à domicile et en milieu clinique : 1. exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.2). Interventions proscrites d : manipulation de la colonne vertébrale. Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie / rétablissement incomplet ou évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
9 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension épisodiques Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension épisodiques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? 6 7 Yes 8 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'intervention thérapeutique ci-dessous est recommandée b. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge. Intervention proscrite d : 1) manipulation de la colonne cervicale. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.2). La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : voir le diagramme approprié ou consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de resp irer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
10 Guide de référence rapide Prise en charge des céphalées de tension chroniques Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de céphalées de tension chroniques, après avoir écarté les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a : fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension chroniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. Intervention à domicile et en milieu clinique : 1. exercices généraux (échauffements, étirements et renforcement du cou et des épaules, exercices aérobiques); 2. exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 3. soins multimodaux qui comprennent une combinaison de mobilisation de la colonne, d'exercices craniocervicaux et de correction de la posture. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.4). Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie / rétablissement incomplet ou évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure.
11 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension chroniques Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension chroniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) exercices généraux (échauffements, étirements et renforcement du cou et des épaules, exercices aérobiques); 2) exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 3) soins multimodaux qui comprennent une combinaison de mobilisation de la colonne, d'exercices craniocervicaux et de correction de la posture. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.4). La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : voir le diagramme approprié ou consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (e ssai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure.
12 Guide de référence rapide Prise en charge des céphalées cervicogéniques Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de céphalées cervicogéniques, après avoir écarté les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a : fournir des renseignements sur la nature, le soulagement et le processus de rétablissement des céphalées cervicogéniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique b, c : 1. exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 2. thérapie manuelle (manipulation avec ou sans mobilisation) de la colonne cervicale et thoracique. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.6). Intervention proscrite d : programme de soins multimodaux qui comprennent une combinaison de manipulation et de mobilisation de la colonne, ainsi que d'exercices d'endurance à faible charge. Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie / rétablissement incomplet ou évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
13 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées cervicogéniques Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l évolution des céphalées cervicogéniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 2) thérapie manuelle (manipulation avec ou sans mobilisation) de la colonne cervicale et de la colonne thoracique. Intervention proscrite d : 1) programme multimodal de soins qui comprend la combinaison d'une manipulation de la colonne, la mobilisation de la colonne et des exercices d'endurance à faible charge. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.6). La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : voir le diagramme approprié ou consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (e ssai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
14 Guide de référence rapide Prise en charge des épicondylites Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent d'une épicondylite : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution de l'épicondylite en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c, d Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 2. soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c, d Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. technique faisant appel à l'énergie musculaire; 2. relâchement myofascial; 3. bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 4. exercices d'étirement et (ou) de renforcement à la maison; 5. soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.3). e Interventions proscrites : neurostimulation transcutanée; bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.4). e Interventions proscrites : neurostimulation transcutanée; bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Personne rétablie Personne non rétablie : Donner congé. Rétablissement incomplet Lancer le protocole en cas de symptômes persistants. Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie : Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : antécédents de traumatisme important; antécédents d'arthrite inflammatoire; antécédents de perte de poids importante inexpliquée; fièvre; articulations enflées et douloureuses; signes et symptômes neurologiques progressifs/généralisés; douleur aigüe et incessante la nuit; douleur généralisée inexpliquée; douleur incessante au repos. b En cas d'épicondylite médiale, il convient de prendre des précautions particulières pour protéger le nerf cubital. c Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. d L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. e S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
15 Cheminement clinique pour la prise en charge des épicondylites Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent d'une épicondylite. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 4 Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? 3 6 Autres bl essures? 5 Consulter les cheminements cliniques appropriés et procéder à une prise en charge conjointe. 7 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution de l'épicondylite en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? Symptô mes 3 mois? 10 Symptômes 3 mois À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques cidessous est recommandée b, c, d. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 2) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. Interventions proscrites e : 1) neurostimulation transcutanée; 2) bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.3). À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c, d. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) technique faisant appel à l'énergie musculaire; 2) relâchement myofascial; 3) bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 4) exercices d'étirement et (ou) de renforcement à la maison; 5) soins multimodaux comprenant la combinaison de ce qui suit (s'ils n'ont pas été prodigués pendant les trois premiers mois de soins) : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. Interventions proscrites e : 1) neurostimulation transcutanée; 2) bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.4).
16 La personne rétablie après trois mois? La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : lancer le protocole en cas de symptômes persistants (encadré 13). 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. 1) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : antécédents de traumatisme important; antécédents d'arthrite inflammatoire; antécédents de perte de poids importante inexpliquée; fièvre; articulations enflées et douloureuses; signes et symptômes neurologiques progressifs/généralisés; douleur aigüe et incessante la nuit; douleur généralisée inexpliquée; douleur incessante au repos. b En cas d'épicondylite médiale, il convient de prendre des précautions particulières pour protéger le nerf cubital. c Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. d L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. e S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
17 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs à l'épaule Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs à l'épaule : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs à l'épaule en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2. manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervico-thoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 3. soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.3). d Interventions proscrites : fibrolyse diacutanée; ultrasons; électrothérapie à courants interférentiels. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2. exercices d'étirement et de renforcement; 3. soins de médecine générale habituels (renseignements, recommandations et traitement pharmaceutique ou médical éventuel de la douleur); 4. manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervicothoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 5. exercices combinés et supervisés d'étirement et de renforcement; 6. soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.4). d Interventions proscrites : fibrolyse diacutanée; thérapie par ondes de choc; mobilisations cervicales; soins multimodaux comprenant une combinaison d'exercices, de mobilisation, de bandages, d'interventions psychologiques et de massage; ultrasons; électrothérapie à courants interférentiels. Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie : Rétablissement incomplet Lancer le protocole en cas de symptômes persistants. Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie : Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : difformité, enflure ou érythème inexpliqué de la peau; faiblesse importante non attribuable à la douleur; antécédents de malignité; malignité soupçonnée (p. ex., perte de poids ou d'appétit); fièvre/frissons/malaises; déficits sensoriels/moteurs importants inexpliqués; atteinte vasculaire ou pulmonaire; incapacité d'effectuer des mouvements; douleur au repos. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
18 Cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs à l'épaule Personnes blessées dans une collision routière qui ressentent de la douleur à l'épaule. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 4 Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? 3 6 Autres blessures? 5 Consulter les cheminements cliniques appropriés et procéder à une prise en charge conjointe. 7 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs à l'épaule en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? Symptômes 3 mois? 10 Symptômes 3 mois
19 12 13 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques cidessous est recommandée b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2) manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervico-thoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 3) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Interventions proscrites d : 1) fibrolyse diacutanée; 2) traitement par ultrasons; 3) électrothérapie à courants interférentiels. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.3). À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2) exercices d'étirement et de renforcement; 3) soins de médecine générale habituels (renseignements, recommandations et traitement pharmaceutique ou médical éventuel de la douleur); 4) manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervico-thoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 5) exercices combinés et supervisés d'étirement et de renforcement; 6) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Interventions proscrites d : 1) fibrolyse diacutanée; 2) traitement par ondes de choc; 3) mobilisations cervicales; 4) soins multimodaux comprenant une combinaison d'exercices, de mobilisation, de bandages, d'interventions psychologiques et de massage; 5) traitement par ultrasons; 6) électrothérapie à courants interférentiels. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.4). La personne rétablie après trois mois? La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : lancer le protocole en cas de symptômes persistants (encadré 13). 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. 1) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : difformité, enflure ou érythème inexpliqué de la peau; faiblesse importante non attribuable à la douleur; antécédents de malignité; malignité soupçonnée (p. ex., perte de poids ou d'appétit); fièvre/frissons/malaises; déficits sensoriels/moteurs importants inexpliqués; atteinte vasculaire ou pulmonaire; incapacité d'effectuer des mouvements; douleur au repos. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.
20 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs à l'épaule avec ténosite ossifiante Prise en charge des ténosites ossifiantes Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs à l'épaule avec ténosite ossifiante : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs à l'épaule avec ténosite ossifiante en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'intervention thérapeutique ci-dessous est recommandée b. 1. Traitement par ondes de choc d'une amplitude allant de 0,08 mj/mm 2 à 0,6 mj/mm 2 Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.3.2). Personne rétablie Personne non rétablie : Donner congé. Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): difformité, enflure ou érythème inexpliqué de la peau; faiblesse importante non attribuable à la douleur; antécédents de malignité; malignité soupçonnée (p. ex., perte de poids ou d'appétit); fièvre/frissons/malaises; déficits sensoriels/moteurs importants inexpliqués; atteinte vasculaire ou pulmonaire; incapacité d'effectuer des mouvements; douleur au repos. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité.
o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
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