Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II"

Transcription

1 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs cervicales et de troubles concomitants de stade I et II : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; évaluer les facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive); fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants liés à une collision en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : 1. exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; 2. soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou, b) manipulation ou mobilisation; 3. relaxants musculaires d. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.3). À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : 1. exercices combinés supervisés; 2. exercices de chi kung supervisés; 3. yoga Iyengar; 4. soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : a) exercices visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou, b) manipulation ou mobilisation; 5. massage clinique; 6. traitement au laser à faible intensité; 7. anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) d. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.4). Interventions proscrites e : Interventions proscrites e : uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; massage tension/contre-tension ou de relaxation; collet cervical; programmes comprenant uniquement des exercices de renforcement intenses supervisés en milieu clinique; massage tension/contre-tension ou de relaxation; électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau); thérapie de relaxation pour soulager la douleur ou un handicap; neurostimulation transcutanée, EMS, diathermie pulsée à ondes courtes et chaleur (en EMS et chaleur (en clinique). clinique); électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau); injections de toxine botulinique. Personne rétablie Personne non rétablie : symptômes Personne rétablie Personne non rétablie : Donner congé. Donner congé. Rétablissement incomplet Lancer le protocole en cas de Rétablissement incomplet persistants. Les signes évoluent vers le stade III Procéder au cheminement Les signes évoluent vers le stade III Procéder au cheminement clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants de stade III. concomitants de stade III. Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Consulter un symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Consulter un médecin. médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyper-réflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale / carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d Les données probantes indiquent que l'analgésie est le principal bénéfice thérapeutique des relaxants musculaires et des AINS. Le soulagement de la douleur doit être apparent pendant la période initiale d'utilisation; en l'absence de bénéfices thérapeutiques, il est déconseillé de poursuivre l'utilisation. Il n'existe aucune preuve de différence d'efficacité des divers médicaments de chaque classe. Rien ne prouve non plus que toute combinaison de ces médicaments procure un bénéfice supplémentaire. L'utilisation de ces classes de médicaments peut entraîner des effets indésirables potentiellement importants. Enfin, le premier «palier» des non-opioïdes de l'échelle analgésique comprend les AINS, les relaxants musculaires et l'acétaminophène (VARGAS-SCHAFFER, G. «L échelle analgésique de l OMS convient-elle toujours? Vingt-quatre années d expérience», Médecin de famille canadien, vol. 56 [juin 2010]). Toutefois, comme les données probantes n'indiquent pas que l'acétaminophène est un analgésique efficace pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants ou les lombalgies, son utilisation est déconseillée. e S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

2 Cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Personnes blessées dans une collision routière qui ressentent des douleurs cervicales. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque des pathologies graves ou des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade IV a? Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade I ou II b? 5 Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade III Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III. 9 Facteurs pronostiques défavorable c? 8 Cibler les facteurs pronostiques modifiables. 10 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? Symptômes 3 mois? Symptômes 3 mois

3 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, d, e. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : i) exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; ii) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a. manipulation ou mobilisation; b. exercices non supervisés visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; iii) iii) relaxants musculaires f. 15 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, d, e. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. Éducation structurée (conseiller de rester actif), réconfort et l'un des éléments suivants : iv) exercices combinés supervisés; v) exercices de chi kung supervisés; vi) yoga Iyengar; vii) soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : c. exercices visant à restaurer l'amplitude des mouvements du cou; d. manipulation ou mobilisation; viii) massage clinique; ix) traitement au laser à faible intensité; x) anti-inflammatoires non stéroïdiens f. 16 Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.4). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.1.3). Interventions proscrites g : 1) uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; 2) massage tension/contre-tension ou de relaxation; 3) collet cervical; 4) EMS et chaleur (en clinique); 5) électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau). Interventions proscrites g : 1) programmes comprenant uniquement des exercices de renforcement intenses supervisés en milieu clinique; 2) massage tension/contre-tension ou de relaxation; 3) thérapie de relaxation pour soulager la douleur ou un handicap; 4) neurostimulation transcutanée, EMS, diathermie pulsée à ondes courtes et chaleur (en clinique); 5) électroacupuncture (stimulation électrique de points d'acupuncture au moyen d'aiguilles d'acupuncture ou d'électrothérapie appliquée sur la peau); 6) injections de toxine botulinique. Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. 17 Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. 18 La personne rétablie? La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : lancer le protocole en cas de symptômes persistants (encadré 16). 2) Les signes évoluent vers le stade III : procéder au cheminement clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants de stade III. 3) Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. 1) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Les signes évoluent vers le stade III : procéder au cheminement clinique indiqué pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants de stade III. 3) Manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyper-réflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale/carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Si les symptômes s'aggravent, passer au protocole relatif aux douleurs cervicales et aux troubles concomitants de stade III ou aiguiller le patient. c Facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive). d Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. e L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. f Les données probantes indiquent que l'analgésie est le principal bénéfice thérapeutique des relaxants musculaires et des AINS. Le soulagement de la douleur doit être apparent pendant la période initiale d'utilisation; en l'absence de bénéfices thérapeutiques, il est déconseillé de poursuivre l'utilisation. Il n'existe aucune preuve de différence d'efficacité des divers médicaments de chaque classe. Rien ne prouve non plus que toute combinaison de ces médicaments procure un bénéfice supplémentaire. L'utilisation de ces classes de médicaments peut entraîner des effets indésirables potentiellement importants. Enfin, le premier «palier» des non-opioïdes de l'échelle analgésique comprend les AINS, les relaxants musculaires et l'acétaminophène (Vargas-Schaffer, G. «Is the WHO analgesic ladder still valid? Twenty-four years of experience», Canadian Family Physician, vol. 56 [juin 2010]). Toutefois, comme les données probantes n'indiquent pas que l'acétaminophène est un analgésique efficace pour les douleurs cervicales et les troubles concomitants ou les lombalgies, son utilisation est déconseillée. g S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

4 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs cervicales et de troubles concomitants de stade III : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; évaluer les facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive); fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, c. 1) Éducation structurée, réconfort 2) Exercices de renforcement progressif supervisé du cou Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.2.3). Consulter un médecin pour évaluer la pertinence d'un examen approfondi des déficits neurologiques b, c. * Aucune preuve admissible de soulagement efficace des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III persistants Interventions proscrites d : collet cervical; uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; traitement au laser à faible intensité; traction intermittente.. Intervention proscrite d : collet cervical. : Personne rétablie Donner congé. Amélioration (disparition des signes neurologiques) Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes ou manifestation d'une pathologie grave (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyperréflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale / carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

5 Cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III Personnes blessées dans une collision routière qui ressentent des douleurs cervicales. 1 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 2 Facteurs de risque des pathologies graves ou des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade IV a? Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade III b 5 Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade I ou II Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. 9 Facteurs pronostiques défavorable c? 8 Cibler les facteurs pronostiques modifiables. 10 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. 12 Symptômes 3 mois? 11 Symptômes 3 mois

6 13 14 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, les interventions thérapeutiques ci-dessous sont recommandées b, d, e. 1) Éducation structurée, réconfort 2) Exercices de renforcement progressif supervisé du cou Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 4.2.3). Consulter un médecin pour évaluer la pertinence d'un examen approfondi des déficits neurologiques b, d. Intervention proscrite f : collet cervical. Interventions proscrites f : uniquement de l'éducation structurée au patient, sous forme verbale ou écrite; traitement au laser à faible intensité; traction intermittente; collet cervical Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. Réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur. La personne rétablie? Y a-t-il des signes neurologiques, une évolution importante des symptômes ou la manifestation d'une pathologie grave? Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : cancer (antécédents de cancer, perte de poids inexpliquée, douleur nocturne, âge > 50 ans), infection vertébrale (fièvre, consommation de drogues par voie intraveineuse, infection récente), fractures ostéoporotiques (antécédents d'ostéoporose, utilisation de corticostéroïdes, âge plus avancé), fracture traumatique (présence des critères de la Règle canadienne concernant la radiographie de la colonne cervicale), myélopathie déficits neurologiques progressifs/graves (raideur et douleur dans le cou et la nuque, douleur et faiblesse aux bras, changements sensoriels aux membres inférieurs, faiblesse motrice et atrophie, hyper-réflexivité, démarche spasmodique), dissection de l'artère vertébrale/carotide (apparition soudaine et intense de céphalées ou de cervicalgie), hémorragie cérébrale / lésion expansive (apparition soudaine et intense de céphalées), arthrite inflammatoire (raideur matinale, enflure à plusieurs articulations). b Effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'amélioration des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence. c Évaluer les facteurs qui retardent le rétablissement : antécédents de douleurs cervicales et de troubles concomitants liés à une collision, âge plus avancé, niveaux élevés de douleur initiale, facteurs psychologiques ultérieurs à l'accident (faibles attentes concernant le rétablissement, humeur dépressive, anxiété ou peur concernant la douleur, kinésiophobie, trouble de stress aigu [symptômes 4 semaines après la blessure], trouble de stress post-traumatique [symptômes 4 semaines], niveaux élevés de frustration ou de colère concernant la douleur, adaptation passive). d Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. e L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. f S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

7 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 2 Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Accompagnés de 6 7 Symptôme s 3 mois? douleurs cervicales et Douleurs cervicales et de troubles troubles concomitants concomitants? de stade I ou II? 8 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II. Aller à l'encadré Douleurs cervicales et troubles concomitants de stade III 10 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade III S'agit-il d'une céphalée cervicogénique? 12 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées cervicogéniques. S'agit-il de céphalées de tension épisodiques? 14 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension épisodiques. 15 S'agit-il de céphalées de tension chroniques? 16 Consulter le cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension chroniques. 17 Autre type de céphalées Consulter le fournisseur de soins de santé compétent. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (e ssai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient (la migraine est la cause la plus fréquente des céphalées matinales); patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer.

8 Guide de référence rapide Prise en charge des céphalées de tension épisodiques Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de céphalées de tension épisodiques, après avoir écarté les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a : fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension épisodiques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'intervention thérapeutique ci-dessous est recommandée b. Intervention à domicile et en milieu clinique : 1. exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.2). Interventions proscrites d : manipulation de la colonne vertébrale. Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie / rétablissement incomplet ou évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

9 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension épisodiques Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension épisodiques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? 6 7 Yes 8 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'intervention thérapeutique ci-dessous est recommandée b. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge. Intervention proscrite d : 1) manipulation de la colonne cervicale. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.2). La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : voir le diagramme approprié ou consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de resp irer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

10 Guide de référence rapide Prise en charge des céphalées de tension chroniques Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de céphalées de tension chroniques, après avoir écarté les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a : fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension chroniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. Intervention à domicile et en milieu clinique : 1. exercices généraux (échauffements, étirements et renforcement du cou et des épaules, exercices aérobiques); 2. exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 3. soins multimodaux qui comprennent une combinaison de mobilisation de la colonne, d'exercices craniocervicaux et de correction de la posture. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.4). Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie / rétablissement incomplet ou évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure.

11 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées de tension chroniques Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des céphalées de tension chroniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) exercices généraux (échauffements, étirements et renforcement du cou et des épaules, exercices aérobiques); 2) exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 3) soins multimodaux qui comprennent une combinaison de mobilisation de la colonne, d'exercices craniocervicaux et de correction de la posture. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.4). La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : voir le diagramme approprié ou consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (e ssai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure.

12 Guide de référence rapide Prise en charge des céphalées cervicogéniques Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de céphalées cervicogéniques, après avoir écarté les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a : fournir des renseignements sur la nature, le soulagement et le processus de rétablissement des céphalées cervicogéniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; réévaluer et surveiller la présence d'un trouble de stress aigu, d'un trouble de stress post-traumatique, d'une kinésiophobie, d'une adaptation passive, de dépression, d'anxiété, de colère, de frustration et de peur; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique b, c : 1. exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 2. thérapie manuelle (manipulation avec ou sans mobilisation) de la colonne cervicale et thoracique. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.6). Intervention proscrite d : programme de soins multimodaux qui comprennent une combinaison de manipulation et de mobilisation de la colonne, ainsi que d'exercices d'endurance à faible charge. Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie / rétablissement incomplet ou évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (essai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

13 Cheminement clinique pour la prise en charge des céphalées cervicogéniques Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent de céphalées. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l évolution des céphalées cervicogéniques en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. A. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) exercices d'endurance craniocervicale et cervicoscapulaire à faible charge; 2) thérapie manuelle (manipulation avec ou sans mobilisation) de la colonne cervicale et de la colonne thoracique. Intervention proscrite d : 1) programme multimodal de soins qui comprend la combinaison d'une manipulation de la colonne, la mobilisation de la colonne et des exercices d'endurance à faible charge. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 5.2.6). La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : voir le diagramme approprié ou consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : aggravation des céphalées avec fièvre; apparition soudaine de céphalées (en coup de tonnerre) atteignant leur intensité maximale en cinq minutes; nouvelle apparition d'un déficit neurologique; nouvelle apparition de dysfonction cognitive; changement de personnalité; état altéré de conscience; traumatisme crânien récent (habituellement au cours des trois derniers mois); céphalées déclenchées par une toux, une manœuvre de Valsalva (e ssai de respirer en bloquant la bouche et le nez) ou des éternuements; céphalées déclenchées par l'exercice; céphalées dont l'intensité varie selon la posture; symptômes qui semblent indiquer la maladie de Horton; symptômes et signes de glaucome aigu par fermeture de l'angle; évolution importante des caractéristiques des céphalées du patient; nouvelle apparition ou évolution des céphalées chez des patients âgés de plus de 50 ans; céphalées qui réveillent le patient; patients présentant des facteurs de risque relatifs à la thrombose des sinus veineux cérébraux; claudication intermittente massétérine ou troubles de la vue; raideur de la nuque; nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents d'infection au virus de l'immunodéficience humaine (VIH); nouvelle apparition de céphalées chez les patients ayant des antécédents de cancer. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

14 Guide de référence rapide Prise en charge des épicondylites Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent d'une épicondylite : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution de l'épicondylite en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'aggravation/l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c, d Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 2. soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c, d Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. technique faisant appel à l'énergie musculaire; 2. relâchement myofascial; 3. bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 4. exercices d'étirement et (ou) de renforcement à la maison; 5. soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.3). e Interventions proscrites : neurostimulation transcutanée; bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.4). e Interventions proscrites : neurostimulation transcutanée; bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Personne rétablie Personne non rétablie : Donner congé. Rétablissement incomplet Lancer le protocole en cas de symptômes persistants. Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie : Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : antécédents de traumatisme important; antécédents d'arthrite inflammatoire; antécédents de perte de poids importante inexpliquée; fièvre; articulations enflées et douloureuses; signes et symptômes neurologiques progressifs/généralisés; douleur aigüe et incessante la nuit; douleur généralisée inexpliquée; douleur incessante au repos. b En cas d'épicondylite médiale, il convient de prendre des précautions particulières pour protéger le nerf cubital. c Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. d L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. e S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

15 Cheminement clinique pour la prise en charge des épicondylites Personnes blessées dans une collision routière qui souffrent d'une épicondylite. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 4 Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? 3 6 Autres bl essures? 5 Consulter les cheminements cliniques appropriés et procéder à une prise en charge conjointe. 7 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution de l'épicondylite en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? Symptô mes 3 mois? 10 Symptômes 3 mois À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques cidessous est recommandée b, c, d. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 2) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. Interventions proscrites e : 1) neurostimulation transcutanée; 2) bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.3). À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c, d. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) technique faisant appel à l'énergie musculaire; 2) relâchement myofascial; 3) bracelet orthopédique (épicondylite latérale); 4) exercices d'étirement et (ou) de renforcement à la maison; 5) soins multimodaux comprenant la combinaison de ce qui suit (s'ils n'ont pas été prodigués pendant les trois premiers mois de soins) : a) manipulation ou mobilisation du coude; b) massage en profondeur des tissus; c) exercices d'étirement et de renforcement de l'avant-bras; d) conseils indiquant de rester actif et modification de l'ergonomie et des activités afin d'éviter la provocation des symptômes. Interventions proscrites e : 1) neurostimulation transcutanée; 2) bracelet orthopédique jumelé à un traitement physique multimodal (épicondylite latérale). Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.1.4).

16 La personne rétablie après trois mois? La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : lancer le protocole en cas de symptômes persistants (encadré 13). 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. 1) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : antécédents de traumatisme important; antécédents d'arthrite inflammatoire; antécédents de perte de poids importante inexpliquée; fièvre; articulations enflées et douloureuses; signes et symptômes neurologiques progressifs/généralisés; douleur aigüe et incessante la nuit; douleur généralisée inexpliquée; douleur incessante au repos. b En cas d'épicondylite médiale, il convient de prendre des précautions particulières pour protéger le nerf cubital. c Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. d L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. e S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

17 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs à l'épaule Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs à l'épaule : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs à l'épaule en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2. manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervico-thoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 3. soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.3). d Interventions proscrites : fibrolyse diacutanée; ultrasons; électrothérapie à courants interférentiels. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée. b, c Interventions à domicile et en milieu clinique : 1. traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2. exercices d'étirement et de renforcement; 3. soins de médecine générale habituels (renseignements, recommandations et traitement pharmaceutique ou médical éventuel de la douleur); 4. manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervicothoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 5. exercices combinés et supervisés d'étirement et de renforcement; 6. soins multimodaux qui comprennent une combinaison des interventions suivantes (si elles n'ont pas été effectuées pendant les trois premiers mois de soins) : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.4). d Interventions proscrites : fibrolyse diacutanée; thérapie par ondes de choc; mobilisations cervicales; soins multimodaux comprenant une combinaison d'exercices, de mobilisation, de bandages, d'interventions psychologiques et de massage; ultrasons; électrothérapie à courants interférentiels. Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie : Rétablissement incomplet Lancer le protocole en cas de symptômes persistants. Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Personne rétablie Donner congé. Personne non rétablie : Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) Consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : difformité, enflure ou érythème inexpliqué de la peau; faiblesse importante non attribuable à la douleur; antécédents de malignité; malignité soupçonnée (p. ex., perte de poids ou d'appétit); fièvre/frissons/malaises; déficits sensoriels/moteurs importants inexpliqués; atteinte vasculaire ou pulmonaire; incapacité d'effectuer des mouvements; douleur au repos. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

18 Cheminement clinique pour la prise en charge des douleurs à l'épaule Personnes blessées dans une collision routière qui ressentent de la douleur à l'épaule. 1 2 Effectuer une évaluation clinique appropriée. 4 Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a? 3 6 Autres blessures? 5 Consulter les cheminements cliniques appropriés et procéder à une prise en charge conjointe. 7 Fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs à l'épaule en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins. Un traitement est-il requis? Symptômes 3 mois? 10 Symptômes 3 mois

19 12 13 À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques cidessous est recommandée b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2) manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervico-thoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 3) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Interventions proscrites d : 1) fibrolyse diacutanée; 2) traitement par ultrasons; 3) électrothérapie à courants interférentiels. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.3). À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'une ou l'autre des interventions thérapeutiques ci-dessous est recommandée b, c. Interventions à domicile et en milieu clinique : 1) traitement au laser à faible intensité pour le soulagement de la douleur à court terme; 2) exercices d'étirement et de renforcement; 3) soins de médecine générale habituels (renseignements, recommandations et traitement pharmaceutique ou médical éventuel de la douleur); 4) manipulation et mobilisation de la colonne en complément aux soins habituels pour des douleurs à l'épaule entraînant une douleur à la colonne cervico-thoracique ou le mouvement restreint de celle-ci; 5) exercices combinés et supervisés d'étirement et de renforcement; 6) soins multimodaux comprenant ce qui suit : a) chaleur/froid; b) mobilisation de l'articulation; c) exercices d'amplitude articulaire. Interventions proscrites d : 1) fibrolyse diacutanée; 2) traitement par ondes de choc; 3) mobilisations cervicales; 4) soins multimodaux comprenant une combinaison d'exercices, de mobilisation, de bandages, d'interventions psychologiques et de massage; 5) traitement par ultrasons; 6) électrothérapie à courants interférentiels. Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.2.4). La personne rétablie après trois mois? La personne rétablie? ) Rétablissement incomplet : lancer le protocole en cas de symptômes persistants (encadré 13). 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. 1) Rétablissement incomplet : consulter un médecin. 2) Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) : consulter un médecin. a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte») : difformité, enflure ou érythème inexpliqué de la peau; faiblesse importante non attribuable à la douleur; antécédents de malignité; malignité soupçonnée (p. ex., perte de poids ou d'appétit); fièvre/frissons/malaises; déficits sensoriels/moteurs importants inexpliqués; atteinte vasculaire ou pulmonaire; incapacité d'effectuer des mouvements; douleur au repos. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité. c L'ordre d'énumération des interventions ne rend pas compte d'une efficacité supérieure. d S'appuie sur des données probantes démontrant l'absence de bénéfices pour les patients.

20 Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs à l'épaule avec ténosite ossifiante Prise en charge des ténosites ossifiantes Pour toutes les personnes blessées qui souffrent de douleurs à l'épaule avec ténosite ossifiante : éliminer les facteurs de risque relatifs aux pathologies graves a ; fournir des renseignements sur la nature, la prise en charge et l'évolution des douleurs à l'épaule avec ténosite ossifiante en tant que cadre de déploiement d'un programme de soins; effectuer une évaluation continue de l'amélioration ou de l'évolution des symptômes pendant l'intervention et aiguiller la personne en conséquence; donner son congé à la personne blessée à tout moment approprié au cours de l'intervention et du rétablissement. À la suite d'une décision prise conjointement par le patient et le fournisseur de soins, l'intervention thérapeutique ci-dessous est recommandée b. 1. Traitement par ondes de choc d'une amplitude allant de 0,08 mj/mm 2 à 0,6 mj/mm 2 Veuillez consulter la recommandation particulière pour plus de détails sur le traitement (section 6.3.2). Personne rétablie Personne non rétablie : Donner congé. Rétablissement incomplet Évolution importante des symptômes (apparition ou aggravation de symptômes physiques, mentaux ou psychologiques) a Facteurs de risque relatifs aux pathologies graves (aussi appelés «signaux d'alerte»): difformité, enflure ou érythème inexpliqué de la peau; faiblesse importante non attribuable à la douleur; antécédents de malignité; malignité soupçonnée (p. ex., perte de poids ou d'appétit); fièvre/frissons/malaises; déficits sensoriels/moteurs importants inexpliqués; atteinte vasculaire ou pulmonaire; incapacité d'effectuer des mouvements; douleur au repos. b Cette ligne directrice ne couvre pas les interventions pour lesquelles il manque des données probantes relatives à l'efficacité.

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Rééducation Posturale Globale

Rééducation Posturale Globale Rééducation Posturale Globale R.P.G. Créateur de la méthode : Philippe E. SOUCHARD France Petit guide à l attention de nos patients La Rééducation Posturale Globale est apparue en 1980 à la suite de plus

Plus en détail

A healthy decision LA DOULEUR

A healthy decision LA DOULEUR A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012

Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture 148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une

Plus en détail

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale

Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,

Plus en détail

Le problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :

Le problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout : Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés

Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre

Plus en détail

Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos

Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos des instruments ayant une très faible efficacité. Le Nubax Trio est maintenant soutenu par de nombreux brevets et distributeurs à travers le monde. Cet appareil

Plus en détail

La douleur est une mauvaise habitude.

La douleur est une mauvaise habitude. La douleur est une mauvaise habitude. Vous pourriez avoir envie de dire : "non, c'est impossible! Je ne peux pas me faire du mal à moi-même!" et vous auriez en partie raison. Comme exemple de douleurs

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS

ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

K I N é S I T H é R A P I E & D B C

K I N é S I T H é R A P I E & D B C KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire

Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire GUIDE POUR LES PARENTS 514-412-4400, poste 23310 hopitalpourenfants.com/trauma Le fémur est l os le plus long du corps humain : il

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Douleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie.

Douleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie. www.cliniquephysioplus.com Une solution naturelle pour vous aider à vous rétablir : la physiothérapie Douleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie. ÉRIC GUY PHYSIOTHERAPEUTE EST : par

Plus en détail

le traitement de la douleur

le traitement de la douleur le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Journal de la migraine

Journal de la migraine Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques

Plus en détail

Performance des organisations Santé au travail

Performance des organisations Santé au travail LA PRÉVENTION DES TMS ET DES ACCIDENTS DE TRAVAIL LIÉS A LA MANUTENTION DE CHARGES Centre de Gestion du Tarn et Garonne Le 4 octobre 2012 Performance des organisations Santé au travail SOMMAIRE Performance

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A

2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A DJO France S.A.S Centre Européen de Fret 3 rue de Béthar 64990 Mouguerre FRANCE Tel: +33 (0)5 59 52 80 88 Fax: +33 (0)5 59 52 62 99 Email: physio@djoglobal.com www.djoglobal.fr a brand 2010 DJO - 00-0936-FR

Plus en détail

LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION

LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives

Plus en détail

LE VISAGE AUTOTRAITEMENT MYOTHÉRAPEUTIQUE. Jocelyne Rollin

LE VISAGE AUTOTRAITEMENT MYOTHÉRAPEUTIQUE. Jocelyne Rollin LE VISAGE AUTOTRAITEMENT MYOTHÉRAPEUTIQUE Jocelyne Rollin Autotraitement myothérapeutique Table des matières Table des matières Technique Rollin 1 Autotraitement myothérapeutique Table des matières Technique

Plus en détail

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs

Plus en détail

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est

Plus en détail

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc

PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc

Plus en détail

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques

Plus en détail

La céphalée compte parmi les raisons les plus fréquentes qui

La céphalée compte parmi les raisons les plus fréquentes qui Exclusivement sur le web Révision clinique Lignes directrices sur la prise en charge en soins primaires des céphalées chez l adulte Werner J. Becker MD FRCP(C) Ted Findlay DO CCFP Carmen Moga MD MSc N.

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez

Plus en détail

SIÈGE SURFACE DE TRAVAIL

SIÈGE SURFACE DE TRAVAIL Les accidents strictement de nature «ergonomique» coûtent une fortune aux entreprises canadiennes. En effet, Statistique Canada évaluait en 1996 à 1,5 milliards de dollars les coûts annuels associés aux

Plus en détail

14. Votre enfant a-t-il déjà souffert de :

14. Votre enfant a-t-il déjà souffert de : FORMULAIRE POUR ENFANT RENSEIGNEMENTS Nom du patient Prénom Sexe : M F Adresse Ville Code postal Tél. résidence ( ) Tél. travail parent ( ) Date de naissance / / année mois jour Âge an(s) mois Nom du parent

Plus en détail

Parmi ces recommandations, la cure thermale tient une place prépondérante dans le traitement et la prise en charge de la maladie.

Parmi ces recommandations, la cure thermale tient une place prépondérante dans le traitement et la prise en charge de la maladie. CHAINE THERMALE DU SOLEIL - S.A.S au capital de 8.129.638,30 - SIREN 310 968 540 - APE 741 j - Directeur de la publication : Biche Barthélémy - Coordination édition : Anne Mascarou Photos : Chaîne Thermale

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire

Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,

Plus en détail

mal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire

mal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

les DOULEURS INEXPLIQUÉES

les DOULEURS INEXPLIQUÉES MIEUX VIVRE avec une DOULEUR les DOULEURS INEXPLIQUÉES Dr F. LAROCHE Dr E. SOYEUX Centre d évaluation et de traitement de la douleur Hôpital Saint-Antoine, Paris, Réseau Ville-Hôpital Lutter Contre la

Plus en détail

LES CEPHALEES I- INTRODUCTION

LES CEPHALEES I- INTRODUCTION Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.

Plus en détail

Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail

Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS

QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS CONFIDENTIEL QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS Veuillez SVP répondre à toutes les questions. Tout les renseignements que vous fournissez dans ce questionnaire resteront strictement confidentielles.

Plus en détail

Kinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012. Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation

Kinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012. Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation Kinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012 Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation Anniversaire ASL Paris 26 mai 2012 Présentation de l'équipe

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue? Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

CHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»

CHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée» CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité

Plus en détail

097AS2014/02/18. Thérapie à Ultra-son. BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR

097AS2014/02/18. Thérapie à Ultra-son. BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR 097AS2014/02/18 Thérapie à Ultra-son BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR 1 adnexite - changements post-inflammatoires... 4 2 arthrite... 5 3 arthrite - subaqual...

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus) Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home

Plus en détail

w w w. m e d i c u s. c a

w w w. m e d i c u s. c a www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE

Plus en détail

déclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)

déclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers) 1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Sachez bien utiliser les aimants pour votre santé!

Sachez bien utiliser les aimants pour votre santé! Mini guide pratique Sachez bien utiliser les aimants pour votre santé! Mini guide pratique Par Gilles DONGUY Pôle nord ou pôle sud? www.naturopathie-en-clair.com SOMMAIRE 2 Soigner avec les aimants, quel

Plus en détail

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.

Plus en détail

La migraine chronique

La migraine chronique La migraine chronique - Céphalées chroniques quotidiennes -Abus médicamenteux Avec le soutien des laboratoires Novartis Un concept en évolution 1ère classification IHS 1988 : pas de mention 1982: Mathew

Plus en détail

QUELS SONT LES FRAIS COUVERTS?

QUELS SONT LES FRAIS COUVERTS? Vous avez demandé la couverture au titre de l assurance dentaire. Le Conseil de la rémunération et des nominations dans les collèges (le Conseil) peut modifier aux moments opportuns le régime d'assurance

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

La prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé

La prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Migraine : une maladie qui se soigne

Migraine : une maladie qui se soigne Migraine : une maladie qui se soigne SOMMAIRE La prise en charge de la migraine : manque d information ou de formation?. p. 2 À chaque migraineux son traitement. p. 3 Vivre avec la migraine.. p. 5 À propos

Plus en détail

LA MIGRAINE PRESENTATION. Qu est-ce que c est? Différents types : La migraine se rencontre avec ou sans aura : Fiche 13

LA MIGRAINE PRESENTATION. Qu est-ce que c est? Différents types : La migraine se rencontre avec ou sans aura : Fiche 13 Fiche 13 LA MIGRAINE PRESENTATION Qu est-ce que c est? La migraine est une maladie caractérisée par de fréquents accès de maux de tête, souvent violents et parfois accompagnés d'autres symptômes : nausées,

Plus en détail

La meilleure façon de traiter le mal de dos : Redevenir actif. Selon les dernières recherches. Le Guide du DOS

La meilleure façon de traiter le mal de dos : Redevenir actif. Selon les dernières recherches. Le Guide du DOS La meilleure façon de traiter le mal de dos : Redevenir actif Selon les dernières recherches Le Guide du DOS Publié par TSO (The Stationery Office) et disponible : En ligne www.tsoshop.co.uk Par Courrier,

Plus en détail

Directives sur la façon de répondre à l étude

Directives sur la façon de répondre à l étude Garantie Responsabilité civile - Assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Directives sur la façon de répondre à l étude 1. Veuillez remplir un dossier pour

Plus en détail

2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques

2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques 2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

Extraits et adaptations

Extraits et adaptations Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant

Plus en détail

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20 RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à

Plus en détail

Céphalée. Document de travail à l intention du. Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents du travail

Céphalée. Document de travail à l intention du. Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents du travail Document de travail à l intention du Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents du travail Juillet 2002 préparé par le D r John Edmeads Professeur de médecine

Plus en détail

LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES

LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES Page 1 de 5 LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES INTRODUCTION Il faut être conscient qu environ 90% des céphalées rencontrées en pratique sont «primaires»,

Plus en détail