Site d étude. Résultats
|
|
- Anne-Laure Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude Cette masse d eau saumâtre est fortement salée ; elle s étend sur une partie du bras de mer l Aber Wrac h qui se situe dans le Nord-Ouest du Finistère. La zone intertidale représente plus de 50% de cette masse d eau qui s étend sur 6 km². La turbidité y est faible (<200 FNU), le débit moyen est de 2 m 3 /s environ. Le bassin versant représente une surface de 137 km² et on note la présence de nombreux élevages porcins aux abords immédiats de l estuaire. L amplitude moyenne des marées est comprise entre 1 et 5 m (régime mésotidal), elle peut atteindre au maximum 7,5 m. La conchyliculture est l activité dominante de l estuaire. Résultats Ce secteur fait partie, avec le Trieux, la rivière de Morlaix, l Elorn, l Aulne, le Goyen, la Rivière de Pont l Abbé, l Odet, l Aven, la Belon, la Laïta, le Scorff et le Blavet, des 13 masses d eau de transition qui ont été sélectionnées pour la mise en place de l indicateur pour ce paramètre en Bretagne. Le travail sur la méthodologie de calcul de l indicateur réalisé avec l ONEMA a été présenté dans le rapport publié en 2012 par Ar Gall et Le Duff (voir calcul de l indicateur) et est en attente de validation au niveau national.. L indicateur proposé ABER - conduirait à proposer un classement en «bon état» de cette masse d eau pour ce sous-élément de qualité. Atlas DCE Loire Bretagne Page 1 sur 7
2 Avec la collaboration du Centre d Etude et de Valorisation des Algues Site d étude Source : CEVA Figure 1 : localisation de la masse d eau et vue aérienne du site Cette masse d eau saumâtre (6 km²) est fortement salée ; elle s étend sur une partie du bras de mer l Aber Wrac h qui se situe dans le Nord-Ouest du Finistère. Le débit moyen est de 2 m 3 /s environ. Cette masse d eau est qualifiée de non turbide. Le bassin versant représente une surface de 137 km² et on note la présence de nombreux élevages porcins aux abords immédiats de l estuaire. L amplitude moyenne des marées est comprise entre 1 et 5 m (régime mésotidal), elle peut atteindre au maximum 7,5 m. La conchyliculture est l activité dominante de l estuaire. L aire totale de l estran de la masse d eau l Aber Wrac h, à basse mer et au coefficient 120, est de 570 ha. L aire potentiellement colonisable par les algues vertes correspond à l aire du substrat meuble (sable + vase). Pour cette masse d eau, elle est de 462 ha. Les roches couvrent 108 ha et il y a absence de schorre. Il est à noter que la distinction entre substrat vaseux et sableux ne se fait pas sur une base granulométrique mais par photointerprétation. Figure 2 : Caractéristiques sédimentaires de l'estran de la masse d'eau l Aber Wrac h (FRGT08) Atlas DCE Loire Bretagne Page 2 sur 7
3 Description des dépôts d ulves et historique Cette masse d eau de transition a été retenue dans le cadre du réseau de contrôle de surveillance. Elle fait aussi partie des masses d eau retenues pour la mise au point de l indicateur «macroalgues opportunistes (blooms)». Description des dépôts d algues vertes et historique Dans le cadre de la DCE, le suivi des masses d eau de transition a débuté en 2008 avec 3 survols aériens du littoral (mai, juillet, septembre). Concernant les vasières, seul le maximum annuel de couverture algale est quantifié (le mois du maximum de la surface algale est déterminé visuellement à partir des photos aériennes des mois de mai, juillet et septembre). Recouvrement statistique des échouages sur les dernières années suivies Pour obtenir la cartographie statistique des échouages (sous logiciel de système d information géographique), l estran est préalablement quadrillé, chaque maille ayant une superficie de 75 m². Une maille peut contenir jusqu à 4 informations concernant le taux de recouvrement par les algues (1 évaluation par an pendant 4 ans). La moyenne statistique du taux de couverture sur 4 ans est obtenue en divisant la somme des taux de couverture par le nombre total de suivis. La Figure 3 montre que les algues vertes prolifèrent essentiellement sur les grands estrans vaseux de l estuaire de l Aber Wrac h. Figure 3 : Synthèse interannuelle des dépôts ( ) de la masse d'eau l Aber Wrac h (FRGT08) Atlas DCE Loire Bretagne Page 3 sur 7
4 Evolution des échouages entre 2008 et 2012 A l inverse des plages, une présence modérée d algues vertes sur les vasières est considérée comme «naturelle». Les marées vertes en systèmes vaseux n étant réellement suivi que depuis 2008, les paramètres influençant leur évolution sont moins bien connus qu en système sableux. Il en ressort néanmoins que : le sédiment joue un rôle important de réservoir en nutriments et en spores d algues. La configuration même des masses d eau de transition induit un faible renouvellement des eaux et de ce fait un confinement de tout apport anthropique. les flux azotés en excès restent la cause principale du développement massif des algues vertes dans les vasières. La Figure 4 montre que la couverture algale dans la masse d eau Aber Wrac h a varié entre 35 et 80 ha équi Depuis 2010, les surfaces d algues vertes se développant dans cette masse d eau semblent se stabiliser autour des 40 ha. Figure 4 : Evolution de la couverture annuelle maximale en algues vertes depuis 2008 pour la masse d eau FRGT08. 1 La couverture algale en hectares équivalent 100% (ha équi 100) exprime la surface d estran recouverte à 100% par les algues. Elle est obtenue en multipliant l aire du dépôt algal par son taux de recouvrement. Atlas DCE Loire Bretagne Page 4 sur 7
5 Evaluation de la masse d eau Classement de la masse d eau sur la base de l indicateur La qualité de la masse d eau est évaluée à partir de 2 critères appelés métriques : o Métrique 1 : pourcentage maximal de l aire potentiellement colonisable recouverte par les algues vertes o Métrique 2 : aire affectée par les algues vertes Pour chacune des deux métriques ainsi que pour l évaluation, les résultats sont présentés d une part année par année puis d autre part sous la forme d une moyenne glissante sur le nombre d année pour lesquelles des données sont actuellement disponibles. Ces premiers résultats constituent un pré-classement. A terme, ce classement sera présenté sur 6 ans pour les masses d eau ne bénéficiant pas d un pré-classement en bon ou très bon été écologique. Métrique 1 : Pourcentage maximal de l aire potentiellement colonisable recouverte par les algues vertes: Pour calculer cette métrique, le maximum annuel de couverture algale est rapporté à l aire potentiellement colonisable par les algues vertes. Cette métrique est généralement associé à un bon état écologique pour l Aber Wrac h excepté en Il en résulte tout de même un bon état écologique au niveau de la moyenne pluriannuelle (Tableau 1). Tableau 1 : Pourcentage de l'aire potentiellement colonisable par les algues vertes sur l'aber Wrac h Résultats (%) Moyenne (%) Seuils Très bon [0-5[ Bon [5-15[ 12,62 7,91 10,50 9,36 12,52 12,01 11,48 Moyen [15-25[ 17,03 Médiocre [25-75[ Mauvais [75-100] Atlas DCE Loire Bretagne Page 5 sur 7
6 Métrique 2 : Aire affectée (ha) : Cette métrique correspond à la somme des aires brutes des dépôts algaux, sans tenir compte du taux de recouvrement des algues. Ainsi, qu une surface d un hectare soit recouverte à 10 % ou à 80 % d algues vertes, l aire affectée sera toujours égale à 1 ha. L aire affectée par une prolifération d algues vertes est importante sur l Aber Wrac h et varie de 75 à 141 ha (Tableau 2). Quelle que soit l année considérée, cette métrique induit un classement en dehors du bon état écologique et place cette masse d eau toujours en état médiocre à l échelle de la moyenne pluriannuelle. Tableau 2 : Aire affectée par les échouages d'algues vertes sur l'estran de l Aber Wrac h Résultats Moyenne Seuils Très bon [0-10[ Bon [10-50[ Moyen [50-100[ 81,58 75,67 Médiocre [ [ 141,39 106,33 102,13 109,77 107,86 101,42 Mauvais [ ] Evaluation Les indices calculés pour chaque métrique sont transformés en un Ratio de Qualité Ecologique afin d obtenir une notre entre 0 (mauvais) et 1 (très bon). L indicateur est la moyenne des ratios de Qualité Ecologique obtenus pour ces deux métriques. Il est comparé à la grille de lecture ci-dessous afin d obtenir l évaluation de la masse d eau pour les blooms d opportunistes. La combinaison des deux métriques précédentes entraîne une évaluation de la masse d eau en état écologique moyen en considérant la moyenne pluriannuelle (Tableau 3). Toutefois, cette masse d eau a atteint le bon état écologique à 2 reprises depuis le début du suivi (en 2010 et en 2012). Tableau 3 : Evaluation finale de la masse d'eau de l Aber Wrac h (FRGT08) Résultats Moyenne Seuils Très bon [1-0,8[ Bon [0,8-0,6[ 0,61 0,61 Moyen [0,6-0,4[ 0,45 0,52 0,54 0,52 0,52 0,53 0,58 Médiocre [0,4-0,2[ Mauvais [0,2-0[ Atlas DCE Loire Bretagne Page 6 sur 7
7 Résultats du suivi opérationnel Parallèlement à cette évaluation DCE, d autres suivis sont réalisés pour une meilleure connaissance du phénomène parmi lesquels : Le suivi des quotas azotés et phosphorés. La détermination des quotas consiste à doser le contenu interne de la teneur en azote et en phosphore dans les cellules algales. Cette donnée permet de déterminer le statut nutritionnel des algues. Détermination des stocks algaux sur estran : Au maximum du développement algale des mesures de biomasses sont effectuées en parallèle des mesures surfaciques permettant d évaluer le stock algal présent sur un site. Détermination des stocks algaux subtidaux : Les biomasses subtidales sont déterminées en plongée en hiver ou au maximum du développement algal. L évaluation hivernale a pour objectif de déterminer les stocks résiduels à partir desquels se forment les marées vertes. Les stocks estivaux ont pour but d évaluer les stocks algaux totaux, en particulier sur les sites pour lesquels la configuration des plages ne facilite pas l échouage. Cette masse d eau fait l objet d un suivi des quotas azotés et phosphorés à partir d ulves récoltées dans la baie de Keridaouen. En 2012, la croissance des ulves était limitée par le phosphore dans cette baie (Figure 5). Azote kjedahl en % de MS 5,00 4,50 4,00 3,50 3,00 2,50 2,00 1,50 1,00 0,50 0,00 Phosphore total en % de MS 0,35 0,3125 0,275 0,2375 0,2 Q 1 N Q 1 P 0,1625 0,125 Q 0 N Q 0 P 0,0875 0,05 0,0125 Avril Mai Juin Juillet Aout Sept Oct 0, Azote Phosphore Figure 5 : Evolution saisonnière des quotas azotés et phosphorés d'ulves au sein de la masse d eau l Aber Wrac h en 2012 Baie de Keridaouen Cette masse d eau a par ailleurs fait l objet d une évaluation de la biomasse algale totale présente sur la zone d estran durant l été Le stock d algues vertes a été estimé à 680 tonnes (poids humide essoré). Les résultats de la surveillance DCE depuis 2007 sont accessibles en ligne à la rubrique Publications du site ENVironnement LITtoral de l Ifremer (ENVLIT), section Directive Cadre sur l Eau. Par ailleurs, le CEVA suit les phénomènes de prolifération algale en Bretagne depuis de nombreuses années, les résultats de ces travaux sont également en ligne. Atlas DCE Loire Bretagne Page 7 sur 7
1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailInstitut Français de Recherche pour l Exploitation de la Mer
Institut Français de Recherche pour l Exploitation de la Mer DYNamiques de l Environnement COtier - BENTHOS Laboratoire côtier Environnement Ressources de Normandie Anne-Sophie BARNAY avril 2005 Avant-Projet
Plus en détailRéserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC
Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Les petits tortillons éparpillés sur la plage signalent la présence d'un ver : l'arénicole (Arenicola marina). Bien connu des pêcheurs comme très bon appât, des biochimistes
Plus en détailENQUÊTE PUBLİQUE RÉALİSATİON D'AMÉNAGEMENTS DE STABİLİSATİON DU TRAİT DE CÔTE A LA GUÉRİNİÈRE ET L'ÉPİNE (SECTEUR DES ÉLOUX) Exposé
ENQUÊTE PUBLİQUE RÉALİSATİON D'AMÉNAGEMENTS DE STABİLİSATİON DU TRAİT DE CÔTE A LA GUÉRİNİÈRE ET L'ÉPİNE (SECTEUR DES ÉLOUX) 1. Etat des lieux 2. Causes 3. Le projet 4. Conclusion, proposition Exposé «La
Plus en détailCoordination des actions DCE en eaux littorales - Action 8
Partenariat 2012. Coordination des actions DCE en eaux littorales - Action 8 Directive Cadre sur l Eau : les pressions anthropiques et leur impact sur les indicateurs de l état écologique des masses d
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailEric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle
Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailNOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT
NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailÉvolution du trait de côte et conséquences sur les ouvrages maritimes: Application au Phare de la Coubre (17)
Évolution du trait de côte et conséquences sur les ouvrages maritimes: Application au Jérôme REVEL Laboratoire de Bordeaux Page 1/22 sommaire Introduction Analyse historique du trait de côte Analyse naturaliste
Plus en détailProtocole de distribution des habitats benthiques côtiers par modélisation prédictive Author(s):
Title: Protocole de distribution des habitats benthiques côtiers par modélisation prédictive Author(s): Vona Meleder Document owner: Jacques Populus (jpopulus@jifremer.fr) - IFREMER Reviewed by: Workgroup:
Plus en détailObservatoire économique Entreprises conchylicoles du réseau Nautil
2013 Observatoire économique Entreprises conchylicoles du réseau Nautil NORMANDIE BRETAGNE SUD PAYS DE LOIRE - VENDÉE CHARENTE MARITIME GIRONDE Lexique Annuités Remboursement annuel des emprunts (capital
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailSAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne)
SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) L élaboration Mise en œuvre du Plan : le lancement Installation de la CLE Travaux de la commission «Marée vertes et littoral» - Flux d azote,
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailLes milieux humides, entre terre et eau
«Les milieux humides, entre terre et eau» 1 Les milieux humides, entre terre et eau L essentiel Marais, tourbières, prairies humides, lacs, lagunes, mangroves : les milieux humides se déclinent en une
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS
a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailEcosystèmes. Mars 2014. Rapport RSL-14/2014. Etats de la colonne
Département Océanographie, Dynamique des Ecosystèmes UL- Laboratoire Environnement Ressourcess du Languedoc-Roussillon RST/LER/LR/14.07 Mars 2014 Réseau de Suivi Lagunaire du Languedoc-Roussillon Bilan
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailCOMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»
COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailEvolution de la dynamique. l Estuaire de la Vilaine
Evolution de la dynamique géomorphologique et sédimentaire i de l Estuaire de la Vilaine Christophe DANQUERQUE, Institution d Aménagement de la Vilaine Camille TRAINI, Université de Bretagne Sud Composition
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détail2. Méthodologie d estimation de la concentration de surface en Chlorophylle par satellite
Variation spatio-temporelle de la chlorophylle / SRM MMN Francis Gohin (Francis.Gohin@ifremer.fr) IFREMER/DYNECO/PELAGOS, Centre de Brest BP 70 29280 Plouzané Avec la participation de Felipe Artigas (ULCO),
Plus en détailL éditorial. Les brèves de l association :
Imprimé sur papier 100% recyclé Hiver 2003 N 7 information sur le développement environnemental en Aquitaine UNION EUROPENNE Fonds européen de développement régional L éditorial Plus d un quart de siècle
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailEtude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine
Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailGrilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement
Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Travaux réalisés dans le cadre de la mission d accompagnement de la CLI CLI des Monts d Arrée, réunion
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailMoyens mis en œuvre pour la cartographie du plateau continental Guide général
1 Département Dynamiques de l'environnement Côtier (DYNECO) 2 Département Géosciences Marines (GM) Claire ROLLET 1 (Responsable Action) Cécile BRETON 2 Benoît LOUBRIEU 2 Catherine SATRA LE BRIS 2 RST/IFREMER/DYNECO/AG/10-09/CR
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailAvec près des deux tiers des
Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions
Plus en détailAvancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies
Oral Master 2, Fonctionnement des Ecosystèmes Naturels et cultivés, 10 juin 2009 Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Elodie Blanchard Encadrant:
Plus en détailVoile à l école : développer le sens marin
Voile à l école : développer le sens marin Météo Activités possibles Sujets d étude Compétences visées Dans le centre nautique Pour et à l école Température Nuages Bulletin météo Différencier la température
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailUFR Géographie et Aménagement Université Michel de Montaigne Bordeaux 3 Master 1 Territoires, développement et cultures
UFR Géographie et Aménagement Université Michel de Montaigne Bordeaux 3 Master 1 Territoires, développement et cultures MANCIET Bruno Enseignant référant Mme. Solange PUPIER-DAUCHEZ Stage effectué du 2
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailLes Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques ETUDE février 2014 Les Exploitants et Entrepreneurs agricoles en 2012 www.msa.fr FEVRIER 2014 Les exploitants et entrepreneurs agricoles en 2012
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailSynthèse des travaux menés sur l observation de l évolution du trait de côte. Rapport final
Synthèse des travaux menés sur l observation de l évolution du trait de côte Rapport final BRGM/RP-59396-FR janvier 2011 Synthèse des travaux menés sur l observation de l évolution du trait de côte Rapport
Plus en détailPascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais
Pascale Biron, Thomas Buffin-Bélanger, Marie Larocque, Joanna Eyquem, Claude Desjarlais Bandes riveraines restreintes, beaucoup de stabilisation Rivière Yamachiche: champ de maïs sans bande riveraine Rivière
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailPROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE
Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017
Plus en détailRivière Romaine, rivière d eaux vives. André Charest et Yann Troutet
Rivière Romaine, rivière d eaux vives André Charest et Yann Troutet «Les transformations qui toucheront la Romaine n auront pas d effet notable sur l offre ni sur la pratique d activités de canotage et
Plus en détailLe programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris
Le programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris Eléments de contexte sur les AMP Deux problématiques majeures: -Une
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailLe Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56
Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailUtilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :
ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux
Plus en détailPerspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest
Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau
Plus en détailSea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1
Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1 Parc Naturel Marin d Iroise MERiFIC L étude du bruit des énergies marines renouvelables et impacts sur l environnement. L utilisation de l acoustique
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailConsultation publique
Consultation publique Paris, le 15 juillet 2010 Consultation publique de la Commission de régulation de l énergie sur la structure des tarifs d utilisation des réseaux publics d électricité 1. Contexte
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailLe courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010
Le courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010 Un premier semestre en deux temps : recul au premier trimestre et stabilisation au second semestre. Les investissements
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailJean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale
Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailL entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière
L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec
Plus en détailRéunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau
Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailRESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE
MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailDIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL GLOBAL
DIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL GLOBAL DU BASSIN VERSANT IMMÉDIAT DE LA CHAÎNE DES LACS (MUNICIPALITÉ DU CANTON D ORFORD) RÉALISÉ PAR : LE RAPPEL Et l Association des riverains de la Chaîne des Lacs FÉVRIER
Plus en détailobservatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr
observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport
Plus en détailLa valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]
Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul
Plus en détail